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Unnamed pearl

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Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Bauwens. Michel Bauwens, né le , est un théoricien belge du Pair à pair, auteur et conférencier sur des sujets technologiques et culturels innovants. Biographie[modifier | modifier le code] Michel Bauwens a obtenu un diplôme en Relations politiques/Relations Internationales en 1981 à l'université libre de Bruxelles[1]. Entre 1997 et 1998 il a coproduit, avec Frank Theys, un documentaire de trois heures sur le transhumanisme intitulé « TechnoCalyps, the metaphysics of technology and the end of man »[4]. En 2010, il a participé au forum mondial du libre comme conférencier. En 2008 et 2012 il a été expert pour l'Académie pontificale des sciences sociales. Il a enseigné l’anthropologie numérique à ICHEC/St. Depuis mars 2003 il vit en Thaïlande à Chiang Mai. La théorie du pair à pair[modifier | modifier le code] Le pair-à-pair fait référence à la structure d’un réseau. Bibliographie[modifier | modifier le code]

Rendre autonome la production entre pairs Dans cet article nous décrirons d’abord simplement la mécanique de création de valeur de la production entre pairs, ainsi que le système institutionnel qui émerge autour, pour ensuite voir comment ce système s’insère dans l’économie politique du capitalisme. Enfin nous examinerons s’il est possible de sortir ce système émergent de cette interdépendance, afin de rendre son processus de reproduction "autonome". La question sous-jacente étant : la production entre pairs peut-elle être plus qu’un simple adjoint du capitalisme ? Si oui, à quelles conditions ? La production entre pairs et ses institutions La production entre pairs regroupe tout système de production de valeur ouvert à la participation de toutes personnes capables d’apporter une contribution à l’ensemble, sans besoin de permission préalable, et dont le résultat du travail collectif est mis à la disposition de toute l’humanité sous la forme d’un commun. L’imbrication du système de production entre pairs dans le capitalisme

A Strategy for & around the Commons We often think of the commons as shared assets, whether elements of our environment such as forests, the atmosphere, oceans, space, rivers, lakes, fisheries or grazing land, or emerging digital and cultural resources such as the internet or Wikipedia. Commons are usually characterized as resources, natural or social, tangible or intangible that must be kept abundant; collaboratively governed by the communities and networks that produce or use them and have a stake in keeping them sustainable for their own livelihood and for posterity. Commons, commoning and commoners are three key elements that work together, and make up what characterizes the commons. Beyond this traditional definition, most of us who are actively seeking to create a world where people and nature can thrive are actually nurturing a piece of the commons. > > > We have elaborated on this here - and there.

Four Scenarios for the Collaborative Economy Two scenarios are “for profit oriented” and two scenarios are “for benefit” oriented, which one do we choose? Watch the video here, explanations below: This mini-essay attempts to simplify possible outcomes by using two axes or polarities which give rise to four possible scenarios. The first axis concerns the polarity of centralized versus distributed control of the infrastructure, whereas the second axis relates a orientation towards the accumulation or circulation of capital versus an orientation towards the accumulation or circulation of the Commons. The four quadrants of future scenarios. Netarchical Capitalism We define as “netarchical capitalism” the first combination (upper-left) which matches centralized control of a distributed infrastructure with an orientation towards the accumulation of capital. Distributed Capitalism The second combination, (bottom-left) called “distributed capitalism”, matches distributed control but with a remaining focus on capital accumulation. Global Commons

A sceptical review of Chris Anderson’s Makers Excerpted from David Rotman: “What kind of future might the maker movement bring us? Anderson envisions it could mean that “Western countries like the United States regain their lost manufacturing might, but rather than with a few big industrial giants, they spawn thousands of smaller firms picking off niche markets.” The problem with this thesis is that ­Anderson makes little effort to explain how a community of creative and enthusiastic individuals or small startups might give rise to an industrial movement capable of transforming and revitalizing manufacturing. His analyses often seem incomplete: “Because of the expertise, equipment, and costs of producing things on a large scale, manufacturing has been mostly the provenance of big companies and trained professionals. That’s about to change. Anderson’s prediction that many consumers will move away from cheap mass-produced goods to the work of “industrial artisans” could someday come true.

Michel Bauwens : « Un mode de production postcapitaliste émerge » Dans le cadre du nouveau numéro d’Usbek & Rica, consacré à l’avenir du capitalisme, nous avons interviewé Michel Bauwens. Théoricien belge du modèle peer-to-peer, créateur de la Fondation P2P, il travaille aujourd’hui avec le gouvernement équatorien pour mettre en place une politique de transition vers ce qu’il appelle une « social knowledge society ». Depuis Quito, il a pris le temps de nous répondre par Skype. Le peer-to-peer est-il un modèle anticapitaliste ? Peut-il constituer un système global alternatif ? Michel Bauwens : Je préfère parler de postcapitalisme plutôt que d’anticapitalisme. Et vous pensez que nous sommes aujourd’hui dans la même situation ? Je crois que nous assistons à l’émergence d’un mode de production postcapitaliste, qu’on appelle, selon les usages, « production entre pairs » ou « économie contributive ». La croissance ne peut pas perdurer indéfiniment Airbnb est souvent présenté comme la plus belle réussite de l’économie collaborative. Absolument.

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