Le "Vieux-Carré", quartier français de la Nouvelle-Orleans. - Bleu eldorado
Dimanche 4 mars 2012 7 04 /03 /Mars /2012 09:52 Le Vieux carré (en anglais, French Quarter) de La Nouvelle-Orléans, aux États-Unis, est le centre historique de la ville. Historiquement le Vieux carré était un quartier où les créoles francophones étaient logés. Il fut épargné des destructions de la plupart des villes du Sud lors de la guerre de Sécession car La Nouvelle-Orléans fut prise par l’Union (les Nordistes) sans combat. Il fut aussi épargné par l'ouragan katrina, le quartier français se situant au-dessus du niveau de la mer, il n'a pas été inondé et les dégats matériels y furent minimes. La plupart des bâtiments sont sont antérieurs à l'intégration de la ville aux Etats-Unis, bien qu'il existe quelques bâtiments de la fin du XIXe siècle et du début du XXe siècle. La plupart du patrimoine architectural du quartier français date de la domination espagnole sur la Nouvelle-Orléans. Dans le sud de la Louisiane, une distinction est faite entre les "balcons", qui sont indépendants,
Louis MOREAU GOTTSCHALK
Louis MOREAU GOTTSCHALK1829 - 1869 Fils d’Edward Gottschalk (1795-1853), né à Londres de père d’origine hongroise et de confession israélite (rabbin Lazarus, natif de Kismarton dans l’empire austro-hongrois, actuellement Eisenstadt en Autriche) et de mère anglaise d’ascendance espagnole, et de Marie-Aimée Moreau de Bruslé (1808-1856), Française, née à La Nouvelle Orléans dans une famille noble, originaire d’Haïti, rescapée du massacre commis par les esclaves rebellés, Louis Moreau Gottschalk, né le 8 mai 1829 à La Nouvelle Orléans (Louisiane), fut l’aîné de leurs sept enfants. La famille Moreau Gottschalk fut aisée, propriétaire d’esclaves, francophone, catholique, cultivée, mais désunie. Edward Gottschalk étudia le droit commercial aux universités de Londres et de Leipzig, s’exprima couramment en français, en espagnol et en allemand, fut amateur de musique, de littérature, de philosophie et d’histoire. Pierre Maleden lui enseigna l’alphabet de la composition. (4) - un Nocturne ; Notes :
NO_Storyville
Storyville, the legalized Red Light District of early 20th century New Orleans, was madeup of only sixteen square blocks and lasted just 20 years. But the echoes of the music nurtured there can still be heard all over the world.I say "nurtured" as opposed to "created" in Storyville, because, although many credit that District as the location of the birth of jazz, in truth, jazz was being created and re-created in many neighborhoods across the city. But Storyville played an important role in the music's development, giving some of the originators of this innovative music the opportunity to come together in the halls, saloons and brothels of the District to nurture this new genre.In 1897, Alderman Sidney Story proposed legislation to limit prostitution to the area between North Robertson and North Basin streets, and from Customhouse (now Iberville) to St.
Lulu White | The Honest Courtesan
What it comes down to is this: the grocer, the butcher, the baker, the merchant, the landlord, the druggist, the liquor dealer, the policeman, the doctor, the city father and the politician—these are the people who make money out of prostitution, these are the real reapers of the wages of sin. - Polly Adler Business was booming for the whores of late 19th-century New Orleans; there were some 2000 prostitutes and about 40 brothels scattered all over the city, and it is estimated that the gross income of the city’s sex trade at that time amounted to some $15 million per year (about $360 million in 2011 dollars!) Then, as now, this money flowed through the demimonde and into the conventional economy, enriching merchants, restauranteurs, liquor dealers, furniture stores, shoe salesmen, milliners and landlords, to name just a few. Lulu White, circa 1900 The Arlington (left, with domed cupola) and Mahogany Hall (right, with tower) Like this: Like Loading...
NEW ORLEANS ou L’HISTOIRE DU JAZZ
NEW ORLEANS ou L’HISTOIRE DU JAZZ Drapeau de la ville de New Orleans Port sur le Golfe du Mexique et embouchure du Mississippi, tour à tour française, espagnole, et américaine, ouverte aux influences des caraïbes, la Nouvelle Orléans n’a jamais renié son passé ni l’influence des Français et des esclaves africains. Ceux-ci avaient été amenés pour la culture du coton, de la canne à sucre, du tabac, mais aussi pour la construction navale, ou comme personnel de maison. Le règlement municipal interdisait que leur soient infligés des mauvais traitements. La ville comptait alors 300 000 habitants, en majorité catholiques. La musique jouait un rôle majeur dans la vie de la cité, aussi bien parmi les Blancs que parmi les Noirs, à chaque fête ou manifestation. Dans les Etats voisins, Alabama ou Géorgie, les Noirs avaient été éduqués par des maitres protestants, et trouvèrent dans les religions baptiste, méthodiste, ou pentecôtiste, un moyen d’expression et un espoir.