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xMOOC vs cMOOC - Pédagogie MOOC - Degré de liberté

xMOOC vs cMOOC - Pédagogie MOOC - Degré de liberté
I only learned recently that I’ve not been enrolled in MOOC classes at all, but have instead been involved with something called an xMOOC. At first I was curious why anyone would want to eliminate the only saving grace of the MOOC acronym (its pronounceability), but apparently two variations are meant to distinguish the type of professor-centric massive courses that have received most of the attention over the last couple of years (xMOOCs) from a different vision for massive online education built around connectivity (cMOOCs). Lest you think this distinction is just an attempt to glom onto MOOC media mania to push a different educational agenda, the connectivist vision behind the cMOOC actually pre-dates the Stanford experiment (and resulting initiatives from that experiment such as Udacity, Coursera and edX) by several years. Learning is the creation and removal of connections between the entities, or the adjustment of the strengths of those connections. 1. 2. 3. 4. 5.

Le deuxième "MOOC" francophone fait fureur "Massive Open Online Course", "Cours de masse en ligne et gratuit", tel est le concept qui se cache derrière cet acronyme. Dans la réalité, cela représente un cours suivi par plus de 3600 étudiants en même temps, chacun depuis son PC, partout dans le monde et gratuitement. Depuis 2008, toutes les universités américaines ont pris progressivement le pli du télé-enseignement. Les MOOC font désormais partie des activités courantes dans une société où apprendre n’est plus une activité réservée à une période, l’enfance et la jeunesse, mais s’exerce tout au long de la vie. Qui dit cours dit examen Les MOOC sont plus que de simples tutoriels ou "webinars" (séminaires web) tels qu’on peut en suivre à son rythme sur Youtube ou ailleurs. Concrètement, les cours utilisent les fonctionnalités du web 2.0, interactif et pas seulement consultatif. Bref les MOOC ne sont pas réservés aux thèmes des "geeks", ces fous de technologie et d’informatique. Retard en français mais beau démarrage Patrick Bartholomé

Autour des MOOC - Intercoop - Nightly Une page autour des MOOC, cours de masse en ligne et ouverts (Massive Open Online Course) une collecte de références initiée par Michel Briand, Telecom Bretagne, à compléter (wiki ouvert) Nous nous dirigeons vers un nouveau modèle radicalement ouvert, asynchrone et collaboratif. Actualité Agrégations France Université Numérique (FUN) le portail initié par le Ministère de l'enseignement supérieur et classé en : "Environnement, Juridique, Management, Numérique, technologie, Santé, Sciences, Sciences humaines". le portail des MOOC de l'union européeenne, 195 MOOC référencés au 26 octobre 2013. Agrégation via scoop it Massively MOOC “Examining the development of the Massive Open Online Course” par eLearning and Design, 53 pages août 2013. par Lucas Gruez, 32 pages août 2013 dont 5 en français. Nouvelles technologies pour l'enseignement et la recherche par David Varennes, 12 pages juillet 2013. Réseaux sociaux Sites et blogs autour des MOOC et de l'innovation pédagogique Les MOOC francophones

Bientôt des cours filmés de l’École Polytechnique gratuitement sur Internet : l’enseignement supérieur de demain se fera-t-il à distance Avec le développement des massively open online courses (MOOC), ces cours en ligne gratuits dispensés aux États-Unis par les plus grandes universités, le e-learning est devenu le sujet d’intérêt majeur des acteurs de l’enseignement supérieur. En annonçant qu’elle rejoint Coursera, l’École polytechnique ouvre bien grandes les portes des MOOC à la française. On doit cette terrifiante allégorie d'un MOOC transformant tout sur son passage dans l'enseignement supérieur à Michael Branson Smith, un professeur assistant de communication du York College de New York. Aux États-Unis ils s’appellent Coursera, Udacity ou edX, au Royaume-Uni FutureLearn s’apprête à se lancer, tous mettent en ligne des centaines de cours gratuits pouvant ensuite déboucher sur l'obtention de certificats. Auparavant, la Khan Academy mettait bien des cours en ligne mais ne se prenait pas pour une grande université pour autant. La page de l'Ecole Polytechnique sur Coursera. Former ceux qui ne se forment pas Share and Enjoy

comment mettre en plac dans une grande L'invasion des moocs : les cours multimédia en ligne arrivent en France La nouvelle marotte des geeks ? Les moocs. Un acronyme barbare qui désigne un objet numérique pourtant très civilisé : le massive open online course, ou cours en ligne ouvert et massif. Cet instrument de savoir collectif est totalement gratuit et accessible sur le web. Le mooc est un cocktail à base de e-book, de cours filmés avec un professeur qui explique sa matière, d’exercices interactifs et de discutions en direct avec l’enseignant, via une webcam. Certaines grandes écoles, comme Polytechnique, proposent à partir du mois de septembre quelques cours en ligne aux internautes, mais il faut s’y inscrire à une période précise. Entre 100 et 200 euros pour un certificat "Une dizaine de cours seront accessibles dès la fin de l’année 2013, dont certains en partenariat avec des universités et des grandes écoles. Qui sera le professeur chargé de transmettre les bases du langage HTML à ces élèves ? Des anciens de l’e-éducation Lélia de Matharel Un jeune créatif de... 13 ans !

Un MOOC pour apprendre à entreprendre 5 fév 2013 Les cours en ligne prennent un nouvel essor avec l’arrivée d’outils développés pour un usage massif. Exemple de ces potentialités avec une initiative de nos voisins hispaniques, qui utilisent ce système pour sensibiliser à l’entrepreneuriat. Le premier MOOC en espagnol consacré à l’entreprise numérique a été inauguré en grande pompe à l’Université d’Alicante le 25 janvier dernier. En quelques jours, plus de 11.000 personnes de 90 pays différents se sont inscrites. L’Espagne se revendique comme précurseur en la matière Ancien président de l’université, Andrés Pedreño, l’instigateur de cette initiative, estime que le MOOC ne met pas en danger l’université traditionnelle, mais qu’il oblige à la redéfinir, et à déterminer notamment la valeur ajoutée des cours en présentiel. Impact institutionnel et médiatique en tout cas, car ce MOOC a reçu le soutien de la CRUE – l’équivalent espagnol de la Conférence des Présidents d’Université -, de Google et de diverses fondations privées.

Un MOOC (un quoi?!?) sur les réseaux sociaux en éducation débutera le 11 mars Audrey Miller, publié le 14 février 2013 Les organismes belges Pedago-TIC et École Numérique se sont alliés pour créer ReSOP, un MOOC qui permettra de réfléchir et participer pendant 4 semaines à l’intégration des réseaux sociaux dans les pratiques pédagogiques. (Vous n’y comprenez rien? Pas de problème, on vous explique!) Premièrement, définissons le MOOC. L’acronyme vient de Massive Open Online Course. Ensuite, comprenons que ReSOP est l’acronyme de Les Réseaux Sociaux comme Outils Pédagogiques. Donc, ReSOP est un MOOC qui mettra à la disposition des intéressés une communauté d’apprentissage au sein de laquelle les participants pourront réagir, encourager, enrichir, proposer et partager autour d’une thématique précise : les réseaux sociaux, et plus particulièrement Facebook et Google+, dans la pratique pédagogique. Le cours débute le 11 mars et se termine le 7 avril. Comment ça se passe? À propos de l'auteur Audrey Miller Pour suivre l'auteur :

Mooc : la standardisation ou l’innovation Le développement des cours en ligne massifs et ouverts (Mooc pour massive online open courses) attise autant l’enthousiasme que le rejet. Pourtant, comme nous l’avons déjà signalé, ils n’ont rien de magique et paraissent bien souvent plus une réponse économique qu’éducative. En accentuant la concurrence entre universités et entre les étudiants eux-mêmes… les Mooc semblent répondre à un problème pédagogique par une solution économique très spécifique. Si vous n’avez pas encore succombé au buzz des Mooc (massive online open courses, Cours en ligne ouvert et massif), ça ne saurait tarder : le temps de l’enseignement supérieur de masse en ligne est venu et la face du monde en sera changée, nous dit-on. La course à la plate-forme Mais la bulle qui s’est ainsi créée a contaminé d’autres universités comme le MIT et Harvard qui ont entrainé UC Berkeley, University of Texas, Georgetown et Wellesley pour créer EdX, alors pourtant que le MIT avait déjà son OpenCourseWare disponible.

Dans MOOC, il y a M. M comme Collaboration Le MOOC (Massive Open Online Course) ou CLOM (Cours en Ligne, Ouvert et Massif) propose une nouvelle modalité d’apprentissage. Si l’idée de mettre en ligne un cours est une pratique comprise, utilisée par de nombreux enseignants, soit parce qu’ils interviennent en ligne, soit parce qu’ils complètent un cours en présentiel par des ressources en ligne. La nouveauté des MOOC, est d’ouvrir non pas l’accès aux ressources, mais bien l’accès au groupe des personnes qui se réunissent à une séquence de cours, et donner ainsi l’accès aux échanges dans et autour du cours. Si l’idée d’ouvrir l’accès à son cours est facile à comprendre, les implications de cette ouverture intriguent plus d’un praticien. Le terme massif est clairement un faux ami, et peut être une source d’incompréhension. Pour certains M pour Massif rime avec foule. Certains enseignants qui découvrent les MOOC s’inquiètent de la perte d’une relation privilégiée possible avec chacun de ses étudiants. Like this: J'aime chargement…

Monter un MOOC : combien ça coûte ? Avec le buzz qui monte rapidement, enseignants et établissements sont de plus en plus nombreux à vouloir se lancer dans l’aventure des MOOC, et la première question qui vient naturellement à l’esprit est celle du coût. Combien faut-il pour monter un MOOC de bout en bout ? Les chiffres qui circulent sont souvent contradictoires, on entend parfois 400 euros, parfois plus de 100.000 euros. La question du coût est souvent mal posée, car il n’y a pas de réponse unique. Commençons par revenir sur les principaux lots de travail. Maintenant, il reste à chiffrer un peu tout cela en termes de charge de travail. Pourtant j’avais dit un peu plus tôt qu’on pouvait s’en tirer avec 600 heures de travail. Dans ces deux budgétisations, vous constaterez d’une part que je n’effectue les chiffrages qu’en journées-homme (de sept heures), et d’autre part qu’il doit bien y avoir une quinzaine de postes au total, dont neuf pour l’équipe-projet à elle seule. Scénario 1 : Enseignant en cavalier seul Conclusion

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