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Lost Memories : l’addiction aux technologies numériques traitée dans un court-métrage

Lost Memories : l’addiction aux technologies numériques traitée dans un court-métrage
Lost Memories : l’addiction aux technologies numériques traitée dans un court-métrage Bien que nous ayons pour habitude de présenter les courts-métrages sur le journalgraphic.com, nous ferons une exception pour celui-ci compte tenu du vaste sujet qu’il aborde. Devenues omniprésentes, les technologies numériques ont complètement chamboulé nos modes de vie et la façon dont nous entretenons nos relations et interagissons avec nos congénères. Ces technologies et moyens de communication numériques ont également métamorphosé la nature de nos souvenirs et la façon dont nous les conservons. Réalisé par François Ferraci (un français résidant désormais à Toronto), Lost Memories met en exergue nos addictions aux mondes numériques et nous incite à la réflexion en présentant un couple qui se perd de vue suite à une catastrophe à l’échelle planétaire. En somme, un excellent court-métrage sans dialogues dans lequel les attitudes transparaissent à travers les yeux, les expressions et le narrateur. Source Related:  La cyberdépendanceLa cyberdépendance

Commentaire [Le journal du Geek] Court métrage poignant pour plonger dans le sujet Perles collaboratives >>>>>>>>>>> Commentaire [RSS 1] Comment devient-on accro au numérique ? Atlantico : Portables, tablettes, ordinateurs, les nouvelles technologies nous entourent. Elles sont partout : au bureau, à la maison, dans les magasins… Nous en avons tous un usage régulier, à partir de quel moment pouvons-être considérés comme addicts aux nouvelles technologies ? Comment cette addiction se traduit-elle au quotidien ? Michael Stora : Cela ne se traduit pas tant en terme d’heures passées sur les nouvelles technologies qu’en termes de rupture des liens sociaux réels. L’addiction se manifeste par un décrochage de la vie sociale : refus de participer à des repas de famille, moins de sorties en couple, abandon de ses responsabilités de parent... Pour les enfants cela commence par l’absence de présence au repas du soir et cela peut aller jusqu’à la déscolarisation. Les nouvelles technologies mettent la vie sociale au second plan petit à petit. Pour lire les autres épisodes de notre série de la semaine sur les Nouvelles addictions, consultez notre dossier : ici. Je m'abonne

Dépendance à Internet Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La dépendance à Internet (également nommée cyberdépendance cyberaddiction usage problématique d'Internet (UPI) ou trouble de dépendance à Internet (TDI)) désigne un trouble psychologique entraînant un besoin excessif et obsessionnel d'utiliser un ordinateur et interférant sur la vie quotidienne. Des activités en ligne, telles que l'achat en ligne, si faite en personne, peuvent être considérées comme problématiques si celles-ci sont compulsives. Signes et symptômes[modifier | modifier le code] D'après le spécialiste français Romain Cally « sur le web, la compulsion apparaît lorsque l'internaute ne juge plus son comportement normal, mais ne peut pour autant éviter de se connecter. Symptômes psychologiques allégués[9] : Symptômes physiques allégués[10] : yeux secs ;maux de tête migraineux ;maux de dos ;syndrome du tunnel carpien ;repas irréguliers ou sautés ;mauvaise hygiène personnelle ;insomnies ou changements dans le cycle du sommeil. D. Psychologie :

Commentaire [RSS 2] L'addiction à internet et aux jeux vidéos : tour d'horizon La question de l'addiction aux jeux vidéos et à l'internet fait de plus en plus débat. Les spécialistes se veulent généralement rassurants, l' idée du drogué aux nouvelles technologies reste généralement dominée par des représentations caricaturales. Cependant, les comportements abusifs existent bel et bien ! Etes-vous accro à internet et aux jeux vidéos ? A l'heure actuelle, pour des raisons professionnelles et/ou personnelles, nous sommes souvent rivés sur notre ordinateur ou notre téléphone à scruter le moindre mail non lu et autres messages... et nombreux sont celles et ceux qui ont du mal à imaginer une vie sans internet ! Pour répondre aux inquiétudes grandissantes, notamment des parents d'adolescents, de nombreux tests ou questionnaires ont été élaborés. En cas de dépendance avérée, quelles sont les solutions ? C'est ainsi qu'en Grande-Bretagne, une clinique a dédié un programme de soins aux drogués d'internet pas plus tard que le mois dernier.

[Dans l'encyclopédie Wikipédia] La dépendance à internet [Sur le site Doctissimo] L'addiction numérique, c'est quoi ? [Doctissimo] L’addiction numérique, un mal croissant chez les jeunes A Singapour, comme dans un nombre grandissant de pays, des psychiatres militent pour que l'addiction aux smartphones soit reconnue comme un trouble psychologique. Avec la Corée du Sud, la Chine et Taïwan, la cité-Etat est l'un des pays d'Asie les plus concernés par ce phénomène. L’addiction au smartphone, un trouble psy ? Singapour et Hong Kong détiennent d’ailleurs le record régional du plus grand nombre d'utilisateurs de smartphones par habitant, selon un rapport publié l'an dernier par le cabinet d'étude Nielsen. 87% des 5,4 millions de Singapouriens sont ainsi munis d'un téléphone multifonctions, contre 65% aux Etats-Unis. Ils passent en moyenne 38 minutes par session sur Facebook, soit presque deux fois plus que les Américains, selon la société Experian.En France, les dernières études menées établissent à 40 % le pourcentage de Français qui utilisent l'internet mobile, c'est-à-dire depuis leurs smartphones et tablettes*. Chez les jeunes de 15 à 29 ans, ce taux grimpe à 79 % !

Atlantico Il n’y a pas d’addiction aux objets numeriques. C’est aussi simple que cela. J’ai participé à l’émission Le téléphone sonne : “Smartphones et réseaux sociaux: les nouvelles addictions” et j’ai été assez surpris de constater qu’il y avait encore un discours culpabilisant et pathologisant sur les objets numériques. J’ai pu entendre du docteur Willam Olivenstein Lowenstein que l’effet de ces objets était comme la cocaïne. Que les mondes numériques étaient des mondes de la stimulation perpétuelle et de la vitesse. Que 5% des jeunes joueurs de jeux vidéo développaient une addiction. Si j’étais américain, je dirais que c’est de la “bullshit psychiatry”. Il n’y a pas d’addiction aux objets numériques. La première clinique pour “dépendance aux jeux video” a été ouverte en Hollande en 2006 par le Smith and Jones Centre, un centre de traitement pour les toxicomanes. Il n’y a pas d’addiction aux objets numériques. Il n’y a pas d’addiction aux objets numériques, c’est aussi simple que cela. Il n’y a pas d’addiction aux objets numériques, c’est aussi simple que cela.

Très intéressant de nous faire partager un autre support, il aborde bien le thème de ce qui peut se passer aujourd'hui et nous montre combien nous sommes dépendants de la technologie et des outils numériques. Une réflexion se met en place sur le rapport entre le numérique et nous à travers ce court métrage qui est d' ailleurs très bien joué par les acteurs.
Merci pour ce lien.
julie by hoyet_groupe2_psy Mar 22

Très bon court-métrage sur une histoire d'amour qui est vécu par procuration sur les réseaux sociaux. La fin pose une question intéressante sur l'éphémérité des données et combien nous sommes en fait dépendant, même parfois sans le vouloir, des outils numériques. by goncalves_groupe3_psy Apr 9

Bonjour, en effet ce court-metrage est excellent. Saisissant! Je l'ai aussi mis dans mes Pearltrees. L'histoire d'amour et les nouvelles technologies : un trio qui ne fait pas bon menage! Musique, Scenario, decors, acteurs excellents! Merci pour ce partage.
J. by hepar Mar 28

Bonjour, excellent court-métrage !!! Il amène vraiment à la réflexion en nous mettant aux prises directement avec "la réalité" et la perte de l'être aimé. Cela nous montre aussi notre dépendance aux technologies et que sans elles nous sommes perdus. Une bonne trouvaille. Bye by mourgeotte_groupe1_psy Mar 23

Excellent court-metrage : l'isolement resultant de la cyber-dependance est tres bien mis en evidence, et bien mieux communique que par les moyens de prevention habituels. Merci pour cette perle! by mathieu_groupe2_psy Mar 18

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