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» L’économie symbiotique

» L’économie symbiotique
Depuis 40 ans, des acteurs du monde entier ont développé de nouvelles stratégies durables dans tous les secteurs : agriculture, énergie, habitat, gestion des déchets et de l’eau, mobilité, biens d’équipements et de consommation… Bien qu’élaborés dans des contextes très différents et sans concertation, ces modèles économiques présentent une admirable récurrence de fonctionnement et une cohérence globale qui a été peu dégagée à ce jour. Leur émergence parallèle et non concertée montre qu’un vrai nouveau souffle irrigue notre époque et avance de façon autonome et forte, rassemblant de plus en plus d’industriels, de territoires, de citoyens et de consommateurs dans un mouvement qui a dépassé les signaux faibles. L’économie symbiotique apporte ainsi une toute nouvelle voie pour le développement durable : Un développement où l’homme ne fait pas « moins pire » mais « bien ». L ‘économie symbiotique se caractérise par 6 principes récurrents qui interagissent en synergie (fig1).

Qui sommes-nous ? L’Institut INSPIRE (Initiative pour la Promotion d’une Industrie Réconciliée avec l’Ecologie et la société) est une association loi 1901. L’Institut INSPIRE est un centre de réflexion, de mutualisation des connaissances et d’actions au service de la réconciliation de l’économie et de la biosphère. Ses actions ont pour objectifs : de promouvoir la préservation et la restauration de la dynamique et de la fonctionnalité des écosystèmes, de favoriser la création d'emplois porteurs de sens et créateurs de lien social, d'inciter les entreprises à reconsidérer leurs modèles économiques et de production pour prendre en compte leurs interactions avec la biosphère, d'inciter les collectivités à prendre en compte la pérennité du capital naturel dans les politiques d'aménagement du territoire ou de développement économique. Les principes fondateurs de cette réflexion sont : Les activités de l’Institut INSPIRE s’articulent comme suit :

L’économie circulaire… pour empêcher l’économie de tourner en rond Transposer l’équation « Extraire, produire, consommer, jeter » de l’économie actuelle, fondée sur le gaspillage des ressources naturelles, par un système alternatif : le cycle des écosystèmes. Tel est l’objectif de l’Institut de l’économie circulaire, officiellement lancé le 6 février dernier. Un principe économique et écologique simple est affirmé : les déchets des uns sont récupérés pour devenir des ressources pour d’autres. La rédaction d’un livre blanc pourrait aboutir à un projet de loi en 2017. « Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme »… C’est à Antoine Laurent de Lavoisier (1743 – 1794) que l’on attribue cette maxime. Mais couper les têtes ne change rien aux réalités, surtout celles qui dérangent. Finalement, deux siècles de société industrielle nous ramènent au point de départ ! Rappelons que la biomasse désigne l’ensemble des matières organiques pouvant se transformer en énergie. Nos filières industrielles vont donc devoir se verdir. Daniel LACAILLE

Tendances - Sharing Economy : l'économie du monde moderne ? Publié le 20 août 2013 Avec 3.5 milliards de revenus selon Forbes, l'économie du partage s'installe tranquillement dans nos habitudes. Effet positif de la Crise, ce nouveau commerce n'a pas fini de faire parler de lui. Précisions avec Loic Le Meur, le fondateur de la conférence internationale LeWeb Article paru dans la Revue INfluencia papier et digitale N 6 : Changer : on a tous les clés « Nous assistons à un mouvement de fond qui n’est pas prêt de s’arrêter ! Un changement qui peut mener dans les prochaines années à un véritable bouleversement de l’économie mondiale et des mœurs au travers de nouveaux modes de consommation. « On ne peut éviter la Sharing Economy ! Certains sont désormais mondialement connu comme Airbnb, un des fers de lance de la consommation collaborative qui met en relation des consommateurs et des propriétaires immobiliers désireux de louer leurs biens en direct sans passer par un acteur de la location. Gaël Clouzard / @G_ael

C2C, label de l’économie circulaire Après l’économie verte ou encore l’économie positive, c’est au tour de l’économie circulaire de faire des émules. Cette dernière fait sienne le célèbre énoncé du chimiste Antoine Laurent de Lavoisier: "Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme". Autrement dit, elle s ‘inspire des écosystèmes naturels, où les déchets des uns sont les ressources des autres. L’économie circulaire est même l’objet d’un nouveau think tank présidé par le député écologiste des Bouches-du-Rhône François-Michel Lambert. Mais depuis plus dix ans, cette approche est déjà mise en application à travers le cradle-to-cradle: un mode de conception des produits, fondé sur la réutilisation permanente des ressources, qui convainc de plus en plus d’entreprises. Cradle-to-cradle, l’économie circulaire appliquée L’approche cradle-to-cradle (C2C) vise un impact positif sur l’homme et l’environnement via la fabrication de produits non toxiques, recyclables à l’infini ou biodégradables. Vers des entreprises C2C?

Présentation - POSECO - Centre d'action pour une Économie Positive Responsable Économie circulaire, vers un nouveau modèle de prospérité Contribution de l'Institut de l'économie circulaire à la table ronde économie circulaire des 20 et 21 septembre 2013 TABLE RONDE « ECONOMIE CIRCULAIRE » CONFERENCE ENVIRONNEMENTALE DES 20 ET 21 SEPTEMBRE 2013 CONTRIBUTION DE L’INSTITUT DE L’ECONOMIE CIRCULAIRE « L’ECONOMIE CIRCULAIRE, NOUVEAU MODELE DE PROSPERITE » Le modèle de production et de consommation qui prévaut depuis la révolution industrielle repose sur des ressources naturelles abondantes et un schéma linéaire : Matières premières extraites > production > consommation > déchets. Ce modèle de développement a permis d’accélérer le « progrès » et à des milliards d’individus d’accéder à une certaine prospérité matérielle. Le fondement de la société de consommation trouve aujourd’hui ses limites face aux défis environnementaux, d’emploi et de l’augmentation de la population mondiale qui devrait progresser de 43% entre 2012 et 2100. Cette évolution peut-elle se faire spontanément, ou doit-elle être encouragée ?

Sacred Economics | Charles Eisenstein | Money, Gift and Society in the Age of Transition. Obsolescence déprogrammée, ces industriels qui s’engagent (1/3): Dyson Difficile d'aborder la question de l'obsolescence programmée avec les industriels. Accusés de produire des biens "prêts à jeter", certains ne veulent plus en entendre parler, ou accusent les consommateurs et l'évolution de leurs usages. Pourtant, des marques s'engagent sur la durabilité de leurs produits et modifient leur modèles économiques en fonction. La preuve avec trois d'entre elles, interrogées cet été dans le cadre d'une enquête menée pour le Hors-Série Réussir "Ces métiers qui changent le monde" de L'Express, en kiosques depuis le 31 octobre 2013. Commençons par cet échange avec Dimitri Peucelle, directeur général de Dyson France, marque d'électroménager britannique connue entre autre pour ses aspirateurs sans sac et le design de ses produits. Quelle est le positionnement de Dyson aujourd'hui sur le marché de l'électroménager ? En France, Dyson est en tête du marché des traîneaux depuis 2010, avec 21.6% de part de marché valeur (GfK, mai 2013). Pour aller plus loin

8ème Congrès de l'Economie Bleue Détails Publié le lundi 7 octobre 2013 17:59 Le huitième Congrès international de l’Economie bleue s’est tenu les 24 et 25 avril 2013 à Madrid. Ce Congrès a réuni environ 400 personnes venant de 32 pays différents ; beaucoup sont venues pour témoigner de l’avancement de leurs travaux : près de 40 témoignages d’une grande variété d’applications et d’une grande cohérence globale, tous alignés sur les principes de l’économie bleue proposés par Gunter Pauli et soutenus par la Fondation ZERI. Le présent « compte-rendu » ne rendra pas compte de l’intégralité de ces multiples témoignages, mais retiendra tout ce qui peut aider à la compréhension de la vision, de la méthode et de la « puissance » de cette démarche de « réinvention » d’une économie saine que l’on peut proposer à nos enfants pour demain 1.1. 1.2. Le cas de l’île de Hierro est bien connu désormais. Ce sont 10 à 20 années d’efforts qui ont été nécessaires pour en arriver au point où l’on en est aujourd’hui. 2.1. 2.2. 2.3. 2.4. 2.5.

Qu’est-ce qu’une entreprise de transition ? | Coopérer, innover, anticiper ! Fiona Ward du projet REconomy (Réseau mondial de Transition) répond à la question "à quoi ressemblerait une entreprise sociale fondée sur les principes de Transition ?". Cet article vise à stimuler la discussion, alors merci d’avance pour vos commentaires. Il y en a 15 (non traduits) sous l’article en version originale anglaise. Pourquoi avons-nous besoin de cette définition ? Définir ce que nous entendons par entreprise de transition (EdT) permet de clarifier quel genre d’entreprises commerciales nous préférons en tant que Réseau international de Transition : ce sont celles qui soutiennent le mieux les objectifs étendus de la Transition,et vers lesquelles nous devrions orienter en priorité nos ressources limitées (par exemple via le projet REeconomy). D’autres types d’entreprises commerciales peuvent également contribuer aux objectifs de la Transition. Les initiatives de transition sont invitées à affiner cette définition en fonction de leur propre contexte, si nécessaire. Like this:

REconomy NOVUS | Nouvelles Opportunités Valorisant les Usages et le Service

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