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La ville résiliente | vers une ville permaculturelle
Résilience
Ce texte peut servir de manifeste commun, mais à chacun de mettre en oeuvre la résilience sur son propre territoire Depuis 1972, le rapport du club de Rome a dénoncé la course à la croissance en démontrant les limites de la planète. Depuis 1974 et le premier choc pétrolier, nous savons que notre civilisation dépend du pétrole. Ce paradigme ou modèle de référence porte des noms différents : Communautés intentionnelles ou Ecovillages ou Agenda 21 local ou Towns transition ou Plan climat ou Cités jardins ou communautés de résilience … La profusion des termes montre la richesse de cette alternative à l’ère des combustibles fossiles. - une démarche logique : Les jumeaux hydrocarbures (pic pétrolier et réchauffement climatique) nous imposent une descente énergétique. - une démarche non idéologique : il y a un intérêt commun à adopter une telle voie, quelle que soit l’appartenance politique des habitants d’un territoire. 2006 Les Ecovillages de Jonathan Dawson
Les maîtres ignorants - Centre d'autoformation à la pratique démocratique
tv-ess.org
Le passage de la ville-automobile à la ville piétonnière écologique
Illustrations d’un centre-ville en transformation: le passage de la ville-automobile à la ville piétonnière écologique… Etape 1: Un centre-ville dominé par la voiture, typique de nos villes actuelles avec de grands bâtiments en forme de boîtes et de larges espaces de stationnement, avec sa congestion, sa pollution et l’omniprésence de l’automobile et de l’asphalte. Etape 2: Le centre-ville en transition. La restructuration tout en réutilisant des matériaux de construction, en ramenant à la surface des cours d’eau jadis enfouis, en ajoutant l’infrastructure piétonnière et en construisant une transition vers des usages mixtes et un développement équilibré pour que les activités importantes soient accessibles sur de courtes distances. Etape 3: Une écoville centrale avec des voies d’eau reconstituées, des ponts entre les bâtiments, des rues piétonnières, l’énergie solaire, un accès direct des toits aux rues élevées et des ponts entre les bâtiments. Illustrations de Richard Register.
Island in the sun: Why are our cities heating up faster than everywhere else?
There are hot islands, there are really hot islands, and then there are urban heat islands [PDF] — cities that are hotter, often considerably, than their more rural surrounds. Sound a little strange? Well, you can tell your foil hat-wearing, climate-denying friends it’s nothing new, having been documented as far back as 1810. Simply put, cutting down all the trees, paving over every inch of earth, burying streams in storm drains, and building enormous structures warms things up a bit. Some may like it hot, but the good folks of Louisville, Ky., will tell you that it’s not always a good thing. Cursed with often stagnant wind conditions, a dense urban center, and fewer trees than Paul Bunyan’s backyard, Louisville has seen temperatures rise 1.67 degrees F every decade since 1961. And what’s worse than one urban heat island? There are a lot of reasons cities heat up. So it gets hotter — big deal, right? There are, fortunately, lots of ways to mitigate the urban heat island effect.
Transition Culture (en anglais)
MEXICO : le succès inattendu de l’éco-transport !
On a tous en tête la vision d’un Mexico gangrenée par un smog indécrottable, envahie par des files de voitures crachant leur fumée noire derrière les feux rouges. Certes, cela n’est pas totalement faux. Pourtant, des améliorations récentes ont eu lieu, notamment grâce à la mise en place d’un solide réseau de transports en commun. Un habitant témoignait récemment dans un journal local : « Aux heures de pointe et le week-end, entre les embouteillages et les cris des vendeurs ambulants, l’air est souvent difficilement respirable. Une prise de conscience semble avoir eu lieu depuis 2011, année où Mexico avait reçu la pire note mondiale de l’étude menée tous les ans par IBM, « driver pain » (mesure du degré d’inconfort ressenti par le chauffeur d’un véhicule en circulation). Il faut souligner que la situation géographique de Mexico ne permet pas, a priori, d’arranger son cas. Étudions leur programme qui pourrait être un exemple pour beaucoup de pays. Mais ce n’est pas tout !