1914 - Mobilisation allemande 1914 - 1915 La famille Frank pendant la Première Guerre mondiale PrécédenteSuivante La Première Guerre mondiale La Première Guerre mondiale s’est déroulée de 1914 à 1918. Elle a opposé, initialement, la Russie, la Grande Bretagne et la France à l’Allemagne et l’Autriche-Hongrie. Les combats se sont concentrés en Europe, mais la guerre a impliqué des pays et des armées de tous les continents. En savoir plus
Félix Wielemans Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le Lieutenant-Général Félix Maximilien Eugène Wielemans (10 janvier 1863 - 8 janvier 1917) fut Chef d'état-major et conseiller militaire du roi Albert 1er durant la Première Guerre mondiale. Après avoir servi comme chef du cabinet militaire du ministre de la Guerre Charles de Broqueville peu avant la Grande Guerre, il devint membre de l'état-major de l'armée belge en 1914. En 1915, il en fut promu chef et fut remplacé par Louis Ruquoy. Il représenta la Belgique au conseil de Guerre allié en décembre 1915 et à la conférence de Paris en mars 1916. Il fut décoré à de nombreuses reprises pour son rôle durant la guerre, il reçut entre autres la Légion d'honneur des mains du Général Joffre. Il décéda subitement en janvier 1917 à Houtem. Références[modifier | modifier le code] Obituary: p. 153, The Annual Register: a review of public events at home and abroad, for the year 1917. Sources[modifier | modifier le code]
Guerre de tranchées Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Deux cadavres de soldats allemands gisant dans une tranchée, peints par William Orpen en 1917 La guerre de tranchées est une forme de guerre où les combattants s'abritent dans des lignes fortifiées, largement constituées de tranchées dans lesquelles les soldats sont relativement protégés des armes légères et de l'artillerie. C'est devenu une expression familière pour désigner la guerre de position, une paralysie du conflit et l'épuisement progressif des forces opposées. La guerre de tranchées fut provoquée par une révolution dans la puissance de feu qui ne fut pas suivie d'avancées similaires dans la mobilité des troupes. Vue d'ensemble[modifier | modifier le code] Mise en œuvre durant la Première Guerre mondiale[modifier | modifier le code] Bien que la technologie ait radicalement changé la nature de la guerre en 1914, les armées n'avaient pas anticipé les conséquences de ce changement. Tranchée française dans le nord-est de la France
Décoration militaire (Belgique) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La Décoration Militaire est décernée dans 2 catégories : L'une est divisée en deux classes et est décernée pour "bons et loyaux services". C'est une croix dont le médaillon central de l'avers montre le Lion Belge encerclé de la devise belge L'union fait la force Eendracht maakt kracht (les versions d'avant 1951 ne sont qu'en français). Arrêté Royal du 22 décembre 1873 instituant la Décoration MilitaireRèglement militaire belge A83 sur les décorations militaires(en) Clarke JD,Gallantry Medals & Awards of the WorldQuinot H., 1950, Recueil illustré des décorations belges et congolaises, 4e Edition.
Première Guerre mondiale La première base présente plus de 1,4 million de fiches individuelles numérisées de militaires décédés au cours de la Grande Guerre et ayant obtenu pour la plupart la mention "Mort pour la France". La deuxième recense les fusillés en vertu d’une décision de la justice militaire et les exécutés sommaires au cours du conflit. La troisième comprend quelque 74 000 fiches individuelles numérisées de soldats ayant appartenu à l’aéronautique militaire. La quatrième base présente les images numérisées des journaux des marches et opérations, des carnets de comptabilité en campagne, des journaux de bord, etc. de toutes les unités militaires engagées durant la Première Guerre mondiale. Les 5e et 6e fonds sont accessibles sous forme là encore numérisée, la collection des historiques régimentaires de ces unités, ainsi que les 107 volumes des Armées françaises dans la Grande Guerre (AFGG). Enfin, le dernier ensemble est relatif à Georges Clemenceau, ministre de la Guerre et président du Conseil.
Croix militaire (Belgique) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La Croix militaire (néerlandais : Militaire Kruis) est une décoration militaire belge. Elle fut instituée le 11 février 1885 et est décernée aux officiers des forces armées belges pour bons et loyaux services ininterrompus. Les officiers réservistes peuvent aussi être récompensés à condition qu'ils participent à un entrainement annuel. La Croix Militaire est décernée dans 2 classes. L'insigne est une croix dorée dont les bras sont recouverts d'émail noir. La Croix Militaire est décernée aux officiers des forces armées belges sur base de la durée de leur service: Croix Militaire de première classe : décernée après 25 ans de bons et loyaux services en tant qu'officierCroix Militaire de seconde classe : décernée après 25 ans de bons et loyaux services dans l'armée belge (en) La Croix militaire sur Northeastmedals
Première guerre mondiale Louis Ruquoy Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le baron[1] Louis Hubert Ruquoy, aussi orthographié Louis Rucquoy était un lieutenant-général belge, né en 1861 et décédé en 1937 qui combattit durant la Première Guerre mondiale. Carrière militaire[modifier | modifier le code] Vie privée[modifier | modifier le code] Il épouse Alice Koopmans qui lui donnera un fils, Pierre, né le 6 août 1898. Sur les autres projets Wikimedia : Louis Ruquoy, sur Wikimedia Commons Notes et références[modifier | modifier le code] ↑ Titre concédé le 1er juillet 1924 par le roi Albert I Chronologie de la première Guerre mondiale Avant 1914 1907 31 août Signature de la Triple Entente entre la Grande-Bretagne, la Russie et la France. 1908 24 janvier Jean Jaurès demande à la Chambre le retrait des troupes françaises du Maroc. 1908 8 mai Le général Lyautey est nommé haut-commissaire du gouvernement du Maroc. 1908 1 septembre L’Allemagne demande aux signataires de l’Algésias la reconnaissance du nouveau sultan du Maroc. 1908 25 septembre Incident franco-allemand des déserteurs de Casablanca. 1909 9 février Accord franco-allemand sur le Maroc. 1911 1 juillet Coup d’Agadir des Allemands contre les Français. 1911 4 novembre L’Allemagne reconnaît le protectorat français sur le Maroc en contrepartie du bassin de la Sangha (Congo). 1912 30 mars Traité de Fès instaurant un protectorat français sur le Maroc. 1912 15 juillet Protocole militaire franco-russe. 1913 3 avril Incidents franco-allemands à Lunéville. 1913 13 avril Incidents franco-allemands à Nancy. Après 1920 Quelques grandes batailles
Philippe Baucq Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Philippe Baucq Philippe François Victor Baucq né le à Bruxelles et exécuté par les Allemands le au Tir national à Schaerbeek, est un architecte belge et un héros de la Première Guerre mondiale. Éléments biographiques[modifier | modifier le code] son action durant la Première Guerre mondiale[modifier | modifier le code] Dès le début de la guerre, Philippe Baucq s'investit dans un réseau d'évasion initié par des Belges de la région de Mons qui aidait les soldats alliés blessés et cachés à s'évader de la Belgique occupée vers les Pays-Bas restés neutres. Arrestation[modifier | modifier le code] Ils furent jugés les 7 et . Louise Thuliez, Jeanne de Belleville, Louis Severin et Albert Libiez voient leur condamnation à mort commuée en peine de prison à perpétuité. Honneurs[modifier | modifier le code] Bibliographie[modifier | modifier le code] Notes[modifier | modifier le code] Références[modifier | modifier le code] Annexes[modifier | modifier le code]
Des décorations et des archives Les soldats de la Grande Guerre et les civils ont été abondamment décorés pendant et après la Première Guerre mondiale. Des sites internet permettent de reconnaître les différentes décorations et de découvrir leur histoire, les critères d’attribution et leurs caractéristiques matérielles : Ordres, décorations et médailles (1914-1918) et France Phaleristique. En revanche, on sait moins que l’attribution de décorations a généré des archives, qui peuvent s’avérer très utiles pour les recherches familiales et historiques. Nous avons voulu identifier ces sources et nous en avons découvert la diversité et la richesse, dont nous essayons de rendre compte dans le présent article. Des décorations : pourquoi, pour qui ? Avant la guerre : Que ce soit par l’octroi d’une promotion au grade supérieur ou par l’attribution d’une marque distinctive, récompenser le soldat est aussi ancien que la guerre elle-même. Pendant et après la guerre : Quelles archives ? 1) Ordre national de la Légion d’honneur (1802) :
Jean Cassart Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Cassart. Le chanoine Jean Cassart, né le 17 juin 1908 à Anderlues et décédé à Tournai le 21 mai 1991, est un éminent généalogiste, président de la Société royale d'histoire et d'archéologie[1] de Tournai et conservateur du Trésor de la Cathédrale. Biographie[modifier | modifier le code] Extrait d'un hommage au chanoine Jean Cassart[modifier | modifier le code] Au sujet de sa dimension d'historien et de généalogiste : « Le goût du passé et des beaux-arts semble lui être venu dès son adolescence. Bibliographie[modifier | modifier le code] Liste non exhaustive[5] : Revue[modifier | modifier le code] Bona Spes. Voir aussi[modifier | modifier le code] Articles connexes[modifier | modifier le code] « Nommé professeur-titulaire de quatrième latine, il enseigne, pendant un an, la religion, le latin, le grec et le français. Liens externes[modifier | modifier le code] Notes et références[modifier | modifier le code]
Untold Stories of the First World War Photos, letters and other memorabilia It was the war that tore Europe apart – a struggle between the central powers of Germany, Austria-Hungary, Turkey and Bulgaria, against the allied powers of Britain, France, Belgium, Russia, Italy and the USA. No European nation was left untouched – even neutral states felt the impact of the war. Renowned historian and WW1 author Peter Englund said: “This important and imaginative project tells the other side of the story, from the point of view of a young soldier who signed up seeking adventure, to the family devastated by news that he was one of millions who would never return.
La Libre Belgique clandestine (1915-1918) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les fondateurs de la Libre Belgique clandestine, 1915-1918 La libre Belgique clandestine est un journal catholique et conservateur clandestin publié durant la Première Guerre mondiale. La Libre Belgique clandestine fut éditée de 1915 à 1918. Les trois fondateurs furent Victor Jourdain, son gendre, Eugène Van Doren (1875-1956) et l'Abbé de Moor qui fut délégué au front. Eugène Van Doren en sera le directeur en 1915 et 1916, Albert Leroux lui succédera (1916-1917) et enfin, l'abbé Van den Hout (1917-1918)[1],[2]. Au début de l'initiative, c'est Eugène Van Dooren et son épouse qui livrait personnellement les exemplaires de la Libre Belgique sous pli fermé ne mentionnant aucune coordonnée. Le journal continue son ascension et devint tellement populaire qu'il fallut bientôt envisager d'acquérir de nouvelles presses. En , l'étau allemand se ressère et les installation durent être évacuées en toute hâte.