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“Les réseaux sociaux étaient ma drogue dure” Cyrille de Lasteyrie

“Les réseaux sociaux étaient ma drogue dure” Cyrille de Lasteyrie
Entendons-nous bien, je ne parle pas de l’Internet pratique, celui qui permet de s’informer, de se cultiver rapidement, de réserver un billet de train, d’agir à distance sur ses comptes ou d’acheter ses cadeaux de Noël. Cet Internet-là est aussi salutaire et révolutionnaire que l’invention de l’imprimerie ou de l’eau courante. Non, je parle de l’Internet social, ce monstre difforme et suceur de temps. J’ai 42 ans. Mais non, malgré ce tableau, je pense passer plus de six heures par jour sur le Net. Depuis l’avènement des outils de publication facile (blogs, Facebook, etc), les adeptes des médias sociaux partagent tout. Moi, moi, moi Pendant ce temps-là, ma fille réalise un coloriage ; je crois qu’elle m’a parlé. En réalité, cela ne l’est pas tant que ça. Ma pensée fragmentée Le temps du Net passe aussi vite qu’une partie d’« Angry Birds ». Cet article en est la preuve. Et si le temps que je passais sur le Net était la plus belle perte de temps que l’histoire ait jamais imaginée ?

Attention bias modification treatment in depressed adolescents -- ScienceDaily A study to be published in the March 2016 issue of the Journal of the American Academy of Child and Adolescent Psychiatry (JAACAP) reports that adolescents with major depression who performed a computer-based task designed to shift attention from sad to neutral to positive word associations showed reductions in negative attention biases and clinician-rated depressive symptoms. 11% of American adolescents suffer from Major Depressive Disorder (MDD). Facing a broad range of psychosocial and health problems, these youths are five times more at risk to attempt suicide than peers without psychiatric illness. A novel computer-based task, attention bias modification (ABM), designed to shift attention away from negative stimuli, was found to reduce depressive symptoms in adults. A group of researchers led by Dr. Adolescents in the active ABM group completed eight sessions (22 minutes each) over a period of two weeks to shift their attention from sad to neutral words.

Ce qu'Internet dit de notre psyché Les rapports entre Internet et notre psychée sont la plupart du temps envisagés sous l’angle de la pathologisation. En gros, Internet altérerait notre santé mentale. Des études très sérieuses nous disent par exemple que les réseaux sociaux nous rendent dépressifs (les gens ayant tendance à publiciser plus volontiers les événements heureux de leur vie, nous passerions notre temps à comparer notre vie à cette masses d’événements heureux provenant de partout et, forcément, à la trouver pourrie). Le problème, c’est qu’on trouve des études tout aussi sérieuses qui disent exactement l’inverse. J’ai été frappé par une autre étude publiée il y a un an et demi aux Etats-Unis. D’accord, mais quoi ? Juste une chose : ne faites pas semblant de ne pas vous souvenir que vous êtes allés regarder des vidéos cochonnes. Bon, cet exercice, il faudra s’y livrer régulièrement.

L’addiction numérique, un mal croissant chez les jeunes A Singapour, comme dans un nombre grandissant de pays, des psychiatres militent pour que l'addiction aux smartphones soit reconnue comme un trouble psychologique. Avec la Corée du Sud, la Chine et Taïwan, la cité-Etat est l'un des pays d'Asie les plus concernés par ce phénomène. L’addiction au smartphone, un trouble psy ? Singapour et Hong Kong détiennent d’ailleurs le record régional du plus grand nombre d'utilisateurs de smartphones par habitant, selon un rapport publié l'an dernier par le cabinet d'étude Nielsen. 87% des 5,4 millions de Singapouriens sont ainsi munis d'un téléphone multifonctions, contre 65% aux Etats-Unis. Et d’après Adrien Wang, psychiatre au centre médical de Gleneagles, l'addiction à l'internet devrait être classée dans les troubles mentaux. Sans internet à la maison, il erre à la recherche d’une connexion Le médecin évoque le cas d'un étudiant de 18 ans dont les symptômes étaient extrêmes. Les ravages du text-neck Les symptômes de l’addiction numérique

Dépendance ? — Enseigner avec le numérique Dépendance aux jeux vidéo : les signes à surveiller « Les nouvelles addictions : tel était le thème de la séance hebdomadaire de l'Académie de médecine qui s'est tenue mardi avec, notamment, la question de l'addiction des jeunes aux jeux vidéo. Or sur ce thème, Marie-France le Heuzey, pédopsychiatre à l'hôpital Robert-Debré à Paris, se veut à la fois vigilante et rassurante. Vigilante, car il existe effectivement des cas de jeunes qui se font happer par le jeu [...] Figaro.fr, 22/01/ Yann Leroux : “Il n’y a pas d’addiction aux jeux vidéo”Interview par Hubert Guillaud "Membre de l’Observatoire des mondes numériques en sciences humaines, joueur invétéré, Yann Leroux s’intéresse au virtuel depuis qu’il est tombé dedans. Extrait de l'interview"Une des critiques récurrentes des jeux qui a donné naissance à la notion d’addiction est le temps qu’on y passe. C’est grave docteur ?

Phénomène de sté :L'addiction au web. - Société attention, ce n'est pas drôle, mais ces exemples, je les prend également avec de la....distance !! "On pourrait presque parler de la drogue du 21ème siècle… L’addiction au web est en train de faire des ravages chez beaucoup d’adolescents et commence à toucher certains adultes également. Les "no-life" ou encore "geeks" comme on les surnomme se retrouvent plongés dans une vie virtuelle qu’ils ont de plus en plus de mal à quitter pour retourner à une vie réelle qu’ils trouvent bien insipide. Nicolas et Candice, ensemble depuis cinq ans, en ont fait les frais… Lorsque Candice a commencé à s’intéresser au célèbre jeu Second Life, rien ne laissait présumer du pire. Ils nous racontent leur histoire pour tenter d’y voir plus clair sur ce phénomène et peut-être prévenir des dangers de cette addiction… Candice et Nicolas ont tous les deux la trentaine et se connaissent depuis cinq ans et demi.

Les comportements addictifs liés à l'usage du numérique Dépendance à Internet Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La dépendance à Internet (également nommée cyberdépendance cyberaddiction usage problématique d'Internet (UPI) ou trouble de dépendance à Internet (TDI)) désigne un trouble psychologique entraînant un besoin excessif et obsessionnel d'utiliser un ordinateur et interférant sur la vie quotidienne. Des activités en ligne, telles que l'achat en ligne, si faite en personne, peuvent être considérées comme problématiques si celles-ci sont compulsives. Signes et symptômes[modifier | modifier le code] D'après le spécialiste français Romain Cally « sur le web, la compulsion apparaît lorsque l'internaute ne juge plus son comportement normal, mais ne peut pour autant éviter de se connecter. Symptômes psychologiques allégués[9] : Symptômes physiques allégués[10] : yeux secs ;maux de tête migraineux ;maux de dos ;syndrome du tunnel carpien ;repas irréguliers ou sautés ;mauvaise hygiène personnelle ;insomnies ou changements dans le cycle du sommeil. D. Psychologie :

Internet je ne peux vivre sans - Lucrece Online A ce qu’il parait la première étape de guérison d’une addiction est de l’admettre. Donc voila je l’admets je suis accro à internet. Est-ce une bonne chose ? Je ne crois pas. Ai-je envie de guérir ? Elles varient d’un malade à un autre. Juste le temps de mettre ma blouse de docteur et mon stéthoscope et je vous examine. Elles peuvent être d’ordre médical ou psychologique. Syndrome du tunnel carpien (douleurs, apathie et sensation de brulure dans la main pouvant atteindre également les poignets, les coudes et les épaules)Sécheresse oculaireMaux de dosMaux de tête sévèresTroubles du comportement alimentaire (malnutrition)Manque d’hygiène personnelleTroubles du sommeil Notez que certaines de ces pathologies développées peuvent entrainer des conséquences encore plus graves comme la déficience immunitaire causée par le manque du sommeil… Je sais je ne suis pas médecin mais j’ai lu un bon nombre d’études ayant trait à ce sujet sur Internet justement.

Cet article est pertinent et démontre bien par le biais d'un témoignage l'addiction pour internet et les réseaux sociaux. by hylaire_groupeb_psy Feb 26

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