Fleur intime | Gynécologie Obstétrique Pratique - Mensuel francophone de gynécologie obstétrique Sexologie Publié le 17 Avr 2014 P. BRENOT, Psychiatre, Directeur des enseignements de Sexologie et Sexualité Humaine à l’université Paris Descartes www.sexologie.blog.lemonde.fr Cette « fleur intime » a fait couler tant d’encre, de larmes et de sang dans les siècles passés que l’on peut s’étonner, en quelques décennies, qu’elle ait quasiment disparu, au point que personne aujourd’hui n’en prononce plus le nom en Occident ! Connectez-vous ci-dessous pour pouvoir lire cet article. Attention, pour des raisons réglementaires, ce site est réservé aux professionnels de santé. Merci de vous identifier avant d'accéder aux rubriques de votre choix. Pour tout renseignement relatif à votre inscription, contactez-nous par mail (info@len-medical.fr) ou par téléphone : 01 47 55 31 72 Une fois votre identification effectuée, vous disposerez d'un "identifiant" personnel et d'un mot de passe qui vous permettront d'accéder définitivement aux rubriques du site.
Ces études à la con qui nous prennent pour des connes Les dangers du neurosexisme à travers le portrait-robot de «Gwendoline», LA femme telle qu'elle est décrite par des pseudo-études scientifiques. Mi-janvier, le psychologue évolutionnaire, Jesse Bering, a écrit un article pour Slate.com, où il présentait quatre manières dont les femmes avaient évolué pour se protéger des viols lorsqu’elles ovulaient. Son article a déclenché de violentes critiques, au sein de Slate et sur des sites scientifiques notamment. Plusieurs journalistes de Double X, le site féminin de Slate, ont écrit une réponse à son article, et Jesse Bering a lui-même écrit une réponse à ces critiques. Nous publions en même temps le premier article de Bering, une des réponses de Double X, la réponse aux réponses de Bering, ainsi qu’un article de Peggy Sastre sur le problème des féministes avec la psychologie évolutionnaire et enfin un article de Titiou Lecoq qui porte plus généralement sur les études scientifiques et «la femme». Le portrait-robot de Gwendoline Et donc: Je sais.
Ovulation = perturbation ? Il y a des femmes qui n'éprouvent aucun changement, avant, pendant ou après les règles. Il y a en qui affirment que ça les rend maladroites. Elles cassent tout, se cognent, deviennent irrascibles… L'influence attribuée au cycle menstruel les autorise, paradoxalement, à remettre en cause leur image de "femme féminine". Dans un petit carnet de croquis noirs et blancs, imprimé en série limitée, l’artiste Anne van der Linden raconte l’histoire d’une femme qui, saisie par une saute d’humeur, se transforme en Wonder Woman. Les têtes tombent. L’ouvrage intitulé Instabilité hormonale s’inspire de faits réels : «Je pars de l'observation de mon propre comportement, explique Anne Van Der Linden, qui a toujours vécu ses syndromes prémenstruels comme une forme de bouleversement. Et si c’était faux ? Pourquoi les amazones n’ont-elles jamais existé que sous la forme de mythes ? Les sociétés humaines sont bâties comme des systèmes symboliques. A l’homme le métal, à la femme les tissus.
ZONES La série brosse en particulier un tableau saisissant de la condition des femmes. Betty Draper, la mère au foyer, élevée dans le souci exclusif de son apparence et de sa beauté, qui a tout pour être heureuse selon les critères de son milieu, mais qui crève de solitude et d’ennui ; Peggy Olson, la jeune rédactrice volontaire – seule femme à occuper ce poste –, aux prises avec le dragon ultra-catholique qui lui sert de mère, furieuse à la fois de subir les mains baladeuses de ses collègues et d’être jugée trop menaçante pour correspondre à leur idéal amoureux ; Joan Holloway, la plantureuse secrétaire rousse, qui tente de faire une force de son statut d’objet sexuel, sans que cela la mette à l’abri de la frustration et de la déception : toutes, si différentes soient-elles, se débattent dans les limites que leur assigne la société américaine de cette époque. Et, pourtant, on peut se demander si ce n’est pas cela, précisément, qui est en train de changer dans les mentalités.
Je ne suis pas « féminine »... et alors ? Yun n’est pas vraiment une fille considérée comme « girly ». Entre le côté assumé et la frustration de n’être souvent perçue que comme un garçon manqué, petit récap’ d’une fille pas « féminine ». Pour moi, être féminine c’est pas forcément une histoire de robes, de talons et de cheveux parfaitement coiffés chaque jour. Plus Tomboy que Laura Ingalls… Petite, j’étais déjà un « garçon manqué ». Je variais mes samedi après-midi entre les cabanes avec mes copains et les nuits chez mes copines, où je découvrais avec elles le maquillage (pas pour moi, je détestais ces ersatz de rouge à lèvres, gluants et puant le fruit), et j’enviais leur pantalons serrés ou leur baskets compensées (oui j’assume, mais bon à 12 ans, le bon goût est très relatif). Mon côté fille s’exprimait par ma passion sportive, la GRS. Tenue vestimentaire et état d’esprit Le collège a vraiment été un moment horrible à passer, et mon arrivée au lycée a marqué ma période d’affirmation. Confort et praticité La féminité et moi
Encore féministes ! texte paru dans Alternatives non-violentes, n°155, « La domination masculine », 2e trim. 2010 Le féminisme, une révolution non-violente Entretien avec Florence MONTREYNAUD Féministe, historienne, auteure de nombreux ouvrages, dont : Dictionnaire des citations, Paris, Nathan, 1989 ; Le XXe Siècle des femmes, Paris, Nathan, 2001; Amours à vendre. ANV : Vous êtes historienne et aussi féministe active. ANV : Où s'enracine le féminisme, comment s'est-il développé au XXe siècle ? F.M. : Depuis plus d'un siècle et demi, le féminisme s'affirme comme une résistance constructive au machisme, une révolution non-violente et usant d'humour. Le mot « féminisme » dans son sens actuel date de la fin du XIXe siècle, mais le mouvement collectif avait été lancé dès 1848 en France et aux États-Unis. ANV : Au regard de la diversité des courants actifs dans ce domaine, n'y a-t-il pas opposition entre des tendances ? La situation du féminisme varie d'un pays à l'autre, et les courants sont multiples.
Wikipedia → Portal:Transgender From Wikipedia, the free encyclopedia is an umbrella term applied to people and behaviors which diverge from those of normative two-gender roles ( male and female ), usually assigned at birth. refers to the state of one's (male, female, or various other identities) and not to sexual identities ; a common, sometimes offensive, misunderstanding. Transgender identities and expression have been a fixture of culture since antiquity. and are catchall terms for gender identities other than man and woman. Some genderqueer people see their identity as one of many possible genders other than male or female, while others see "genderqueer" as an umbrella term that encompasses all of those possible genders. (b 1957) was the world's first openly transsexual Member of Parliament , and from 27 November 1999 until 14 February 2007 was an MP for the Labour Party in New Zealand . Transgender content on other Wikimedia projects
A chacune son féminisme Elisabeth Badinter est une féministe qui excite et énerve les autres. Pas un de ses opus qui ne fasse polémique. Déjà dans Fausse route, publié en 2003 chez Odile Jacob elle reprochait au féminisme d’avoir inventé la victimisation de la femme, provoquant aussitôt un tollé. Elle récidive avec le Conflit, paru le mois dernier chez Flammarion, et qui analyse les nouvelles normes tissées autour de la figure de la «bonne mère». «Le retour en force du naturalisme, remettant à l’honneur le concept bien usé d’instinct maternel et faisant l’éloge du masochisme et du sacrifice féminins, constitue le pire danger pour l’émancipation des femmes et l’égalité des sexes», y écrit notamment la philosophe. Son livre, qui caracole en tête des ventes, a aussitôt entraîné une controverse. Alors, c’est quoi le féminisme, en 2010 ? L’utérus, la mère de toutes les fractures Première division, le rapport à la maternité. Les prostituées sont-elles des victimes ? Le voile est-il soluble dans le féminisme ?
Fille ou garçon ? Non, intersexué – Frédéric Joignot Mis en ligne le : 27-04-2011 1 – Où l'on apprend l'incroyable histoire de l'hermaphrodite Herculine Barbin " Le lendemain trouva Sara anéantie ! Ses yeux, rougis par les larmes, portaient l'empreinte d'une insomnie cruellement tourmentée (…) Je n'avais pas la force de lever les yeux sur Madame P., qui ne voyait en moi que l'amie de sa fille, tandis que j'étais son amant. Nous sommes l'été 1858, Herculine Barbin, surnommée Alexina, 20 ans, institutrice, a passé la nuit avec sa collègue Sara dans un pensionnat de La Rochelle. Longtemps, elle s'est considérée comme une adolescente laide et mal fichue. Eperdue, elle court se confesser à l'évêque de Saintes. Herculine-Abel Barbin aurait été oublié sans son journal publié en 1874 dans une revue médico-légale, dont l'écrivain allemand Oscar Panizza tirera en 1893 le roman Un scandale au couvent. Le philosophe voit dans la décision de l'état civil d'en faire un homme la volonté nouvelle de diviser le monde en deux "vrais sexes". Frédéric Joignot
Les courants de pensée féministe : résumé « Les courants de pensée féministe », Louise Toupin, Version revue du texte Qu'est-ce que le féminisme? Trousse d'information sur le féminisme québécois des 25 dernières années, 1997. Louise TOUPIN Chargée de cours en études féministes Résumé TABLE DES MATIÈRES Introduction - au commencement étaient trois grandes tendances - une question préalable : qu'est-ce que le féminisme ?1- Le féminisme libéral égalitaire -causes de la subordination ou qui est "l'ennemi principal"? Le mouvement des femmes, impulsé par le féminisme, est l'un des grands mouvements sociaux de ce siècle. Le texte Les courants de pensée féministe de Louise Toupin, qui constitue une version revue et augmentée du texte paru sous le même titre dans la "Trousse d'information sur le féminisme québécois des 25 dernières années" Qu'est-ce que le féminisme ? On peut rejoindre Louise Toupin à l'adresse Internet suivante : toupin.louise@uquam.ca Au commencement étaient trois grandes tendances Qu'est-ce que le féminisme ?