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Éthique

Éthique
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Trois questions construisant le « triangle de l'éthique » : je veux, je peux, je dois. L’éthique (du grec ηθική [επιστήμη], « la science morale », de ήθος (« ethos »), « lieu de vie ; habitude, mœurs ; caractère, état de l'âme, disposition psychique » et du latin ethicus, la morale[1]) est une discipline philosophique pratique (action) et normative (règles) dans un milieu naturel et humain. Elle se donne pour but d'indiquer comment les êtres humains doivent se comporter, agir et être, entre eux et envers ce qui les entoure. Il existe différentes formes d’éthique qui se distinguent par leur degré de généralité (l’éthique appliquée par exemple ne possède pas le degré de généralité de l’éthique générale). Définition[modifier | modifier le code] Justification[modifier | modifier le code] L'éthique regroupe un ensemble de règles qui se différencient et complètent les règles juridiques. Objet de l'éthique[modifier | modifier le code]

Et si on trouvait le « why » de la Martinique ? En novembre 2011, les agences AACC Caraïbes délégation Outremer (association des agences conseil en communication) ont organisé une conférence dans le cadre de la journée de la pub, animée par le président national de l’AACC, Frédéric WINCKLER, sous le thème : « Des marques qui en ont ». Lors de son intervention, M. WINCKLER a exposé les 3 notions à développer afin de déterminer et communiquer sur une marque. Le « what » : de quoi parle-t-on? Le « how » : comment cela « fonctionne »? Et le « why » : pourquoi est-ce que l’on crée, développe, et vend cette marque (ce produit) ? Plusieurs grandes marques ont été prises à titre d’exemple pour étayer cette méthodologie appliquée : Apple, Google, Nike… Au moment des questions/réponses quelqu’un du public a demandé : « Selon vous, les différents points abordés durant la conférence sont-ils applicables à la Martinique ? Et si la Martinique trouvait son « why » ? Que sommes-nous ? N’ayons pas la prétention d’avoir la ou les réponses.

MonGrenoble, le blog local de Grenoble, information, actualité, news, info, actu Il numero di casinò online cresce di giorno in giorno, ampliando l’offerta con degli effetti palesi sia sotto il punto di vista della ricchezza della scelta in relazioni a promozioni sempre nuove e più interessanti, e sia sotto la spinta della concorrenza, che nella maggioranza dei casi non può che far bene agli stessi giocatori. Le leggi sulla legalizzazione del gambling online, hanno inoltre rafforzato la posizione dei giocatori, imponendo una lunga serie di obblighi in capo a tutti i casino che vogliano operare in un regime regolamentato, colmando il gap lasciato a lungo aperto, che a volte finiva per complicare la posizione degli appassionati del gioco d’azzardo, privi degli strumenti necessari per far valere i propri diritti, soprattutto di fronte a una realtà non tangibile.

ET SI LES MARQUES APPRENAIENT A PARLER AUX e-Gos Une fois n’est pas coutume, j’ai décidé de ne pas consacrer la rubrique #JourDuPenseur, à un livre, mais à un concept qui me tient à coeur. « Do you speak e-Go ? », c’est le titre d’un post que j’ai publié la semaine dernière sur Linkedin (cliquer ici) qui se réfère au concept d’ »e-Go », créé par Nicolas Chemla, planneur stratégique pour Being et Luxury Arts (l’agence du groupe TBWA spécialisée dans le luxe), il y a déjà quelques années, pour identifier cette génération mobile et connectée dont l’égocentrisme s’incarne au travers des réseaux sociaux. Un concept qui prend de plus en plus de sens au moment où nous vivons toujours plus connectés en mobilité, non seulement à travers nos téléphones et nos tablettes, mais bientôt au travers de nos montres et de nos lunettes. « Information is their oxygen, social their way of being, creativity their religion, influence their motivation » : telles sont les quatre fondementaux des e-Gos selon Nicolas Chemla.

Le Sarkophage - Journal d'analyse politique - Comprendre, c'est désobéir L’inspiration vient en travaillant… 2013 est placée sous le signe de l’inspiration, notamment en communication et encore plus durant cette période de crise. Car nous le savons la créativité est plus intéressante avec des contraintes. Donc c’est le moment! Il faut communiquer, il faut créer, il faut produire et consommer. Si un chef d’entreprise veut maintenir son niveau de vente et de rentabilité, il n’y a pas de secret: un rapide coup d’oeil sur son marketing-mix, et il constatera facilement que l’élément du mix le plus "simple" à bouger est sa communication. Sauf qu’il ne suffit pas de faire un visuel ou un enregistrement audio et l’envoyer sur les médias pour que ça fonctionne. Il faut de l’organisation, de la planification, des tests… optimiser son budget, mais avant-tout réfléchir à ce qu’on veut dire à sa cible… Bref! Or la Stratégie (avec un grand "S" car les stratégies de com’ sont nombreuses) est régulièrement mise de côté au profit d’une créativité sans réelle réflexion. Like this: J'aime chargement…

1 % pour la planéte Through our current campaign, Our Common Waters, and with exposure to increased oil and gas development near our homes and communities, we have grown concerned about hydraulic fracturing (commonly called “fracking”) and its impact on water, air, soil, wildlife habitat, and human health. Over 90% of oil and gas wells in the U.S. use fracking to aid in extraction, and many fracking fluids and chemicals are known toxins for humans and wildlife. For decades, natural gas (methane) deposits were tapped by single wells drilled vertically over large, free-flowing pockets of gas. Then came fracking, a water- and chemical-intensive method that promised the profitable extraction of natural gas trapped in shale. [Above: A natural gas fracking site in Erie, Colorado across the field from an elemetary school. One fracking well uses an average of 2 million to 8 million gallons of water over the life of the well, one to two percent of that total are various chemicals.

Médias & Publicité : Législatives : l'AFP met Twitter à contribution Le réseau social a souvent la primeur de l'information. Un défi pour les agences de presse. Twitter n'en finit pas de bousculer le monde de l'information. Après avoir eu la primeur de l'amerrissage d'un avion sur la Hudson River, du raid sur la maison d'Oussama Ben Laden et de l'affaire DSK, la plate-forme de microblogging a aussi perturbé la présidentielle française. Alors qu'il était interdit de publier des estimations de résultats avant 20 heures, les utilisateurs de Twitter ont contourné la loi en diffusant celles-ci dans des messages codés, bardés du label «#RadioLondres». Pour les législatives, l'AFP a choisi de prendre les devants, en utilisant Twitter pour produire de l'information. Prendre le pouls numérique «Il ne s'agit pas de faire travailler les gens pour nous, mais de faire remonter de l'information plutôt que de la faire redescendre, explique Marc Préel, journaliste au sein de la cellule réseaux sociaux de l'AFP, qui a supervisé ce projet.

Écoblanchiment Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L’écoblanchiment, ou verdissage[1], est un procédé de marketing ou de relations publiques utilisé par une organisation (entreprise, administration publique, etc.) dans le but de se donner une image écologique responsable. La plupart du temps, l'argent est davantage investi en publicité que pour de réelles actions en faveur de l'environnement. Terminologie[modifier | modifier le code] Le terme vient de l'anglais greenwashing, contraction des mots green (qui signifie vert) et whitewash (blanchir à la chaux, dissimuler) ou brainwashing[2] (« lavage de cerveau »). Définitions[modifier | modifier le code] L'organisation CorpWatch[7] définit l'écoblanchiment comme : L'écoblanchiment est l'acte de transmettre au public des informations qui sont – dans le fond et dans leur forme – une présentation déformée des faits et de la vérité, dans le but d'apparaître socialement et/ou environnementalement responsable aux yeux d'un public ciblé.

Packaging : il n'y a plus de tendances ! L’individu est devenu protéiforme, paradoxal et tellement insatisfait qu’il veut désormais tout et son contraire. Et tout le monde s’y met : c’est la confusion des genres à tous les niveaux. Au niveau des modèles sociétaux, dans la publicité ou encore dans les produits. En termes d’offre produits et de design, les marques et les distributeurs proposent tout et leur contraire : des produits ultrasélectifs dans des emballages ultrabasiques, des recettes et des produits très quotidiens dans des packaging ultravalorisés. On aime, depuis quelques années, se tourner vers le design anglo-saxon. Le goût de L’authenticitéAlors y a-t-il un nouveau mot d’ordre ? Un second exemple avec Quai Sud et, en particulier, sa belle création de desserts à préparer soi-même.

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