Chiffres clés : le marché du Cloud Computing
Dec-2014 Le Cloud français d'abord du SaaS – D'après l'édition de décembre 2014 du CloudIndex de PAC, la maturité des entreprises françaises vis-à-vis du Cloud continue de se développer et l'adoption de ses solutions a même fait un bond en avant - du fait notamment de la sous-estimation préalable des usages réels. Elles sont ainsi désormais 55% à déclarer recourir à des solutions de Cloud, contre 29% en juin dernier. Les entreprises utilisent en priorité des applications en mode SaaS (54%). Mais le Cloud en France, ce n'est pas seulement des solutions. import… La quête d’agilité – Selon le CloudIndex, le "besoin en flexibilité et la volonté de réduire les coûts sont les principales raisons du passage au Cloud (66%), devant l’amélioration du time to market (60%) et le développement de produits, solutions ou démarches innovants (59%)" Autre Importa… virtuel L’importance de la proximité pour les utilisateurs est plus que tangible. « Le made in France s’applique aussi au Cloud !
Le cloud computing en chiffres [infographie]
Aujourd’hui, nous vous proposons une infographie réalisée pour Orange Cloud for Business, sur le sujet du IaaS (Infrastructure as a Service). Quelles sont les tendances du cloud computing aujourd’hui ? Quel est son chiffre d’affaires ? Combien pèse le IaaS à l’intérieur du total généré par le cloud computing ? Cloud (IaaS) : état des lieux 45 milliards d’euros de CA dans le monde dont 3,6 milliards d’euros dans l’IaaS. En France, le cloud représente 2,6 milliards d’euros, dont 702 millons d’euros dans le IaaS. Tendances 2015 de l’IaaS Compilation et sélection des tendances les plus importantes pour l’avenir du cloud computing d’infrastructure. 1- Les entreprises prennent conscience des avantages procurés par le cloud : en 2016, les dépenses cloud représenteront 12% du budget IT des entreprises, contre 3% en 2012. 2- La fusion cloud public – cloud privé : de cette fusion résulte un “cloud hybride” 4- Aux USA, IaaS et PaaS vont se rapprocher fortement. Yann Gourvennec pas de contenu similaire
Plus flexible, moins cher : le serverless est la prochaine étape du cloud
Les offres "sans serveur" permettent d'exécuter le code d'une application sans avoir à configurer les serveurs physiques ou machines virtuelles nécessaires. Ni les superviser ou les mettre à jour. Depuis trois ans, les offres "sans serveur" des grands noms du cloud connaissent un réel engouement. Comment résumer le principe de serverless ? Comme son nom l'indique, la notion de serverless (ou sans serveur) consiste à exécuter le code d'une application sans avoir à configurer les serveurs physiques ou machines virtuelles nécessaires, ni à les superviser, les mettre à jour ou les "patcher". L'exécution du code est lancée via ce qu'on appelle des "fonctions" en réponse à des événements. Pourquoi faut-il s'intéresser à ce concept ? Le serverless répond, de fait, à un certain nombre de problématiques du moment. L'adoption du serverless participe également à l'amélioration de la qualité du code. Quels sont les avantages du serverless ? Le serverless présente aussi un intérêt économique.
Le cloud public montera à 160 Md$ en 2018
En 2021, le marché mondial du cloud public devrait représenter 277 Md$. Illustration : D.R. Cette année, le montant des souscriptions aux services de cloud public devrait atteindre 160 Md$ dans le monde. La majeure partie de ces revenus proviendra encore du SaaS. Selon IDC, le marché mondial des services de cloud public va connaître une croissance annuelle moyenne de 21,9% jusqu'en 2021 et générera alors 277 Md$. L'accès aux applications représente la moitié du marché En termes de services consommés, c'est le SaaS qui captera la plus grande partie des dépenses des entreprises en matière de services de cloud public en 2018. Le marché chinois en très forte croissance Les Etats-Unis constitueront cette année encore le plus gros débouché pour les fournisseurs de services de cloud public qui y engrangeront 97 Md$.
Un mot de passe biométrique reposant sur le rythme cardiaque
Des chercheurs proposent d'utiliser l'électrocardiogramme (ECG) des patients comme clé de chiffrement pour protéger leurs données médicales. Des chercheurs de la Binghamton State University de New York envisagent d’utiliser les battements cardiaques comme une clé pour verrouiller les données médicales personnelles. Selon eux, il serait possible de chiffrer les dossiers de santé des patients en mesurant l'activité électrique du cœur. Le concept est le suivant : dans un avenir plus ou moins proche, tous les patients seront équipés d'un dispositif portable qui recueillera en permanence des données physiologiques qu’ils transmettront à leurs médecins. Le système réutiliserait simplement les données de l’électrocardiogramme des patients recueillies lors d’un diagnostic clinique antérieur pour effectuer une transmission cryptée. Cependant, cette technique présente aussi des inconvénients.
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