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Rapport Académie des Sciences "informatique"

Pratiquer l'Algorithmique 11.1 : Un logiciel pour comprendre les algorithmes Conférence Cultures numériques : De quoi le numérique à l'Ecole est-il le nom ? Les 21 et 22 mai 2013, à l'École normale supérieure de Lyon, une conférence nationale a exploré les « cultures numériques », « l'éducation aux médias et à l'information. ». De manière plus générale, c'est bien le sens même du numérique à l'école qui s'est trouvé ainsi éclairé. De quoi est-il le nom ? Sans doute d'un malaise et d'un défi : adapter l'école à la civilisation du numérique qui oblige à repenser l'appropriation et la nature même de la connaissance. Assurément aussi d'une prise de conscience : le numérique est moins une question d'outils ou d'usages que d'enjeux, tant il rend possible et indispensable la formation de citoyens autonomes et responsables dans un monde en mutation. Les chercheurs et enseignants ont partagé réflexions et expériences. Ouvertures Une nouvelle société du savoir Philippe Queau envisage la question sous quatre angles. Quelles responsabilités alors de l'école ? « Cultures numériques : quelles responsabilités de l'école ? L'information comme objet et flux

Ressources Educscol "algo au Lycée" Au bout de dix ans de pratique du B2i, nous constatons un échec Au bout de dix ans de pratique du B2i, Jean-Pierre Archambault Lors du salon Educatice 2011, l'EPI a organisé une table ronde et animé un stand (avec des représentants de SPECIF, du CRDP de Paris, de l'INRIA, l'Inspection générale de l'Éducation nationale, l'association des Olympiades de l'informatique, le groupe ITIC-EPI-SPECIF) sur l'enseignement de l'informatique, précisément la création à la rentrée 2012 en Terminale S d'un enseignement de spécialité optionnel « Informatique et Sciences du numérique ». Ce fut l'occasion pour son président de donner une interview à Weka sur les multiples actions menées par l'EPI et le groupe ITIC en faveur de cet enseignement, l'échec du B2i, la culture informatique et ses enjeux, la formation du citoyen et la place des logiciels libres dans l'éducation. Weka : À la rentrée 2012, va démarrer l'enseignement optionnel « Informatique et sciences du numérique » en Terminale S. La réponse à la question est donc résolument non, bien au contraire !

de l'algorithme à la robotique by on Prezi Profweb : Accueil peda Les algorithmes de tri Selon le dictionnaire, « trier » signifie « répartir en plusieurs classes selon certains critères ». De manière plus restrictive, le terme de « tri » en algorithmique est très souvent attaché au processus de classement d'un ensemble d'éléments dans un ordre donné. Par exemple, trier N entiers dans l'ordre croissant, ou N noms dans l'ordre alphabétique. Tout ensemble muni d'un ordre total peut fournir une suite d'éléments à trier. Il est intéressant de constater qu'intuitivement, s'il lui est donné un ensemble à trier, tout un chacun met en place des stratégies de tri différentes selon le nombre d'éléments de l'ensemble, par exemple un jeu de 52 cartes ou 200 élèves à classer dans l'ordre alphabétique. On peut illustrer le cas général en prenant l'exemple du tri d'entiers. Les méthodes présentées sont de deux types : Cette liste n'est évidemment pas exhaustive.

Dis maman (ou papa), c'est quoi un algorithme dans ce monde numérique ?
 Depuis des années, les chercheurs ont pris la peine d’expliquer aux adultes ce concept levier de l’informatique et des sciences du numérique. On obtient un algorithme lorsque l’on a évacué la pensée d’un procédé et réduit les choses à un simple calcul. « Un algorithme, c’est tout simplement une façon de décrire dans ses moindres détails comment procéder pour faire quelque chose. Il se trouve que beaucoup d’actions mécaniques, toutes probablement, se prêtent bien à une telle décortication. Le but est d’évacuer la pensée du calcul, afin de le rendre exécutable par une machine numérique (comme un ordinateur par exemple). On ne travaille donc qu’avec un reflet numérique du système réel avec qui l’algorithme interagit. » Philippe Flajolet Ainsi, Philippe Flajolet nous détaille sur )i(interstices ce qu’est un algorithme pendant que Gérard Berry en parle dans un un petit film amateur sur l’histoire des idées qui ont fait l’informatique, à destination des collégiens. Gérard Berry En jouant.

Initiation à la notion d'algorithme © Paul Gendrot Jeu de Nim, crépier psycho-rigide, baseball multicouleur... Quelle est la différence entre mon intelligence et celle d'une machine ? activité, fin primaire/collège Une activité familiale pour faire comprendre la différence entre mon intelligence et celle de la machine.On joue au jeu du «robot-idiot» en se mettant dans la "peau" d'un robot pour voir ce qu'il peut ou pas faire. Un document complet pour le parent ou l'animateur.Une vidéo récréative sur le sujet. Déconstruire l'informatique pour mieux la comprendre Une collaboration avec Makerspace nancéen avec le support de Cap'maths, permet de proposer des activités ludiques et participatives pour introduire la notion d'algorithme. Le jeu de Nim comme algorithme activité, collège/lycée Le Crépier psycho-rigide comme algorithme activité, mi-collège/lycée Le problème du plus court chemin activité, fin-collège/lycée Le baseball multicouleur comme algorithme

Un exemple introductif à l'algorithmique sur machine Table des matières 1.1 Objectif Le nouveau programme de seconde (en pré-version au mois de mai 2009) prévoit une partie intitulée Algorithmique et intègre explicitement le recours à des algorithmes pour résoudre des problèmes. Même un enseignant n'ayant jamais fait de programmation peut s'emparer du sujet et le traiter simplement. Cet exemple a donc un double rôle : Montrer à quel niveau on peut commencer, Permettre aux professeurs de se faire une idée sur plusieurs langages candidats à l'enseignement de l'algorithmique. 1.2 L'énoncé Le tour de magie. Le magicien demande à un spectateur de penser à un nombre et de l'écrire sur une ardoise. L'analyse de cet énoncé fait apparaître un algorithme de calcul en 5 étapes : Étape 1 : Choisir un nombre. Il comporte 3 phases : entrées : il faut des données, c'est l'étape 1 traitement : on travaille ces données, ce sont les étapes 2 à 4 sorties : on annonce un résultat, c'est l'étape 5 Voyons ce que cet algorithme produit avec différents supports.

Cours d'Algorithmique - Christophe Darmangeat Partie 1 Introduction a l’Algorithmique « Un langage de programmation est une convention pour donner des ordres à un ordinateur. Ce n’est pas censé être obscur, bizarre et plein de pièges subtils. Ca, ce sont les caractéristiques de la magie. » - Dave Small « C'est illogique, Capitaine » - Mr Spock L’algorithmique est un terme d’origine arabe, comme algèbre, amiral ou zénith. Ainsi, l’algo n’est pas « rythmique », à la différence du bon rock’n roll. Alors, ne confondez pas l’algorithmique avec l’agglo rythmique, qui consiste à poser des parpaings en cadence. Avez-vous déjà ouvert un livre de recettes de cuisine ? Plus fort : avez-vous déjà indiqué un chemin à un touriste égaré ? Comme quoi, l’algorithmique n’est pas un savoir ésotérique réservé à quelques rares initiés touchés par la grâce divine, mais une aptitude partagée par la totalité de l’humanité. Un algorithme, c’est une suite d’instructions, qui une fois exécutée correctement, conduit à un résultat donné.

jeu_verger.pdf Algorithmophobia On connaissait les "technophobes" et les les néo-luddites. On connaissait les nomophobes, phobie contemporaine capable de déclencher des crises d'angoisses à l'idée d'être séparé de son smartphone. On connaissait la FOMO (Fear Of Missing Out), qui n'est pas - encore - une phobie mais à tout le moins une crainte de passer à côté de quelque chose d'important, et l'on connaissait également les stratégies de remédiation mises en place par les acteurs technologiques (Wywa : While You Were Away). On sait que les algorithmes occupent une place de plus en plus centrale dans nos vies. On sait que les rapports entre la loi et le code vont s'avérer de plus en plus tendus, de plus en plus complexes à l'échelle d'une population entièrement connectée. On sait enfin qu'il n'est de données que de la servitude volontaire et que le coeur de tout cela est lié à nos requêtes dans un monde où il n'y a pourtant déjà plus que des réponses. Algorithmophobia. Et elle est tout aussi vertigineuse. Opaques abaques.

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