Approches corps-esprit
Envoyer cette page à un ami Définition de l'approche corps-esprit Courriel* Séparer les différentes adresses avec un point-virgule(;) De: Votre nom* Votre courriel* Message: * Champs obligatoires ACCUEIL QUI SOMMES-NOUS ? 18 avril 2014 Publicité Produits de santé naturels Thérapies Herbier médicinal Pharmacopée chinoise Médecine chinoise 101 Approches corps-esprit Accueil > Approches complémentaires > Thérapies Sommaire J'en profite pour m'inscrire à la newsletter, c'est gratuit ! Recettes anti-arthrose Recevez ce livre de recettes naturelles et délicieuses pour lutter contre l'arthrose Cliquez ici Programmes d’entraînement personnalisés Progressez en moyenne de 6% sur des courses de 1km au marathon. Plan d’entraînement pour coureur Progressez à votre rythme selon votre objectif et votre capacité pour 2,50€ par semaine. Publi-éditorial Recettes anti-arthrose Plan d'entraînement pour coureur Progressez à votre rythme selon votre objectif et votre capacité. Comment vivre mieux et plus longtemps? En savoir plus 1 de 5
Le corps humain en guise d'interface de transfert de données
Le géant japonais de la télécommunication NTT affirme avoir réussi à transmettre des données numériques à travers le corps humain. Une nouvelle approche du « sans fil », plus personnelle, que beaucoup de chercheurs travaillent actuellement en Asie. Certains scientifiques coréens du célèbre ETRI (Electronics and Telecommunications Research Institute) sont aussi sur le point de développer une technologie capable de faire passer des données numériques en utilisant le corps humain comme média. L'objectif est d'atteindre un débit « aussi rapide que les connexions haut débit actuelles, avec des vitesses de 10 Mbits/s » (1,25 Mo/s) explique l'un des chercheurs de l'ETRI. Il se pourrait donc que très bientôt, on puisse transférer des fichiers, musique, vidéo et autres, d'un périphérique en main gauche vers un autre engin dans sa main droite.
Le corps suffit-il à définir notre identité ? | Alexandra Giroux
Dans son ouvrage Le corps analyseur, publié en 2001, Jean-Marie Brohm soulevait la question suivante : le corps suffit-il pour définir mon identité ? En effet que reste-t-il de « moi » après les différentes mutations que permet la science actuelle ? Qui suis-je au fond ? Pourquoi les gens investissent-ils leur corps comme un facteur identitaire ? Comment expliquer que nous ayons une identité sociale avant d’avoir des critères de distinction corporels ? Et au fond, qu’est ce que l’identité ? Etymologiquement, l’individu est celui qui ne peut être divisé. L’identité ne se définit-elle pas plus par le qualitatif que par le quantitatif ? Ainsi, au-delà d’être une simple agrégation d’atomes, nous sommes avant tout un esprit.
Définition par le corps
Par Nolwenn Picoche. Vous pouvez réagir ici. Mots-clés : nature contre culture, conte philosophique, définition de l’homme. NB : Les textes sont protégés par le code de la propriété intellectuelle. Toute reproduction est interdite sans l’autorisation expresse de l’auteur. L’aspect physique Leur visage, si proche qu’il soit encore de celui de l’orang-outang, est beaucoup plus expressif.[1] L’un des principaux problèmes auquel sont confrontés les protagonistes est l’aspect physique. Le problème est de savoir si nous parlons de l’Homo sapiens uniquement ou du genre Homo, ce qui implique l’Homo neandertalensis ou l’Homo erectus qui diffèrent de l’Homo sapiens. Il existe plusieurs maladies graves qui modifient l’aspect physique des personnes. Le cerveau Il convient donc d’appeler humain, à mon avis, tout être dont le cerveau comporte la totalité des liaisons dénombrées, et animal celui dont le cerveau ne les comporte pas.[2] La conscience de la douleur comme exemple de passion Lire la suite :
Esprit
Représentation des facultés de l'esprit humain. Origine[modifier | modifier le code] Le mot esprit vient du latin « spiritus » (dérivé de spirare = souffler) qui signifie souffle, vent. Le mot esprit pouvait se donner à tout ce qui est fort subtil et très actif, on le retrouve donc dans des expressions de l'ancienne chimie comme esprit de vin (alcool) ou esprit de sel (acide chlorhydrique). L'esprit peut aussi renvoyer au principe de la vie ou à l'âme individuelle. « Les Esprits ou âmes raisonnables » sont « des images de la Divinité, ou de l'Auteur même de la nature ; ce qui fait que les Esprits sont capables d'entrer dans une manière de Société avec Dieu ... »[3]. Dans le langage philosophique contemporain « Esprit » peut être opposé à différentes notions : « La chair a des désirs contraires à ceux de l'esprit, et l'esprit en a de contraires à ceux de la chair »[4]. L'Esprit dans les religions[modifier | modifier le code] L'esprit dans le christianisme[modifier | modifier le code]
Âme
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. r Les termes originaux (hébreux : nèphèsh [נפׁש] ; grec : psukhê [ψυχή]) employés dans la Bible montrent qu’une « âme » est une personne, un animal, ou la vie dont jouit une personne ou un animal. La notion d’âme joue un grand rôle dans la croyance religieuse. Le concept d’âme, tacitement associé à celui d’immortalité, reste, selon les modernes, imputé à Platon. Approche linguistique[modifier | modifier le code] Morphologie[modifier | modifier le code] La langue cléricale médiévale emprunte au latin, dès le VIIIe siècle de l'ère courante, le nom féminin « anima ». Sémantique[modifier | modifier le code] De nombreuses connotations religieuses, philosophiques, et psychologiques s'attachent au terme « âme », comme à son synonyme esprit, entré plus tardivement dans la langue française, sous la forme « espirit » au XIIe siècle, orthographiée « esprit » à partir du XIVe siècle[3]. L'usage commun contemporain oppose les termes « âme » et « esprit ».