background preloader

De la servitude moderne

De la servitude moderne
Related:  Vidéos / Documentaires

de la servitude moderne - le livre « Mon optimisme est basé sur la certitude que cette civilisation va s’effondrer. Mon pessimisme sur tout ce qu’elle fait pour nous entraîner dans sa chute. » La servitude moderne est une servitude volontaire, consentie par la foule des esclaves qui rampent à la surface de la Terre. Ils achètent eux-mêmes toutes les marchandises qui les asservissent toujours un peu plus. Ils courent eux-mêmes derrière un travail toujours plus aliénant, que l’on consent généreusement à leur donner, s’ils sont suffisamment sages. Ils choisissent eux-mêmes les maitres qu’ils devront servir. Voilà le mauvais rêve des esclaves modernes qui n’aspirent finalement qu’à se laisser aller dans la danse macabre du système de l’aliénation. L’oppression se modernise en étendant partout les formes de mystification qui permettent d’occulter notre condition d’esclave. Chapitre III : L’aménagement du territoire et l’habitat La Société du Spectacle, Guy Debord. Haut de page Chapitre IV : La marchandise Le Capital, Karl Marx

Edward Bernays Edward Bernays en 1917. Œuvres principales Il est considéré comme le père de la propagande politique et d'entreprise, ainsi que de l'industrie des relations publiques, qui ont fortement contribué à développer le consumérisme américain. Biographie[modifier | modifier le code] Famille[modifier | modifier le code] Edward Bernays naît à Vienne en 1891. Il est à deux titres le neveu du psychanalyste Sigmund Freud[3],[4], neveu germain et neveu par alliance[5],[6] : son père, Ely Bernays (1860-1923), est le frère de Martha Bernays, l'épouse de Freud,sa mère, Anna Freud (1858-1955) est l'une des sœurs de Freud[7]. Il a publié en 1965 son autobiographie[8]. Son grand-oncle, le philologue Jacob Bernays, fut « le premier juif pratiquant à être nommé sur un poste proprement universitaire dans l'Allemagne du dix-neuvième siècle »[9]. Il a été marié à l'écrivaine et activiste féministe Doris E. Il est le grand-oncle paternel de Marc Randolph (né en 1958), le cofondateur et premier PDG de Netflix[10]. — E.

Il ne faut pas rembourser la dette publique Je viens d’écrire un article sur la crise de la dette pour OWNI. L’article est intitulé “La dette expliquée aux nuls”, mais ce n’est pas le titre que j’aurais préféré, mon objectif étant clairement de poser la question de la légitimité du remboursement de la dette publique. Je vous invite à aller lire l’article sur OWNI, mais j’aimerais profiter de cet article pour glisser quelques remarques et explications complémentaires. Il faut réformer les statuts de la banque centrale Je reviens dans l’article sur ce que j’ai déjà expliqué sur ce blog à plusieurs reprises, à savoir tout d’abord l’importance de revenir sur la loi de 1973 et les traités européens qui interdisent à la BCE de financer les dépenses publiques des états de l’eurozone. Il est tout à fait possible de parvenir à une réforme des traités européens allant dans ce sens… à condition bien sûr de le demander ! La France dispose d’un poids dans l’Union Européenne. Le “problème” de l’inflation Les réformes sont inévitables BlueRobot

Inediz Une alternative de société : l’éco-sociétalisme Où l’intérêt particulier rejoint l’intérêt collectif En France, depuis début 2003, le roupe de cherche pour un ystème ciétal – – initie un projet à la fois politique, le SOCIÉTALISME, mais aussi économique et monétaire, l’ÉCOSOCIÉTALISME. Les lignes qui suivent synthétisent les grandes idées de ce projet développé dans les pages du site de l’écosociétalisme et auquel chacun est invité à participer sur le forum Destination Sociétale expose un projet démocratique réalisable et envisage les modalités de son avènement. Il implique une organisation sociale post-capitaliste et son institutionnalisation par voie démocratique. propose une alternative économique post-libérale, implique le déclin des systèmes financiers, boursiers et bancaires actuels. Il répartit équitablement le pouvoir d’achat individuel, libère la monnaie en fonction des biens et services produits, récupère immédiatement la monnaie lors de son utilisation finale. L’existence harmonieuse de « la société humaine ». Plus de services.

Création Monétaire René Guénon, 1927 à propos de la Démocratie Six choses que vous devriez savoir à propos de la monnaie dans notre système capitaliste On a tous bien compris qu’il y avait un bug important dans notre système financier / monétaire mais souvent nous peinons à mettre le doigt dessus. Nous sommes bien conscients que la monnaie a pris un rôle trop central par rapport aux humains, alors nous accusons le financiarisme, le capitalisme, le libéralisme etc.. Voici un billet pour exposer et mettre en lumière les effets créés par les monnaies que nous utilisons aujourd’hui dans le capitalisme. Ces choses que nous devrions tous savoir, pour mieux comprendre comment nous pouvons les changer. Voici donc 6 choses que vous devriez vraiment savoir à propos de la monnaie telle que nous l’utilisons aujourd’hui : En France, depuis le 6 janvier 1973, le pouvoir de création monétaire est passé de la Banque de France aux banques privées. Donc les gouvernements, représentants du peuple, doivent emprunter aux banques privées et payer des intérêts alors qu’autrefois ils émettaient eux-même cette monnaie sans payer d’intérêt. WordPress:

ÉCONOMIE • Ces 147 sociétés qui dominent le monde L’économie mondiale est hyperconcentrée, selon une équipe de chercheurs de Zurich. Leur étude souligne la fragilité d’un système financier contrôlé par un petit groupe de multinationales, liées entre elles par des participations croisées. La science apeut-être bien confirmé les pires craintes des indignés qui ont manifestécontre le pouvoir financier. L’étude des relations entre 43 000 multinationales a en effet mis en évidence l’existence d’un groupe relativementrestreint de sociétés – pour la plupart des banques – jouissant d’une influencedisproportionnée sur l’économie mondiale. Selon lesspécialistes des systèmes complexes que nous avons interrogés, ces travaux, quifournissent une remarquable tentative d’analyse du pouvoir économique mondial,pourraient servir de base de travail pour définir les moyens de renforcer lastabilité du capitalisme. L’idée qu’unepoignée de banquiers contrôle de vastes secteurs de l’économie mondiale n’estpas nouvelle pour les militants d’Occupy Wall Street.

Related: