Les premiers hommes Cette page a été mise à jour le: 11/19/2011 16:44:54 La paléo-anthropologie Miocène L'odyssée De L'espèce-Documentaire 1/5 : de -10 Ma à -4 Ma ( bipèdes, Ororin, Toumaï, chalicothere, australopitheques, Lucy,anamensis, Afarensis ) -7 Ma -6 Ma Toumaï (sahelanthropus tchadensis) décourvert en 2001 par une équipe franco-tchadienne dirigée par Michel Brunet (celui qui a également trouvé abel ) crâne quasi complet, un fragment de mâchoire inférieure ainsi que 3 dents, le tout appartenant à 5 individus différents. Sa capacité cranienne, de l'ordre de 360-370 cm3, est équivalente à celle des chimpanzés actuels. (D'après www.cite-sciences.fr) " La découverte du crâne "Toumaï", au Tchad, à 3 000 kilomètres du Rift africain, sonne le glas de la théorie de l' "East Side Story". reconstitué en image de synthèse dans Toumai - Un nouvel ancêtre (Éditeur francetélévisions Distribution Distributeur Warner Home Vidéo France) Mais qu'a-t-il de plus au juste?
un peu d'histoire web compteur -5 Ma le Pliocène Un premier primate se tient debout c) Africanus: omnivore, chasseur et galets frustres LE PALÉOLITHIQUE les chasseurs cueilleurs -1. 6 mil. à -300 000: l'Homo erectus (Homme de Java ou Pithécanthrope), Homme de Pékin ou Sinanthrope): 1000 cm³; il invente le feu, mais finit de l'apprivoiser vers -400,000 biface pointes -1.7 mil: habitat structuré et spécialisé en Éthiopie. -450 à -250,000 l'Homo sapiens et Le Néandertal: 1500 cm³ de boîte crânienne comme aujourd'hui. -400,000 feu appriv. Le Pithécanthrope maîtrise le feu vers -400,000; Chasse pêche, cueillette, huttes et caverne. -175 000 à -116 000 des outils de pierre, et des mégalithes semblables à ceux de Stonehenge et figurines, sont découverts en Australie. -120 000 Pléistocène supérieur - 80 000 Paléolithique Moyen -90,000 Cro-magnon, ou Homo sapiens sapiens, envahit l'Europe en -40,000 et l'Australie en -30 000 -60,000 à -35,000: l'homme de Néandertal, le 1er qui enterre ses morts. -35 000 Paléolithique supérieur
Peuplement de l'Océanie Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Image satellite centrée sur l'Océanie. L'Océanie et ses cinq grandes subdivisions. Expansion des langues austronésiennes en Océanie, d'après Quentin Atkinson et Russel Gray. Synthèse des mouvements migratoires antiques en Océanie. Le peuplement préhistorique de l'Océanie s'est fait à travers deux grandes vagues migratoires. La seconde vague est plus récente et débute il y a environ 6 000 ans. Tout au long de ce parcours, les populations de la première et de la seconde vague de peuplement se sont assez largement métissées, tant sur le plan culturel que biologique. La question de l'origine des Océaniens a été l'un des thèmes majeurs de la recherche océanienne depuis le XIXe siècle. Hominidés archaïques[modifier | modifier le code] Reconstitution scientifique d'Homo erectus. La présence du genre Homo en Océanie est ancienne. Ce premier peuplement n'est pas resté sur la partie continentale de la région. Peuplement du Sunda[modifier | modifier le code]
Homme d'où viens-tu ? Cadrage Théorique La grande histoire de l'homme commence sûrement à la suite d'un changement majeur dans la géographie terrestre en Afrique de l'est avec l'apparition d'un rift, il y a cela environ 1,8 million d'années. Ce changement de paysage a séparé en deux groupes les primates qui vivaient dans cette région. À l'ouest de cette nouvelle chaîne de montagne, les grands singes auraient continué leur vie en forêt pour évoluer jusqu'aux gorilles et chimpanzés d'aujourd'hui. Par contre, les primates qui se sont retrouvés à l'est du rift ont dû s'adapter à de nouvelles conditions climatiques : la savane qui engendre sécheresse et manque de nourriture. Pour survivre, ces primates doivent s'éloigner des arbres se qui leur imposent de se redresser. En même temps, les conditions climatiques changent et les Hominidés doivent à chaque fois s'adapter. Il sera suivi d'Homo Ergaster vers-1,9 million d'années. 3 hypothèses L'origine multirégionale ou « Candélabre » : Méthode Documents Document N°1
Totem ou candélabre ? La découverte de l'origine de l'homme moderne constitue l'une des questions les plus débattues de la paléontologie humaine. Faut-il évoquer une origine unique et africaine (Afrique sub-saharienne) ? C'est l'hypothèse de "l'Arche de Noé" ou " spéciation / remplacement", qui veut qu'alors que l'Homo sapiens archaïque avait déjà colonisé l'ensemble de l'Ancien Monde, il aurait donné naissance à l'homme moderne, en Afrique uniquement, celui-ci ayant ensuite recolonisé tout l'Ancien Monde, remplaçant les populations locales. Certaines données sur l'ADN, ainsi que la bonne succession des fossiles découverts en Afrique depuis l'Homo erectus jusqu'à l'homme moderne, semblent aller dans le sens de cette hypothèse. Mais il est difficile d'envisager qu'une population venue d'Afrique ait pu tout coloniser et remplacer toutes les populations locales...
Premier peuplement de l'Amérique Carte présentant une hypothèse en plusieurs étapes du peuplement de l'Amérique effectuée à partir du couloir béringique, actif durant plusieurs dizaines de millénaires. Le premier peuplement de l'Amérique fait l'objet de débats au sein de la communauté scientifique. Ces débats entre archéologues et anthropologues portent sur la date et les modalités de l'arrivée des ancêtres des Amérindiens sur le continent américain, et sur l'existence éventuelle des Paléoaméricains qui auraient pu les précéder. Les études génétiques modernes et les datations archéologiques de plus en plus minutieuses ont permis de faire avancer quelque peu la connaissance du sujet. Depuis 1929 et la découverte du site Clovis au Nouveau-Mexique, il est admis que l'Amérique a été peuplée depuis la Sibérie par des groupes passés par la Béringie, nom donné aux territoires exondés qui reliaient jadis l'Alaska à la Sibérie, là où le détroit de Béring les sépare aujourd'hui (mais où les profondeurs sont faibles).
Le peuplement préhistorique des Amériques s'est fait en trois phases L'étude a permis de comparer le génome de 52 groupes autochtones des deux Amériques et de 17 groupes de Sibérie. (Illustration: Nature) Il y aurait bien eu trois vagues d'immigration asiatique à l'origine des peuples autochtones qui ont colonisé l'Amérique (L’Amérique est un continent séparé, à l'ouest, de l'Asie et l'Océanie par le détroit de Béring et l'océan Pacifique; et à l'est, de...) du Nord (Le nord est un point cardinal, opposé au sud.) puis l'Amérique du Sud (Le sud est un point cardinal, opposé au nord.). Un tel scénario, déjà suggéré par les ethnolinguistes, vient d'être confirmé par une étude génétique (La génétique (du grec genno γεννώ = donner naissance) est la science qui étudie l'hérédité et les gènes.) de très grande envergure (L'envergure est la distance entre les extrémités des ailes. Le terme est valable pour définir un oiseau, un chiroptère, un avion (ou planeur).). Trois vagues Diversité linguistique
Atlas africain : L'afrique et son environnement européen et asiatique, de Jean Jolly. De la préhistoire au XXIè siècle. Des origines de l’homme au peuplement de l’Eurasie L’histoire de l’homme est conditionnée depuis les origines par la géographie, l’environnement et le climat. Pour retracer ce long parcours de plusieurs millions d’années sur plusieurs milliers de kilomètres, seuls des morceaux d’os ou de dents sont parvenus jusqu’à nous. Les plus anciens hominidés bipèdes sont reconnus aux alentours de 6 millions d’années, avec Orrorin tugenensis dont les premiers restes furent mis au jour en 2000 au Kenya. Les premiers conquérants… On admettait classiquement que les premiers hommes à quitter l’Afrique pour émigrer en Eurasie étaient des descendants d’Homo erectus. … et les premiers hommes modernes A Atapuerca, en Espagne, a vécu une autre espèce vieille de 780 000 ans, Homo antecessor, différant des Homo erectus, des Homo ergaster et des Homo habilis au sens strict. Brigitte Senut
Le peuplement de la terre Les ultimes analyses de l'ADN de l'Homme de Mungo, (le plus ancien Homo Sapiens, retrouvé en Australie) pourrait venir étayer cette thèse. "Ce fossile vieux de 600.000 ans, retrouvé en 1974 en Australie, commence seulement à livrer ses secrets. Ainsi, il aurait eu un ancêtre chinois. Grâce aux techniques de datation, il s'est révélé être le plus ancien échantillon d'ADN humain et montrerait que ce dernier est un descendant des Graciles. Ceux-ci se seraient mélangés, 40 000 ans plus tard, avec les Robustes venus de Java, dont les descendants actuels sont les aborigènes d'Australie. Selon l'équipe de recherche, l'Homme de Mungo était évolué, capable d'utiliser des outils de pierre, d'aiguiser des lances pour la chasse et la pêche. De plus les tenants de cette hypothèse polygénique ne peuvent admettre qu'un seul groupe humain ait pu remplacer la population autochtone et qu'il n'y ait pas traces de métissage. Conclusion provisoire...