Alternance jour-nuit et ensoleillement de la Terre L'animation permet de comprendre le phénomène des saisons. L'axe de rotation de la Terre n'étant pas perpendiculaire au plan de l'écliptique, selon la période de l'année, les rayons du Soleil n'arrivent pas de la même manière à la surface de la Terre : c'est le phénomène des saisons. Aux équinoxes, les rayons du Soleil sont parallèles au plan de l'équateur ; entre les équinoxes, ils sont au-dessus (printemps, été) ou en-dessous (automne, hiver), avec un angle maximum aux solstices : le soleil se positionne alors au-dessus d'un des tropiques (tropique du Cancer au solstice d'été, tropique du Capricorne au solstice d'hiver. La déclinaison solaire correspond à l'angle que font les rayons solaires avec le plan de l'équateur. Elle varie entre -23°26' et +23°26'. La limite de l'ombre (un grand cercle de la Terre) oscille donc de part et d'autre de la position à l'équinoxe. Le petit soleil montre l'endroit de la Terre où le Soleil est au zénith à cet instant. Mode d'emploi Manipulation
Plongez dans la plus grande carte 3D de l’Univers Pour compléter et prolonger le débat du précédent billet paru sur ce blog (quelles expériences scientifiques mener si l'on a 1 million d'années devant soi), il faut, comme quelques commentateurs l'ont suggéré, évoquer l'exploration spatiale de l'Univers. Avec un "budget" de plusieurs centaines de millénaires, la chose semble plus accessible mais cela demeure une impression quelque peu trompeuse. Le vaisseau spatial habité le plus rapide de l'histoire est Apollo-10, avec une vitesse de 11 kilomètres par seconde. Mille fois plus rapide qu'Usain Bolt. A supposer que les progrès de la technologie nous permettent d'augmenter la vitesse de nos vaisseaux jusqu'à atteindre une moyenne de 1% de la vitesse de la lumière, ce qui est énorme (3 000 km/s). Heureusement, il existe un autre moyen (plus rapide et plus sûr) de "voyager" dans l'Univers. Dans cette animation figurent "seulement" 400 000 galaxies et l'on ne va pas plus loin que 1,3 milliard d'années-lumière.
VO Solar System Portal The IMCCE is a research institute of the Paris Observatory of Paris, associated with the CNRS (UMR8028), whose work concerns mainly the dynamic and planetologic studies of the bodies of the solar system and of the terrestrial environment: planets, natural satellites, asteroids, comets and meteoroids. For this reason, IMCCE has the ambition to place at the disposal of the Virtual observatory its knowledge and its expertise concerning the dynamics and the physics of the bodies of the solar system through databases, ephemeris computation services, tools of simulation, and numerical computation services fully compliant with the interoperability concept of the Virtual Observatory. The first stage of VO-IMCCE project consisted, in 2003, to carry out an interconnection between VizieR (CDS) and the IMCCE service of calculation of ephemerides for the asteroids. In 2006 and 2007, we undertook the development of five other VO services of which we constructed prototypes.
Voir le ciel et les étoiles comme dans un télescope avec l'app Star Walk Si l'astronomie vous intéresse, vous serez vraiment impressionné par l'application pour iPhone et iPad Star Walk développée par Vito Technology. C'est une vraie petite encyclopédie qui passe au peigne fin différents sujets: constellations, planètes, étoiles, satellites, etc. Et tout ça se fait avec une carte interactive 360 degrés qu'on contrôle avec les doigts! Plus besoin de télescope pour voir ce qui se passe au-dessus de nos têtes; on pointe notre appareil vers le ciel et une image détaillée apparaît sous nos yeux avec tous les astres qu'on ne verrait pas à l'œil nu. Au départ, le projet était destiné aux étudiants et aux professionnels de l'astronomie, mais on s'est vite rendu compte que le grand public s'y intéressait aussi. Si bien que les créateurs ont été récompensés: en 2010, ils ont remporté un prix au "Apple Design Award" pour l'application iPad Star Walk. L'application Star Walk Mais le meilleur est à venir... C'est très impressionnant de voir à quel point c'est précis!
Blueturn | The Whole Earth experience Télécharger Stellarium 0.11.4 Plus d'images Stellarium est un logiciel gratuit dans la lignée de Google Earth qui propose de visualiser le ciel lui aussi. Il affiche en effet toutes les merveilles du ciel. La caméra au milieu d'une plaine choisie sur une carte du monde et le ciel animé en 3D et en temps réel permettent d'identifier très facilement les étoiles, les planètes et les nébuleuses. Ce logiciel ne donne pas que le nom des astres, il indique aussi leur distance par rapport à la Terre ainsi que d’autres informations qui raviront les passionnés comme les néophytes. Au-delà de ça, le logiciel permet d'accélérer le temps pour assister à de magnifiques levers et couchers de Soleil. Son utilisation est simple, avec une interface en français intuitive et des graphismes impeccables. Vous pouvez également vous rendre sur notre dossier comparatif des logiciels gratuits afin de vous faire une idée et sélectionner celui qui peut répondre à vos besoins : Tous les meilleurs logiciels gratuits.
Constellations zodiacales Si les constellations aident efficacement à se repérer rapidement dans le ciel, ces figures ne sont basées que sur des regroupements apparents d'étoiles situées à des distances différentes de la Terre et se déplaçant dans des directions également différentes. Aussi, l'aspect des constellations change avec le temps. L'aspect du ciel de l'homme des cavernes n'est pas le même qu'aujourd'hui. Par exemple, la constellation de Cassiopée, un regroupement composée de cinq étoiles principales de luminosité assez comparable et que l'on identifie facilement dans le ciel de l'hémisphère nord grâce à la position relative des étoiles qui semblent dessiner un "W" caractéristique, n'est rien d'autre qu'une aide au repérage d'une région du ciel. Les étoiles qui nous servent à dessiner le célèbre "W", comme la plupart les étoiles qui composent les autres constellations, n'ont pas de liens réels entre elles. Comme toutes les constellations, le célèbre "W" n'est qu'un effet de perspective.
astronomie * carte du ciel en temps réel Bien sûr que non, vu de France il est bleu-blanc-rouge etvu de Belgique le ciel est noir ! Les poussières de charbon tu vois ? Merci pour cette recherche ce sera utile.Faut encore savoir comment regarder ça à l'air de rien mais c'est pas évident. PS: avant hier après Jupiter j'ai cru voir Saturne, mais je suis loin d'être sûr. PS2: la plus belle chose que j'aie vu dans le ciel c'est quand même quand j'étais marin. Jouer pour rester jeune, rester jeune pour jouer. Mon vélo c'est ma liberté.
Espace Enseignants - Les planètes Une planète est un corps céleste de forme sphérique qui tourne autour d’une étoile (appelée étoile hôte) sans rencontrer d’autres corps sur son orbite. Les planètes se créent à partir de poussières et de gaz présents autour d’une étoile dans ce que l’on appelle le disque d’accrétion « proto-planétaire ». Les particules de poussière de ce disque s’agglomèrent progressivement sous l’effet des forces électrostatiques. Depuis toujours l’Homme s’est intéressé à la voûte céleste. Certaines planètes de notre système solaire sont restées inconnues plus longtemps car invisibles à l’œil nu. Il faut attendre Michel Mayor et Didier Queloz, deux astrophysiciens suisses, pour la découverte, en 1995 à l’Observatoire de Haute-Provence, de la première exoplanète (planète en dehors du système solaire) qu’ils appelleront 51 Peg b (ou Dimidium) du système de l’étoile 51 Peg (ou Helevetios). 51 Pegasi b, première exoplanète détectée en 1995, vue par un artiste. © ESO/M. Les Différents types de planètes
Carte du Ciel Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Carte. Le projet Carte du Ciel était un projet astronomique international destiné à cartographier et relever les coordonnées de plusieurs millions d'étoiles de la sphère céleste, jusqu'à une magnitude apparente de 11 ou 12 environ. Le projet a débuté en 1887, sous l'impulsion de l'Observatoire de Paris, alors dirigé par Amédée Mouchez[1], qui fut un des premiers à réaliser le potentiel des nouvelles techniques photographiques dans le domaine de la cartographie des étoiles (l'astrophotographie). Principe[modifier | modifier le code] Mouchez a lancé le projet en 1887 au cours d’un congrès astronomique international qui réunit à Paris 56 participants représentant 16 pays. Le travail impliquera deux étapes, qui seront menées de front : Résultats[modifier | modifier le code] Notes et références[modifier | modifier le code] Voir aussi[modifier | modifier le code]