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Éthique

Éthique
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Trois questions construisant le « triangle de l'éthique » : je veux, je peux, je dois. L’éthique (du grec ηθική [επιστήμη], « la science morale », de ήθος (« ethos »), « lieu de vie ; habitude, mœurs ; caractère, état de l'âme, disposition psychique » et du latin ethicus, la morale[1]) est une discipline philosophique pratique (action) et normative (règles) dans un milieu naturel et humain. Elle se donne pour but d'indiquer comment les êtres humains doivent se comporter, agir et être, entre eux et envers ce qui les entoure. Il existe différentes formes d’éthique qui se distinguent par leur degré de généralité (l’éthique appliquée par exemple ne possède pas le degré de généralité de l’éthique générale). Définition[modifier | modifier le code] Justification[modifier | modifier le code] L'éthique regroupe un ensemble de règles qui se différencient et complètent les règles juridiques. Objet de l'éthique[modifier | modifier le code]

Doctrine of Double Effect First published Wed Jul 28, 2004; substantive revision Wed Sep 7, 2011 The doctrine (or principle) of double effect is often invoked to explain the permissibility of an action that causes a serious harm, such as the death of a human being, as a side effect of promoting some good end. It is claimed that sometimes it is permissible to cause such a harm as a side effect (or “double effect”) of bringing about a good result even though it would not be permissible to cause such a harm as a means to bringing about the same good end. This reasoning is summarized with the claim that sometimes it is permissible to bring about as a merely foreseen side effect a harmful event that it would be impermissible to bring about intentionally. 1. Thomas Aquinas is credited with introducing the principle of double effect in his discussion of the permissibility of self-defense in the Summa Theologica (II-II, Qu. 64, Art.7). The act itself must be morally good or at least indifferent. 2. 3. 4. T.M. 5.

Les ambiguïtés de la notion de guerre juste LE MONDE | • Mis à jour le | Par Nathalie Guibert Face à des crimes contre l'humanité, devant 120 000 morts, dans une guerre civile sans issue, la force doit-elle être une réponse ? Les Etats-Unis et la France ont répondu par l'affirmative, après l'attaque chimique du 21 août en Syrie, considérée comme une rupture. Mais "justifier la guerre" est l'une des œuvres humaines les plus complexes, comme vient le rappeler opportunément l'ouvrage collectif des Presses de Sciences Po. Il fallait, selon les présidents américain et français, sanctionner l'usage d'une arme de destruction massive proscrite par les traités, une réponse indispensable à la crédibilité de la lutte contre la prolifération. Barack Obama et François Hollande se sont trouvés isolés. Cette réédition de Justifier la guerre ?

Doctrine de la guerre juste Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La doctrine de la guerre juste est un modèle de pensée et un ensemble de règles de conduite morale définissant à quelle condition la guerre est une action moralement acceptable. La doctrine s'intéresse plus particulièrement à la guerre préventive et la notion de preuve du casus belli n'y a que peu de place. Histoire de la notion[modifier | modifier le code] Les premières interrogations d'ampleur sur cette doctrine furent le fait de Cicéron (De Officiis 1.11.33–1.13.41). Son interrogation est reprise par des auteurs catholiques comme Saint Augustin, Thomas d'Aquin, Francisco de Vitoria et son disciple Francisco Suárez. Thomas d'Aquin exige trois conditions : À la fin du XIIe siècle, Johannes Faventinus associe l'idée de guerre juste pour la défense de la patria avec celle de ratio (ou « raison d'État ») [1]. À partir de cet instant, la question essentielle est de savoir s'il existe des voies de droit évitant de recourir à la force.

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