Les troubles associés - Détection et accompagnement des personnes à haut potentiel
- plus rapide parce qu'il capte plus vite, mais plus lent parfois, parce qu'il est perfectionniste; - plus agité parce que plus énergique, mais aussi plus calme, quand il fixe son attention sur un sujet qui l'intéresse; - plus sensible, plus affectueux, mais aussi parfois plus froid, indifférent quand il veut se protéger; - plus généreux, mais aussi plus économe; - plus indulgent, mais aussi plus exigeant,... Comment les aider ? Pour leur offrir les meilleures chances de s'épanouir, il est indispensable de: - déceler leur particularité dès le plus jeune âge; - les aider à comprendre leur propre mode de fonctionnement et leur apprendre celui de l'école, et ce, dès la maternelle. Chaque enfant étant unique, qu'il soit "HP" ou non, il est impossible de définir une marche à suivre commune pour tous. Les troubles associés Le diagnostic thérapeutique fait fréquemment, mais erronément, mention de troubles de la personnalité ou de déficit d'attention. Les syndromes majeurs liés à la douance
Pensée latérale
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La pensée latérale est un ensemble de techniques théorisées par Edward de Bono, Docteur maltais en médecine et en philosophie, Master en psychologie et physiologie et auteur de plusieurs livres sur la créativité. Cet ensemble de méthodes de résolution de problème consiste à approcher les problèmes sous plusieurs angles au lieu de se concentrer sur une approche unique[1]. Définition et application[modifier | modifier le code] La pensée latérale se définit par opposition à la pensée verticale, qui est la pensée classique, caractérisée par la continuité entre les étapes et la validation pas à pas des hypothèses et de chaque résultat intermédiaire. En pensée verticale, une idée dont l'applicabilité n'est pas validée est rejetée et n'est plus considérée dans la suite du processus. Ces discontinuités peuvent être provoquées de plusieurs manières (Cf. Techniques de pensée latérale[modifier | modifier le code] Exemple 1[modifier | modifier le code]
Surefficient Mental, profil atypique, haut potentiel, surdoué, douance
Le profil atypique On décrit généralement les individus dotés de "surefficience mentale", ou "à haut potentiel", ou "hp", ou "surdoués", ou "zèbres" ou "dotés de douance", ou "de profil atypique", comme possédant des capacités naturelles ou des fonctionnements nettement différents de la moyenne de la population dans plusieurs domaines d'habileté : intellectuel, créatif, artistique, sportif, etc. J'apprécie l'expression de "surefficience mentale", car elle illustre bien l'existence d'un potentiel, souvent bien encombrant, qui ne va pas nécessairement se transformer en efficacité relationnelle ni en bien-être existentiel ! J'aime aussi la dénomination de "profil atypique", car elle exprime bien la différence, l'inattendu, l'anormalité qui génère de nombreux rejets, sans sous-entendre les notions de "sur-" ou de "plus-" présentes dans les termes "haut potentiel", "surdoué", etc.. Dans cette page, j'utiliserai donc principalement l'une ou l'autre de ces deux expressions. En parler ?
La pensée en arborescence
… Voici un dessin que je n’ai pas pu insérer dans le livre que j’ai publié. C’est une tentative pour expliquer ce qu’est la pensée en arborescence (ou pensée analogique) par rapport à la pensée linéaire (ou séquentielle). Nous sommes en général formés depuis la plus petite enfance à réfléchir en établissant des listes déroulantes comme le présente la colonne de gauche. Mais quand un surdoué réfléchit, c’est en feu d’artifice, ainsi que le représente le dessin de droite. Le dessin de droite ne se lit pas de droite à gauche ou de haut en bas : Il faut chercher la bulle centrale (ce sur quoi on est en train de réfléchir) et ensuite cheminer le long de chaque arborescence. Pour résumer tout ça, un petit dessin… Quand il a fallu que je réfléchisse à un plan linéaire pour rédiger mon livre, autant dire qu’il m’a fallu « pas mal » de temps pour trouver un arrangement qui satisfasse à mes envies quelques peu perfectionnistes… Ici, quelques sources pour aller plus loin :
Caractéristiques des adultes surdoués, adultes HP, adultes à haut potentiel
Ultracrépidarianisme ou effet Dunning-Kruger : Quoi que vous leur disiez, ils savent mieux que vous (monsieur et madame je-sais-tout sont donc HP !) Auxquels s'ajoute parfois une mauvaise foi crasse. Ce qui, de fait, les empêche d'avancer, puisque, quelle que soit la solution proposée, ils savent déjà que ça ne va pas fonctionner ! La question est donc : pourquoi paient-ils pour venir nous voir, s'ils ont déjà tout compris mieux que nous ? (Le top, ce sont les Parigots qui, en plus, font 600 bornes aller-retour, alors qu'ils savent déjà tout. Cherchez l'erreur ...) A ceux-là, on conseille d'essayer l'humilité, pour changer. Heureusement, on en trouve aussi de lucides (ceux qui savent qu'ils ne savent pas ... )
Le test de la danseuse
Accueil > Introduction > Le test de la danseuse Voici un test qui circule sur internet depuis des années, il ne pouvait pas ne pas être sur ce site, le voici donc. Le test « cerveau gauche ou cerveau droit » est simple : voyez vous la danseuse tourner dans le sens des aiguilles d’une montre ou dans le sens anti-horaire ? Si vous la voyez dans le sens horaire, vous utilisez majoritairement votre cerveau droit, sinon, c’est le gauche. La plupart d’entre nous voyons le sens anti-horaire, mais avec un peu de concentration, il est possible de changer le sens. Personnellement je ne suis pas sur de la pertinence de ce test en revanche ce qui est très interessant c’est, quelque soit le sens dans lequel nous le voyons initialement tourner, de forcer notre cerveau à la voir tourner dans l’autre sens, car là nous faisons faire un vrai travail de transfert d’un hémisphère à l’autre !
Je pense trop : comment canaliser ce mental envahissant (2/2)
Nous continuons aujourd’hui notre ballade à travers les idées marquantes du livre Je pense trop de Christine Petitcollin. Si vous n’avez pas encore lu la première partie, voici le lien pour y accéder : Je pense trop (1/2) Les normopensants Selon Christel Petitcollin, les surefficients mentaux représenteraient 15% à 30% de la population, ce qui est loin de la majorité des gens. C’est pourquoi elle emploi le terme normopensant pour désigner les gens qui ne sont pas surefficients mentaux. Contrairement aux surefficients mentaux, les normopensants sont hypoesthésiques : leurs sens sont moins développés. Ils savent aussi mieux détecter le signal faible dans le bruit ambiant : tout ce qui n’est pas utile est zappé automatiquement sans effort. Les normopensants aiment s’amuser et se distraire mais n’éprouvent pas le besoin de refaire le monde. Les normopensants ne sont pas aussi idéalistes que les surefficients mentaux. Enfin, ils sont doués d’une meilleure confiance en soi. Les solutions
Cerveau droit