Impression tridimensionnelle Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'impression 3D ou impression tridimensionnelle sont les termes courants utilisés pour parler des procédés de fabrication additive. Initialement, en raison de leurs défauts originels, ces procédés ont été développés pour le prototypage rapide, mais maintenant ils sont de plus en plus utilisés pour la fabrication de pièces fonctionnelles. Bien que d'autres existent, voici quelques technologies qui coexistent : le FDM (Fuse Deposition Modeling : modelage par dépôt de matière en fusion), la SLA (Stéréolithographie : une lumière UV solidifie une couche de plastique liquide) et le frittage sélectif par laser (un laser agglomère une couche de poudre). L'impression tri-dimensionnelle permet de produire un objet réel : un opérateur dessine l'objet sur un écran en utilisant un outil de Conception assistée par ordinateur (CAO). En 2013[modifier | modifier le code] Une maquette de façade d'immeuble créée par impression tridimensionnelle.
Article de télérama sur l’impression 3d Voici l’article de Télérama sur l’impression 3d en général et Impression-3d.com en particulier: Frédéric Stucin pour Télérama En 1964, Arthur C. En fait, le principe ne relève plus de la science-fiction depuis un moment. A Paris, dans le 18e arrondissement, Guy de Saint Just, gérant de la société Impression-3d.com, s’est lancé il y a quelques mois dans l’impression 3D. Mais au-delà de ce marché de l’impression à la demande, encore à développer, la vraie révolution est encore à venir. CES 2013 : le boom de l'impression 3D L’impression 3D est-elle le moteur de la fabrication de demain ? - Blogs InternetActu.net markerbot-278x300 “Il y a une sorte de pensée magique chez les geeks aujourd’hui autour de l’impression 3D”, s’énerve Christopher Mims pour la Technology Review. Alors que les imprimantes 3D deviennent accessibles aux amateurs – la Thing-o-Matic de MarkerBot ne coûte que 1 100 dollars – et que Pirate Bay estime que les “physibles” – les plans d’objets qu’on peut réaliser via des machines 3D et qui s’échangent dès à présent sur The Pirate Bay – sont la nouvelle frontière du piratage, des penseurs comme Tim Maly pensent que nous approchons de la fin de “l’expédition”. C’est-à-dire qu’il sera bientôt plus coûteux d’expédier une pièce depuis la Chine ou de n’importe quel endroit où elle est fabriquée, que de la fabriquer soi-même. Les promesses de l’impression 3D “Ce n’est pas seulement prématuré, c’est absurde”, rétorque Christopher Mims. Pourtant, Christopher Mems ne porte pas un regard hautain sur l’impression 3D. Et Christopher Mims de détailler les progrès qu’il y a encore à accomplir.
Fabrique-moi un mouton LE MONDE CULTURE ET IDEES | • Mis à jour le | Frédéric Joignot On les appelle les "makers" ("ceux qui fabriquent"). Ce mouvement international de passionnés de high-tech et d'impression 3D prétend réinventer le capitalisme et révolutionner la production des biens de consommation. Il veut en finir avec la standardisation des objets courants, défier l'obsolescence programmée, arrêter les délocalisations, réindustrialiser les villes sans les polluer, relancer l'artisanat. Rien que ça. Leur livre de chevet, sorti en France en novembre 2012, est Makers. Chris Anderson dirige à présent une petite usine de drones et de robots volants à San Diego, Californie. Avec ces machines, n'importe quel artiste, designer, architecte ou particulier de talent peut modéliser en 3D un objet ou un prototype auquel l'industrie n'a pas pensé, puis le fabriquer, sur son imprimante 3D ou en passant par une entreprise équipée pour, en plastique, en plâtre, en résine, en aggloméré ou en métal.
Impression 3D internet Votre design 3D devient réalité avec l'impression 3D L'impression 3D menacée par des brevets Il existe une crainte croissante chez les bidouilleurs qui s'enthousiasment pour les possibilités offertes par l'impression 3D : qu'elles soient un jour minées par des brevets qui freinent la mise à disposition des imprimantes 3D et/ou qui les mettent sous le contrôle de quelques entités commerciales qui chercheront à imposer des formats propriétaires (notamment de consommables) rendant l'impression plus ruineuse. Pour s'assurer que l'impression 3D reste aux mains des hackers qui ont largement contribué à la populariser, à base de ressources libres et open-source (en particulier le projet RepRap), l'Electronic Frontier Foundation (EFF) a décidé de tirer intelligemment partie d'une nouvelle procédure offerte aux Etats-Unis lors de l'examen des brevets, avec l'aide des internautes. Pour le moment, l'EFF a identifié trois brevets déposés entre 2010 et 2012 pour laquelle elle demande au public de soumettre des antériorités :