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Morphologie des plantes à fleur/Organes, reproduction

Morphologie des plantes à fleur/Organes, reproduction
Une page de Wikiversité. Début de la boite de navigation du chapitre fin de la boite de navigation du chapitre En raison de limitations techniques, la typographie souhaitable du titre, « Morphologie des plantes à fleur : Organes, reproductionMorphologie des plantes à fleur/Organes, reproduction », n'a pu être restituée correctement ci-dessus. Pièces florales[modifier | modifier le wikicode] Chez les angiospermes, les éléments reproducteurs sont regroupés dans les fleurs. Les différentes pièces florales Le pistil, ou gynécée. Lorsque pétales et sépales se ressemblent au point de les confondre (chez la tulipe par exemple) on parle de tépales. Le pédoncule ou pédicelle, qui est la « tige » supportant l'ensemble de la fleur. Formule florale[modifier | modifier le wikicode] Afin de décrire plus rapidement une fleur, on utilise la formule florale. S représentant les sépales, P les pétales, E les étamines, C les carpelles. Monoécie, diécie, hermaphrodisme[modifier | modifier le wikicode]

introcyto.htm Introduction à la cytologie 1 Définition La cytologie (du grec "kutos" = "la cellule" et "logos" = "le discours") est l'étude de la structure et de la physiologie de la cellule en général, quelles que soient son origine -animale, végétale, etc.- et sa fonction. C'est en 1665 que le botaniste Robert Hooke (1635-1702) découvrit la cellule (du latin "cellula" = "petite chambre"). Les structures alvéolaires observées dans de fines tranches de liège puis dans d'autres tissus végétaux étaient surtout les parois cellulaires cellulosiques des squelettes de cellules parfois mortes. A la même époque, Anthony van Leeuwenhoek (1632-1723), améliorant la qualité de la lentille du microscope (50 à 300 X) apparu en Hollande vers 1590, observait pour la première fois des cellules animales: entre autres celles des tissus sanguin et musculaire, les spermatozoïdes, et même les bactéries de sa bouche. 2 Les ordres de grandeur en microscopie 2.1 Les unités fondamentales étalonnées 3 Composition de la cellule

Pollinisation Tubes polliniques en croissance, ici à partir de grains de pollen de lys (ou lis).Chez quelques espèces, la croissance des tubes polliniques est dopée quand le taux d'UV augmente (par exemple chez des poacées)[1], mais chez la plupart des taxons elle est inhibée, de même que les capacités fécondantes du pollen[1]. Le trou de la couche d'ozone pourrait donc modifier la composition floristique des zones les plus exposées aux UV[2], avec un effet cumulatif démontré. La température peut aussi interagir avec la germination du pollen[3] Dans la plupart des espèces de plantes à fleurs, la pollinisation suivie d'une fécondation est indispensable à la formation des graines et des fruits. Si la pollinisation n'a pas lieu, par exemple en raison d'insuffisance de pollinisateurs spécialisés, la production de fruits et de graines est gravement affectée. Cela peut poser d'importants problèmes en agriculture. La pollinisation est un des services écosystémiques rendus par la biodiversité.

Le Monde des Végétaux - La Cellule Végétale Les premiers êtres vivants, apparus sur terre il y a environ 3,5 milliards d'années, étaient des bactéries dépourvus de noyau cellulaire : des procaryotes. C'est à partir de ces procaryotes que des êtres plus complexes sont apparus : les eucaryotes. Leur caractéristique essentielle est de posséder un noyau cellulaire qui renferme l'ADN, support de l'information génétique. Les principaux caractères distinctifs entre eucaryotes et procaryotes sont résumés dans le tableau suivant : La cellule végétale se distingue à son tour de la cellule animale par trois caractéristiques cytologiques majeures : Les plastes et les pigments assimilateurs Les plastes sont des organites limités par deux membranes. Les leucoplastes, dépourvus de pigments, tels les amyloplastes qui accumulent de l'amidon, substance de réserve. La paroi La paroi est l'enveloppe la plus externe de la cellule végétale. paroi primaire, de nature pecto-cellulosique, la paroi primaire n'existe seule que dans les cellules juvéniles.

Feuilleter l'herbier... Dans cette page voustrouverez le nom de toutes les plantes de l'herbier, commencez par choisir si vous voulez trier les plantes par leurs noms en français ou en latin, puis cliquez sur le nom de la plante pour consulter sa fiche. Vous pouvez également consulter l'arbre de la classification en cliquant ici. Une très brève histoire de l'informatique Ceci est une traduction (aimablement autorisée par l'auteur) de A Very Brief History of Computer Science, texte écrit en 1995 (et revu en 1999) par Jeffrey Shallit pour ses étudiants de l'Université de Waterloo (Canada). La plupart des notices biographiques obtenues en cliquant sur les noms cités font partie de l'excellente base de données MacTutor History of Mathematics archive, développée et gérée par John O'Connor et Edmund Robertson à l'Université de St Andrews (Ecosse). Avant 1900 Les machines à calculer sont utilisées depuis des milliers d'années : on trouvait probablement des abaques à Babylone en 3000 avant notre ère. Les Grecs ont fabriqué des calculateurs analogiques très perfectionnés. L'Ecossais John Napier (1550-1617), l'inventeur des logarithmes, fabriqua vers 1610 les règles de Napier pour simplifier la multiplication. En 1641, Blaise Pascal (1623-1662) construisit une machine à additionner. 1900 - 1939: l'avancée mathématique L'étude des machines à calculer se poursuivait.

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