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Le « showrooming » et le « pretailing » redéfinissent le processus d’achat!

Le « showrooming » et le « pretailing » redéfinissent le processus d’achat!
Depuis environ dix ans, les ventes en ligne n’ont cessé de croître et l’offre aussi. Nous achetons tout en ligne ou presque. Oui, plusieurs gammes de produits souffrent un peu de l’intangibilité du Web, mais l’avenir pourrait bien changer ce fait. En effet, acheter des chaussures en ligne ou même des vêtements apparaissait improbable et pourtant même avant le Web, Sears vendait par catalogue des vêtements et des chaussures. Showrooming une opportunité pour les magasins traditionnels! Une amie, très en moyen et aussi chasseuse d’aubaines (appuyant ici sur le fait qu’il ne faut pas croire que ce sont des clients sans valeur qui pratique le showrooming), m’a avoué sans gêne faire la même chose. Que dire du « Pretailing » maintenant? Un nouveau mot fait son apparition dans le langage marketing. Que conclure sur ces nouvelles façons d’acheter? Il est clair que les paradigmes changent chaque jour devant l’imagination débordante des entrepreneurs, mais surtout celles des consommateurs.

Du Web au magasin, les voies du e-commerce se multiplient En dépit de la croissance à deux chiffres du e-commerce (+ 19% en 2012), le commerce en ville a encore de beaux jours devant lui. À condition de s'adapter et d'évoluer vers un modèle économique hybride, qui combine les avantages d'Internet et du magasin physique traditionnel, ce dernier seul ayant une sérieuse tendance à s'essouffler. Grandes marques, commerçants et acteurs des grandes et moyennes surfaces (GMS) s'intéressent donc de près à la « multicanalité ». Elle consiste à vendre des produits par tous les canaux existants : le magasin en dur, la vente par correspondance et le e-commerce. En témoignent notamment Monoprix et Casino, qui proposent à leurs clients une application sur smart-phone pour faire leurs courses et scanner des codes-barres en magasin afin d'accéder à des informations complémentaires. S'informer et réserver avant d'aller en magasin Justement, un service de réservation de produits en magasin, c'est ce que vient de lancer le site SoCloz, édité par Close to Me.

coca et pepsi perception Les progrès des procédés d’imagerie par résonance magnétique fonctionnelle (IRMf), qui livrent des images du cerveau et de ses réactions à toutes sortes de stimulation, ont contribué au développement du neuromarketing. En particulier aux Etats-Unis où une expérience menée par Read Montague, du College of medecine de Houston, en 2004, a popularisé le concept. Ce neuroscientifique est allé "interroger" les cerveaux pour leur poser une question cruciale : êtes-vous plutôt Pepsi ou Coca ? En dégustation à l’aveugle, les deux sodas étaient à égalité. Mais, lorsque la marque était révélée aux testeurs ceux-ci donnaient leur préférence à Coca. La revue Neuron qui avait publié l’article sur la bataille Pepsi-Cola a créé à nouveau l’événement en janvier. D’autres travaux, menés en Europe, et dévoilés en février prouvent aussi que les chercheurs progressent dans l’exploration du cerveau et la détection des intentions secrètes de chacun. (841 visites)

Le phénomène du showrooming : fatalité ou opportunité ? Si tous les ingrédients du mauvais marketing semblent réunis, entre pratiques anti-commerciales et remise en cause du célèbre précepte « Le client est roi », le magasin a tout de même le mérite d’avoir soulevé une question épineuse : comment les magasins traditionnels peuvent-ils lutter contre la montée du showrooming ? Si l’on pousse le raisonnement plus loin, l’on est également amené à se demander si la croissance exponentielle du e-commerce doit nécessairement signifier la fin des commerces brick & mortar. Ou si, plutôt qu’une lutte sanglante entre ces deux modèles, il n’est pas envisageable de développer une solution alternative, qui pourrait bénéficier à l’ensemble des acteurs concernés, consommateurs compris. Une pratique en fort développement Le showrooming consiste pour le consommateur à faire du shopping dans un magasin physique, à comparer ses prix avec ceux des vendeurs en ligne grâce à un smartphone, puis, la majorité du temps, à effectuer l’achat en ligne. 1.

Click and collect : un enjeu pour les annonceurs en 2013 | Culture cross media | Culturecrossmedia est votre blog dédié au cross média : articles, vidéos, chiffres clés au sujet des campagne de communication cross media mais également toutes les nouvelles Encore une expression en faveur des stratégies cross media ! Le click and collect est une action qui s’inscrit dans la tendance du Web-to-store en préparant au mieux la visite physique de l’internaute. Un lien fluide entre commerce et e-commerce Egalement appelée click and pick up, cette stratégie consiste à faciliter l’achat des consommateurs en leur permettant de réserver en ligne (et souvent de payer) leurs produits et services avant de les récupérer ou d’en profiter en magasin. A bas les a priori sur l’e-commerce : les ventes en ligne ne phagocytent pas les achats effectués en magasin, elles les complètent ! Le click and collect au service des communications cross-media Dans cette optique, la mise en place d’un service click and collect s’interface véritablement dans la stratégie cross-media d’un annonceur : elle capitalise sur les nouveaux modes de vie et de consommation de ses clients qui évoluent sans se poser la question de la frontière entre online et offline. Sources des images :

Quels irritants font qu'un client quitte le magasin? - Info-Commerce En fait, disent plusieurs spécialistes du commerce de détail, ce ne sont pas uniquement le prix ou l’absence de technologie qui font quitter le client, mais aussi des éléments sur lesquels le commerçant peut et doit agir. L’ambiance d’un commerce de détail a une influence sur le temps que le client passe dans votre magasin et aussi sur la somme d’argent qu’il y dépensera. Cette dépense sera plus élevée que ce qu’il avait prévu suivant qu’il a perçu positivement son expérience en magasin. Selon une étude des HEC publiée dans le Journal of Business Research, les facteurs irritants et les émotions négatives du client domineront les aspects positifs dans son évaluation qu’il fera lors de son magasinage. Catégorisation des facteurs de l'environnement Les éléments de l’atmosphère de votre magasin qui influencent le client et les employés ont été modélisés, dans le livre « Comportement du consommateur » de Daghfous, et portent sur cinq variables principales : Social 1. 2. 3. 4. 5. 6. 1. 2. 3. 4.

Showrooming : quand les magasins deviennent de simples vitrines - Chronique économique - Opinion J’ai un ami d’un certain âge qui me reproche parfois de consacrer trop de chroniques à ces nouveaux outils de communication qu’il considère comme des gadgets. En réalité, si je le fais, ce n’est pas parce que je suis un fou de technologie, mais parce que ces smartphones ont un impact économique énorme. Un exemple ? Ce phénomène est appelé le « showrooming » et consiste à utiliser les boutiques ou magasins comme de simples vitrines avant de faire ses achats sur Internet. Pire encore, grâce à votre smartphone, vous pouvez vous passer des services du vendeur, en scannant les codes-barres du produit, vous pouvez en savoir souvent plus que lui.

Tddigitalday 2011 ROPO, ROBO, web2Shop… Ikea, Conforama, Leroy Merlin… leurs méthodes pour nous vendre plus Pour contrer la crise et attirer le client, les grandes enseignes d’ameublement ont dû bouleverser leur stratégie et leurs techniques de vente. Lorsqu’on demande aux Français vers quelle enseigne ils se tourneraient s’ils devaient acheter un meuble de salon, ils placent Ikea en tête. Et pour un canapé ? Conforama. Et pour une cuisine ? Avec la morosité économique ambiante, cette hiérarchie ne devrait pas changer de sitôt. Alors, pour dissuader les familles d’aller acheter leur table de salle à manger d’occasion sur Leboncoin.fr, les spécialistes doivent redoubler d’efforts. Lire aussi : Conforama donne le tournis avec ses promos à gogo Désormais, 25% de son offre provient de la centrale d’achats de son actionnaire, le sud-africain Steinhoff, numéro 2 mondial du secteur. Cette agressivité commerciale des acteurs historiques s’avère payante. Lire aussi : Ikea cache bien son extrême standardisation Lire aussi : Leroy Merlin dope ses marges avec des produits malins

Introduction au e-Commerce (commerce électronique) Décembre 2017 Introduction au e-Business On appelle « Commerce électronique » (ou e-Commerce) l'utilisation d'un média électronique pour la réalisation de transactions commerciales. La plupart du temps il s'agit de la vente de produits à travers le réseau internet, mais le terme de eCommerce englobe aussi les mécanismes d'achat par internet (pour le B-To-B). Le client effectuant des achats sur internet est appelé cyberconsommateur. La réalisation de devis en ligne Le conseil aux utilisateurs La mise à disposition d'un catalogue électronique Un plan d'accès aux points de vente La gestion en temps réel de la disponibilité des produits (stocks) Le paiement en ligne Le suivi de la livraison Le service après-vente Enfin, pour les services et produits électroniques (fichiers MP3, logiciels, livres électronique, etc.), le commerce électronique permet de disposer de son achat dans un temps très court voire instantané. Boutiques en ligne Pour approfondir Formations e-commerce O e-commerce

Motivation de l'acte ROPO Avant d'imaginer et de mettre en place des dispositifs "ROPO", il est intéressant de connaître les motivations du consommateur à s'informer sur Internet et acheter en magasin. Lindas Butos - Getelastic - nous liste 4 moteurs de cette motivation : Les 4 moteurs sont :Le Client souhaite voir / toucher l'objetLe Client souhaite ne pas attendre le délai de livraisonLe Client souhaite ne pas payer les frais de livraisonsLe Client ne souhaite pas faire part au eCommerçant de données personnelles le concernantCe que Capitaine Commerce illustre remarquablement ici dans un billet intitulé "Le ROPO, pire que le Bobo ! Il regarde en ligne et achète en magasin !" et dont voici un extrait. Le dossier du JdN "Les points de vente ont tout à gagner des sites marchands" complète cette approche en allant un peu plus loin comme le montre la synthèse suivante : Il en reste les forces du Retail Physique :

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