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L'agroécologie est-elle l'avenir de l'agriculture française ?

L'agroécologie est-elle l'avenir de l'agriculture française ?
Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Angela Bolis Jacques Morineau dans son exploitation, le GAEC (Groupement agricole d'exploitation en commun) Ursule, près de Chantonnay en Vendée. Les parcelles sont entourées de haies, qui favorisent la biodiversité. › Accéder au portfolio Il faut un œil averti pour identifier de quoi sont plantés les champs de Jacques Morineau, de part et d'autre des chemins de son exploitation vendéenne où bringuebale son vieux 4x4 tout infiltré de poussière de terre. Ce savant assemblage ne doit rien au hasard. Les cultures associées sont l'une des méthodes employées dans sa ferme, qu'il a convertie dans les années 1990 à l'agroécologie. Ces méthodes, si elles restent marginales en France, sont acquises au gré des expérimentations de quelques agriculteurs "pionniers", et de plus en plus explorées par la science agronomique : l'INRA en a fait l'un de ses deux champs de recherche prioritaires en 2010. Related:  Agroécologie

. L’agro-écologie : solution d’avenir pour l’agriculture et pour la ferme normande Pour le monde agricole, l’année 2014 restera marquée d’une pierre blanche à condition que nous ne rations pas deux échéances majeures : la loi d’avenir pour l’agriculture, l’alimentation et la forêt (LOA) actuellement examinée par le Parlement et les opportunités nouvelles offertes, dans le contexte de la réforme de la politique agricole commune (la PAC), par la régionalisation d’une partie des aides européennes qui sera effective au second semestre 2014. La loi d’avenir repose sur 4 piliers principaux : le soutien aux filières, notamment l’élevage, le renouvellement de la population agricole et l’installation des jeunes, le projet agroécologique pour la France, le lien et le dialogue entre les terroirs et les citoyens. Le Ministre, Stéphane Le Foll, met la barre haut : « faire de la France un leader de l’agro-écologie ». De quoi s’agit il ? Les lobbies rodent La partie n’est pas terminée. La Normandie sans production laitière et sans herbages ?

L'agriculteur qui prépare la révolution open-source (source : TED) Au cours de ses longues études, Marcin Jakubowski n'a cessé de s'interroger sur les capacités de la science à répondre à nos besoins concrets. Un doctorat de physique nucléaire en poche, cet Américian d'origine polonaise a délaissé les paillasses et les équations pour s'offrir une ferme dans le Missouri... et un tracteur. Jusqu'à ce jour de 2008 où la machine tomba en panne. Refusant de débourser 30 000 dollars pour acquérir un nouveau tracteur, Jakubowski décide de fabriquer le sien : un outil simple, fonctionnel, que l'on peut mettre à niveau à souhait, et surtout, plus rentable qu'un tracteur classique sur le long terme. le "LifeTrac" (source : TED) Travailler ensemble Il ne lui faut que trois mois et 6 000 dollars pour mettre au point le premier LifeTrac, une machine obtenue grâce à l'assemblage de tubes d'acier. Le "kit de construction du village global" (source : TED)

Ce qu'ils mangent en une semaine... voyage à travers les familles | Blog voyage Evaneos Savez-vous combien dépense votre famille chaque semaine en épicerie ? Certains me diront « facile! je sors mon petit carnet et je te dis ça tout de suite », d’autres répondront « euh… voyons… une centaine d’euros peut-être? non? plus? » Quant aux derniers, ils n’ont aucune idée ou une idée trop vague pour s’aventurer à répondre un nombre… (et j’en ferais sûrement parti) Mais quelle serait votre réaction si je vous demandais ce que consomme une famille en Equateur? Le résultat de son voyage? A chacun son mode de vie ! Voici les photos de © Peter Menzel: Allemagne: La famille Melander de Bargteheide – 2 adultes, 2 adolescents Les dépenses alimentaires pour une semaine: 375,39 Euros ou 500,07 $ Etats-Unis: La famille Revis de Caroline du Nord – 2 adultes, 2 adolescents Les dépenses alimentaires pour une semaine: 341,98 $ Japon: La famille des Ukita Kodaira City – 2 adultes, 2 adolescents Les dépenses alimentaires pour une semaine: 37 699 Yen ou 317,25 $

Au nom de la terre ! Echanges avec Pierre Rabhi et José Bové Leave a Reply La loi scélérate du 8 décembre 2011 va-t-elle bientôt sévir ? La loi du 8 décembre 2011 relative au « Certificat d’Obtention Végétale » (COV), proposée par un sénateur UMP, soutenue par le gouvernement de Nicolas Sarkozy et votée par la majorité UMP, a gravé dans le marbre l’interdiction de semer le grain récolté et l’obligation, dans cette hypothèse, de payer des royalties aux semenciers-sélectionneurs dès l’usage en deuxième génération des semences vendues sur le marché. Bien que François Hollande, alors candidat à la présidentielle, se soit engagé1 à retirer ce texte, ses décrets d’application sont en cours de préparation. Pour comprendre les enjeux de cette loi, il faut en connaître le contexte technique : là où les méthodes de sélection agronomique n’ont pas réussi à rendre le grain stérile ou dégénérescent en deuxième génération (hybrides F1), les semenciers cherchent, par des méthodes juridiques cette fois, à recréer le marché captif extrêmement lucratif que les hybrides F1 leur ont permis de s’aménager. Mais la réalité est toute autre.

Indian farmers better than scientists: Nobel laureate Joseph Stiglitz Agriculture scientists from across the world should visit indian farmlands to learn and be inspired by them, said the professor of economics at the prestigious Columbia University. Nobel laureate Joseph E. Stiglitz is impressed by the organic farming practices in Bihar's Nalanda district, terming its practitioners "better than scientists" and calling for their experiences to be researched so that these can be replicated elsewhere. "Indian farmers are better than scientists," Stiglitz said here after visiting organic farmers in Nalanda, the home district of chief minister Nitish Kumar. "It was amazing to see their success in organic farming. Agriculture scientists from across the world should visit their farm land to learn and be inspired by them," said Stiglitz, a professor of economics at the prestigious Columbia University and here to deliver the Asian Development Research Foundation Lecture 2013.

Techniques et avantages de la Culture sur Buttes. On les voit fleurir un peu partout, elles représentent une vraie révolution dans notre relation au sol et notre façon de cultiver. Symboles par excellence de l’agroécologie mais surtout de la permaculture , elles n’en sont pourtant qu’un élément parmi d’autres. Elles représentent l’antithèse du jardin à la papa : un espace riche et vivant, résistant à la sécheresse, à l’excès de pluie, un espace multidimensionnel extrêmement productif qui peut même être auto-fertile. L’observation et l’imitation de la Nature nous ouvre de nouvelles portes délivrées du travail du sol, des intrants chimiques et du pétrole, pour une agriculture non plate, non linéaire, vivante et qui crée de la fertilité. C’est Emilia Hazelipp qui semble la première avoir importé la culture sur butte en France. Deux grands courants pratiquent la culture sur buttes : le premier d’inspiration biointensive, le second d’inspiration permaculturale. Butte sandwich de Robert Morez Pour fabriquer une butte-sandwich Morez :

Rechercher producteurs locaux - Trouver producteur local de ma région - Locavore Farmers are the ones ploughing money into agriculture | José Graziano da Silva | Global development New data compiled for the Food and Agriculture Organisation's State of Food and Agriculture report, published on Thursday, shows that farmers are, by far, the greatest source of investment in agriculture. Farmers in low- and middle-income countries invest more than $170bn (£105bn) a year in their farms – about $150 (£93) a farmer. This is three times as much as all other sources of investment combined, four times more than the public sector's contribution and more than 50 times the size of official development assistance to those countries. Farmers' investment decisions are directly influenced by the investment climate in which they operate. In other words, the crucial factor in stimulating agricultural investment is not the size of government investments – although these need to grow too – but whether, and to what extent, developing country governments can provide adequate conditions for farmers to invest. Smallholders need special attention.

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