Prière de la Sérénité Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La Prière de la Sérénité est une des prières en usage chez les Alcooliques anonymes, un mouvement d'entraide fondé aux États-Unis. Cette prière propose d'obtenir la sagesse de faire la différence entre le changeable et l'inchangeable. Le texte de la prière[modifier | modifier le code] Traduction française[modifier | modifier le code] Mon Dieu, Donnez-moi la sérénité D'accepter Les choses que je ne puis changer, Le courage De changer les choses que je peux, Et la sagesse D'en connaître la différence. Anglais (version de R. God, Grant me the serenity To accept The things I cannot change, The courage To change the things I can, And the wisdom To know the difference. Allemand (traduction par T. Gott, gebe mir die Gelassenheit, Dinge hinzunehmen, die ich nicht ändern kann, den Mut, Dinge zu ändern, die ich ändern kann, und die Weisheit, das eine vom anderen zu unterscheiden. Gelassenheit accentue l'aspect du calme avant la gaieté évoquée par serenity.
Stanislav Grof Stanislav Grof, né à Prague (Tchécoslovaquie) en 1931, est un psychiatre tchèque, pionnier dans la recherche des états modifiés de conscience. Biographie[modifier | modifier le code] Stanislav Grof commence ses recherches sur les drogues psychédéliques, surtout le LSD, en 1956 à l'Institut de recherches psychiatriques de Prague où il les poursuit jusqu'en 1967. Il part alors pour Baltimore (Maryland, États-Unis) pour devenir chercheur et professeur de psychiatrie à l'université Johns-Hopkins. Vient le Printemps de Prague (janvier-août 1968), il reste aux États-Unis où, de 1967 à 1973, comme chef de projet au Centre de recherches psychiatriques du Maryland, il poursuit ses travaux sur le potentiel psychothérapeutique des états de conscience produits par l'utilisation du LSD dans un contexte approprié. Le programme porte en particulier sur certains types de population (toxicomanes, personnes en phases terminales, etc.) Ces deux derniers domaines forment le transbiographique.
Corps et esprit : l’identité humaine selon Spinoza 1.1 Coup d’œil sur la substance 1Les difficultés de la théorie cartésienne de la substance tiennent à ce qu’il existe non pas un, mais plusieurs concepts cartésiens de la substance. Ce concept varie selon le genre d’être auquel il s’applique, être infini ou fini, être fini étendu (corps) ou être fini pensant (âme). 2Chez Spinoza, il semble qu’au moins une partie de ces difficultés doit disparaître. 3Si l’on récapitule, selon qu’on accorde ou non le statut de véritables substances d’une part aux corps particuliers chez Descartes, d’autre part aux attributs chez Spinoza, l’écart entre leurs théories respectives de la substance semble plus ou moins grand. 1.2 L’escamotage de la question de l’homme 4L’homme peut être défini comme l’union d’une âme et d’un corps. 5Dans l’Éthique, le thème de l’homme apparaît pour la première fois dans les deux premiers axiomes de la deuxième partie. 6On peut dire que la question de l’homme est abordée ici sans transition. 2.1 Idée et idée de l’idée
Jouie et fait jouir sans faire de mal Spinoza et Nous - Forum • Afficher le sujet - Béatitude et détachement de soi Nous pouvons maintenant tenter d’éclairer la vie dans l’acquiescentia (ou béatitude) par le « détachement » eckhartien. L’extrait, cité dans le premier post, de l’ouvrage sur Maître Eckhart se terminait en disant que le détachement, selon Eckhart, était posé « comme la condition d’un accomplissement intérieur/extérieur pensé tout entier sous la figure positive de « présence à soi-même/être soi-même ». » On ne voit pas de différence entre un tel « détachement » et l’acquiescentia au sens de Spinoza mais poursuivons la lecture : « Il serait donc erroné de mettre l’accent sur une attitude ascétique ou volontariste qui impliquerait une séparation plus ou moins violente à l’égard du monde naturel et humain ; c’est pourquoi le terme de « détachement » doit être lavé, en l’occurrence, de certaine tendance doloriste dont il s’est chargé principalement au siècle dernier, et ne peut convenir que si on le tient libre de cette tradition. L’auteur poursuit :
Hédonisme Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L’hédonisme (du grec ancien : ἡδονή / hēdonḗ, « plaisir » et du suffixe -ισμός / -ismós) est une doctrine philosophique grecque selon laquelle la recherche du plaisir et l'évitement du déplaisir constituent l'objectif de l'existence humaine. Acceptions possibles[modifier | modifier le code] Pensée philosophique[modifier | modifier le code] Dans le même temps, les douleurs et les déplaisirs à éviter sont: les relations conflictuelles et la proximité des personnes sans capacités contractuelles (sans paroles), le rabaissement et l'humiliation, la soumission à un ordre imposé, la violence, les privations et les frustrations justifiées par des fables, etc. Ainsi, il n'y a pas d'hédonisme sans discipline personnelle, sans ascèse, sans connaissance de soi, du monde et des autres. Mais selon Nietzsche [8] la revendication de l'hédonisme chrétien n'est pas légitime. En ethnologie[modifier | modifier le code] Histoire[modifier | modifier le code]
Le site philosophique de l'académie de Reims - L'identité personnelle "Cela posé, pour trouver en quoi consiste l'identité personnelle, il faut voir ce qu'emporte le mot de personne. C'est, à ce que je crois, un Être pensant et intelligent, capable de raison et de réflexion, et qui se peut consulter soi-même comme le même, comme une même chose qui pense en différents temps et en différents lieux ; ce qu'il fait uniquement par le sentiment qu'il a de ses propres actions, lequel est inséparable de la pensée, et lui est, ce me semble, entièrement essentiel, étant impossible à quelque Être que ce soit d'apercevoir sans apercevoir qu'il aperçoit. Lorsque nous voyons, que nous entendons, que nous flairons, que nous goûtons, que nous sentons, que nous méditons, ou que nous voulons quelque chose, nous le connaissons à mesure que nous le faisons. Cette connaissance accompagne toujours nos sensations et nos perceptions présentes : et c'est par là que chacun est à lui-même ce qu'il appelle soi-même. [...] Bergson, L'évolution créatrice, 1907, P.U.F., 1998, pp. 4-6.
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Ajoutée le 5 nov. 2012
La conscience humaine n'est-elle qu'un produit du cerveau ? Et le cerveau lui-même n'est-il qu'un extraordinaire assemblage de neurones, ou l'outil qui permet à l'homme d'exprimer son humanité profonde ? L'homme est-il libre de penser ? Aujourd'hui les neurosciences permettent des découvertes étonnantes sur les fonctions du cerveau. Et lorsque l'on comprend cette extraordinaire complexité de fonctionnement, on ne peut que se poser la question fondamentale : comment le seul hasard - ou une multiplicité de hasards successifs - ont-ils pu permettre cela ? Est-ce qu'il y a quelqu'un qui pense ? Accompagnés de chercheurs en théologie, neuroscience, philosophie et éthique des neurosciences, les auteurs nous emmènent dans un voyage passionnant au coeur des mystères de la pensée humaine. Un film réalisé par Caroline Puig-Grenetier. Une coproduction Les Films de la Découverte et KTO - 2012.
Émission du 05/11/2012. by lavieapreslavie Oct 1