C’est l’histoire d’un tueur misogyne qui n’intéressait personne… | Genre !
… à part les féministes (qu’est-ce qu’elles nous emmerdent celles-là). L’histoire se passe en Californie. Elliot Rodger, 22 ans, a tué le 24 mai 6 personnes et blessé au moins treize autres avant de se suicider. Il y a cependant une partie de l’histoire qui n’intéresse pas grand-monde. On y voit Elliot Rodger, assis derrière son volant, se filmer et raconter pendant sept minutes sa solitude, sa haine du monde et son amertume d’être rejeté par les femmes. Je cite maintenant la vidéo du tueur (la traduction suit), telle qu’elle a été retranscrite par le site Daily Kos: « It’s not fair. Traduction: « C’est pas juste. Le Monde nous apprend que le tueur souffre de « troubles mentaux ». Il est urgent d’arrêter de dénoncer ce genre de discours comme étant le fait de personnes déséquilibrées. Le discours de Rodger n’est pas unique, c’est même tout le contraire. Connaissez-vous Poire? Vous en connaissez, des hommes qui raisonnent comme ça. « Men are afraid that women will laugh at them. AC Husson
Valérie Trierweiler, ou le tragique surinvestissement sentimental des femmes - le Plus
François Hollande et Valérie Trierweiler à Casablanca, au Maroc, le 4 avril 2013 (Y.BOUDLAL/AFP) Rue89 a publié un très bel article voici quelques jours. Enfin, une très belle moitié d'article, car les choses se gâtent avec l'arrivée de la psychanalyste, mais c'est déjà très bien. "Mes deux premiers besoins sont la solitude et la liberté." Pardonnez-moi, mais cette phrase m'a fait l'effet d'un courant d'air dans la cervelle. Pourquoi ? Le surinvestissement sentimental des femmes est une tragédie En fait, comme à chaque fois (= tout le temps) qu'un livre/film/quelconque production "culturelle" paraît et a comme sujet l'investissement sentimental (et les horribles douleurs que peut provoquer un médiocre retour sur cet investissement), j'en viens à la conclusion que, comme toute bonne féministe, je dois être profondément misogyne, car observer qu'une telle "problématique" est trustée par une production et une consommation à 98% féminines me donne envie de passer mes ovaires au blender.
Poire le nice guy: portrait robot | Les Questions Composent
Je pense vous avoir suffisamment bourré le mou, chers lecteurs, avec le personnage de Poire. Pourtant, je vais reparler de lui, hé oui. Rappelons les faits. Je sais que pour certains, et surtout certaines(1), ce sera très redondant. Mais je reçois encore et toujours des commentaires de gens qui n’ont rien compris à l’article originel. Et je ne les publie pas, parce que je ne vais pas réexpliquer la vie à chaque personne individuellement, d’autant plus que ce genre de commentaires expriment en général plutôt une réaction de défense qu’une recherche de vérité, qu’une demande de précision ou qu’un supplément d’informations. Mais bon, je suis gentille, vous vous souvenez, j’aime les fleurs et les papillons. Poire est un personnage que je n’ai pas inventé, je lui ai juste donné un nom et j’ai analysé son comportement d’un point de vue féministe, ce qui n’avait pas été fait à ma connaissance. Alors, qui est Poire? Poire et sa vision des femmes En fait, Poire attend beaucoup des femmes.
Better Identification of Viking Corpses Reveals: Half of the Warriors Were Female | Tor.com
Shieldmaidens are not a myth! A recent archaeological discovery has shattered the stereotype of exclusively male Viking warriors sailing out to war while their long-suffering wives wait at home with baby Vikings. (We knew it! We always knew it.) Plus, some other findings are challenging that whole “rape and pillage” thing, too. Researchers at the University of Western Australia decided to revamp the way they studied Viking remains. It’s been so difficult for people to envision women’s historical contributions as solely getting married and dying in childbirth, but you can’t argue with numbers—and fifty/fifty is pretty damn good. Women may have accompanied male Vikings in those early invasions of England, in much greater numbers than scholars earlier supposed, (Researcher) McLeod concludes. In many ways, this discovery is well-timed with the recent uproar over Thor becoming a title for both sexes instead of an exclusively male name. [USA Today via Jezebel] Photo: The History Channel
Why is this 2011 article on Viking Women now getting mainstream media attention?
Three years ago, Shane McLeod’s article on ‘Warriors and women: the sex ratio of Norse migrants to eastern England up to 900 AD’ was published in the journal Early Medieval Europe. This week, the details of this article are now making headlines on media all across the world. McLeod, who is currently a Research Fellow at the University of Stirling, examined archaeological evidence about Norse migrants to eastern England in the 9th century. Of the 14 burials of Norse individuals that have been found from this period, McLeod notes that 7 were of men, 6 were women, while the one remaining individual’s sex could not be determined. While previous research on the Norse had concluded the Norse who came to England were overwhelmingly male, McLeod concludes that we “should caution against assuming that the great majority of Norse migrants were male, despite the other forms of evidence suggesting the contrary.” Tweet us your thoughts @medievalists
Raining On Your Parade About Those Women Viking Warriors | Stuff You Missed in History Class
Sad to say: There is no new evidence to suggest half of all Viking warriors looked like this (stereotype, as the horned helmets are a myth). iStockphoto/ThinkStock Here’s a headline that just sounds awesome: Better Identification of Viking Corpses Reveals: Half of the Warriors Were Female. A lot of people have sent us this link these past two days. It raised my “Really?” flag, so I got the original source paper, “Warriors and women: the sex ratio of Norse migrants to eastern England up to 900 ad” by Shane McLeod, published in the journal Early Medieval Europe in 2011. Then I read it all the way through. This paper looks at the history of using grave goods and other methods to determine the sex of remains, rather than using the bones themselves. (And if the question is “Why should we conclude that this body was a man because it has a spear and a shield?” The paper then looks at grave sites at which the sex of the remains was determined using the bones themselves.