Pirates de la vie privée : jeu en ligne pour la protection des renseignements personnels Ce jeu interactif initie les enfants âgés de 7 à 9 ans au concept de la vie privée en ligne et leur enseigne à faire la distinction entre les renseignements qu’ils peuvent divulguer et ceux qu’il est préférable de garder pour soi. Le tutoriel les aide également à comprendre que leur décision peut varier, selon les contextes. Le jeu demande aux enfants de réunir les fragments d’une carte menant à un trésor (renforce l’idée que les renseignements personnels ont une grande valeur). Deux modules renferment le contenu éducatif. Avant de jouer Il est vivement recommandé aux parents et enseignants de parcourir l’unité avant de travailler avec les enfants. Cliquez ici pour jouer
Le parlement français adopte pour la première fois une disposition législative donnant la priorité au logiciel libre Paris, le 9 juillet 2013. Communiqué de presse. Le parlement français vient d'inscrire pour la première fois dans la loi la priorité au logiciel libre pour un service public, avec l'adoption du projet de loi enseignement supérieur et recherche. Après le Sénat le 3 juillet 2013, l'Assemblée nationale a adopté le 9 juillet 2013 le projet de loi relatif à l'enseignement supérieur et à la recherche avec notamment son article 9 (anciennement article 6) qui donne la priorité au logiciel libre pour les services et ressources pédagogiques numériques mises à disposition par le service public de l'enseignement supérieur. L'article 9 du projet de loi précise que : II. – Au même code de l’éducation, il est rétabli un article L. 123-4-1 ainsi rédigé :« Art. Pour la première fois en France, une priorité au logiciel libre est donc consacrée par la loi. Une disposition similaire avait été introduite par le Sénat dans le cadre du projet de loi de refondation de l'école de la République. Contacts presse :
Michel Collon - Le rôle des médias dans les guerres humanitaires (25 Avril 2013) Le marché français des outils de veille en E-réputation. Le marché de l'e-réputation, apparu en France en 2007, regroupe éditeurs de logiciels et agences de communication, l’ensemble coexiste avec une offre très diversifiée d’outils de veille gratuits. L’atteinte à l’e-réputation est aujourd’hui perçue comme un risque majeur par 40% des entreprises françaises. L'image, véhiculée par internet, d'un individu ou d’une entreprise est utilisée de façon croissante dans la prise de décisions de consommation ou de recrutement. Or 80% de l’information publiée en ligne au sujet d’une marque ne provient pas de l’entreprise. Dans ce contexte, la nécessité de réaliser une surveillance de l’évolution de son e-réputation est reconnue par une majorité des acteurs économique. Retour sur la genèse et l’évolution du marché de l’e-réputation L’e-réputation est un concept récent. La médiatisation des cas de bad-buzz emblématiques provoque une prise de conscience des enjeux de la réputation en ligne. En février 2006, l’article du bloggeur C. Les outils gratuits
L'univers de la culture libre et non-marchande a sa galaxie : Framasoft - Technologies libres Vous cherchez un logiciel « libre » ? Un espace de partage non marchand ? Et même des œuvres ou des biens culturels considérés comme des biens communs ? En surfant sur internet, vous avez de grandes chances de tomber sur Framasoft, l’un des principaux portails francophones du libre. Son annuaire recense 1 600 logiciels, testés et commentés. Depuis 12 ans, ce réseau est devenu le promoteur incontournable d’une « culture du libre » en France, avec le développement de multiples projets : une maison d’édition de livres libres (Framabook), un blog d’informations (Framablog), une équipe de traduction (Framalang), une plateforme de vidéos (Framatube) mais aussi une « forge logicielle » (Framacode, sur Github) ou un laboratoire de projets (Framalab). « Framasoft », c’est l’abréviation de « français-mathématiques », et de « software » (logiciel). Quand l’homme contrôle la machine... et le code informatique Au-delà des logiciels, libérer une culture La liberté de bifurquer et d’aller voir ailleurs
Nominations au CSA, indépendance des médias: promesses oubliées… Pour une instance de déontologie et de médiation de l’information… Nous, journalistes, cinéastes, réalisateurs, professionnels de l'audiovisuel et du cinéma, lecteurs, auditeurs, téléspectateurs, internautes, citoyens et indignés, dénonçons à la conscience du peuple la situation actuelle de production de l’information en France où des conflits d’intérêts majeurs rendent impossibles une indépendance des rédactions. Nous avons créé le collectif « Les Indignés du PAF » et entrepris une longue et vaste série de consultations qui nous ont amenés dans un premier à rédiger « L'Appel pour une meilleure qualité de l'information », puis, tout récemment, à lancer la campagne « Faites entrer les citoyens au CSA! », sous la forme d’une pétition qui a réuni plus de 6.000 signatures en très peu de temps. L’idée d’une « réconciliation » entre les citoyens et les médias autour de la question de la qualité de l’information est solidement ancrée dans notre démarche.
Guide d’autodéfense numérique Journée de Libération des Documents le 27 mars 2013 Le 27 mars 2013, l'April participera au Document Freedom Day (« Journée de Libération des Documents ») qui rappelle l'importance des formats de documents numériques réellement ouverts. Ces formats permettent aux citoyens, aux consommateurs, aux gouvernements comme aux entreprises d'utiliser les logiciels de leur choix tout en conservant la maîtrise sur leurs documents et leurs données sur le long terme. Nous encourageons chacun à sensibiliser ses proches à l'importance des standards ouverts. Vous pouvez également utiliser les documents de sensibilisation proposés par l'April Formats ouverts, pour quoi faire ? Des bannières, boutons et affiches sont disponible sous licence libre sur le wiki Document Freedom Day : Pour en savoir plus sur cette journée, visitez le site du Document Freedom Day. Les derniers articles de l'April a ce sujet : La suite sur cette page des articles sur les standards ouverts.
microsoft [Wiki de sebsauvage.net] Introduction Le but de cette page est de synthétiser, clarifier et documenter les raisons techniques, économiques et politiques (passées et présentes) pour lesquelles je ne veux plus remettre les pieds sous Windows et pour lesquelles je n'arrive plus à faire confiance à Microsoft. Chacun des points est argumenté et (quand cela est possible) donne les liens correspondants, tout comme je l'avais fait à l'époque pour Apple. Cette page n'est sans doute pas exhaustive. Il y a de nombreuses sources citées dans cette page, mais prenez-les tout de même avec des pincettes: Il n'est pas impossible que certaines informations aient été montées en épingle. Je trouve cela dommage, car il y a des gens très compétents chez Microsoft, et certains projets sont vraiment extraordinaires, mais tout cela est pollué par les décisions économiques, politiques et techniques de merde. D'autres sociétés (Google ou Facebook, par exemple) mériteraient qu'on s'y intéresse sous le même angle. PS: Oui je connais Windows.
Kobalt - Comment se débarrasser de Google Temps de lecture : 16 min Vivre sans les services du mastodonte Google ? Oui, c'est possible. Et vous devriez même sérieusement y songer. Pour beaucoup d'internautes, Internet c'est Google : recherche, courriels, vidéos, navigateur web, services cloud, système d'exploitation mobile, etc. — Google est le principal acteur dans tous ces domaines. À ses débuts, Google utilisait largement le slogan informel « Don't be evil », qui était perçu par beaucoup comme une campagne contre les mauvaises pratiques de Microsoft. De plus en plus de gens prennent également conscience du risque de dépendre d'une seule entreprise pour autant de services personnels. Rien qu'en France, de nombreux acteurs de changement comme Framasoft et La Quadrature du Net se battent contre le monopole et la surveillance généralisée opérés par Google. — Oui, bien sûr… Google Search Commençons par le plus simple. Google Chrome Chrome OS Gmail Gmail est de loin le service de courrier électronique le plus utilisé dans le monde.
Richard Stallman. Le libre comme droit humain. | Cultures de l'Information Par Anne CORDIER et Sophie BOCQUET-TOURNEUR rms au pays des hackers Richard Matthew Stallman, rms pour les intimes, est né le 16 mars 1953 à Manhattan. Brillant étudiant en physique et mathématiques à Harvard, Stallman est rapidement recruté par le prestigieux laboratoire d’intelligence artificielle du Massachusetts Institute of Technology, plus connu encore sous le nom de MIT. D’emblée, Stallman apparaît comme une personnalité iconoclaste. Il est immédiatement séduit par l’état d’esprit et la culture libertaire caractéristiques du milieu hacker. Richard Stallman, révolté, attaché viscéralement à la libre circulation des savoirs et aux échanges favorisés par l’informatique, refuse de participer à cette logique propriétaire. Le GNU, ou la libération du code selon Stallman « Avec un programme, il n’y a que deux possibilités : ou les utilisateurs ont le contrôle du programme, ou le programme a le contrôle des utilisateurs » La licence GPL, une marche de plus vers l’alternative
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