background preloader

L'Ara Pacis Augustae à Rome

L'Ara Pacis Augustae à Rome
L'Ara Pacis augustae était constitué d'un autel de sacrifices entouré d'une enceinte à ciel ouvert de 6 mètres de hauteur, avec une entrée principale et frontale, et une entrée à l'arrière. Les dimensions globales du périmètre étaient d'à peu près 12 x 11 mètres. Autel, enceinte intérieure et extérieure étaient en marbre blanc et couverts de bas-reliefs de facture classique d'une qualité tout à fait remarquable, qui font de cet ensemble le chef d'œuvre absolu de l'art augustéen. Retour à la simplicité rustique des premiers âges Retour aux origines mythiques de Rome et de la gens Julia Sur la façade de l'entrée, de part et d'autre de l'accès à l'espace intérieur du sacrifice, deux bas-reliefs rappellent la relation affichée par Auguste entre sa famille et les héros des âges mythiques. Mise en scène des valeurs augustéennes : Pietas et Familia Célébration du retour de l'Age d'Or Dans cette mise en scène, les enfants sont mis en avant de manière systématique. Et sur la toile

Fragment de l'Ara Pacis (Autel de la Paix) Ce relief provient de l'Ara Pacis, l'Autel de la Paix élevé sur le Champ de Mars en l'honneur d'Auguste, entre 13 et 9 av. J.-C., pour célébrer son retour victorieux d'Espagne. L'empereur précède un cortège composé de membres de la famille impériale, de prêtres, de magistrats, de sénateurs. La procession s'inspire délibérément du classicisme grec. Par l'équilibre et le raffinement de sa composition, ce fragment témoigne des modèles choisis par Auguste pour les manifestations de l'art officiel. L'autel de la "Paix d'Auguste" Ce fragment appartient à l'autel de la "Paix d'Auguste", l'Ara Pacis, érigé sur le Champ de Mars entre 13 et 9 av. Empreinte du classicisme grec sur l'art officiel Cette procession s'inspire délibérément du classicisme athénien du Ve siècle av. Programme architectural à la gloire d'Auguste Au Ier siècle av. Bibliographie - REHAK P., "Aenas or Numa ? - HANNASTAD N., "Late-antique reworking of the Ara Pacis ?" - BARTMAN E., Portraits of Livia.

Related: