Justin Morrow: à la défense du français | Pierre Asselin En 2009, fraîchement diplômé de Laval, l'ex-demi défensif du R et O a créé Canadian Youth for French (CYF, consulter www.youthforfrench.ca), un organisme à but non lucratif dont le siège est ici même, à Québec, et qui vise à encourager les jeunes étudiants anglophones à venir étudier ou travailler en français, à ignorer les stéréotypes. Au départ, rien ne laissait présager un tel engagement chez cet athlète qui ne connaissait que deux langues : l'anglais et... le football. «Quand je suis arrivé à Québec, en 2006, je ne parlais pas un mot de français. Après chaque journée, quand je me couchais, j'étais K. Il n'oubliera jamais sa première partie avec le Rouge et Or, contre les Carabins de l'Université de Montréal, l'ambiance, les consignes d'avant-match, les cris des partisans, tout ça en français. Dès sa deuxième session à Laval, Justin décide de s'inscrire à deux cours d'administration, en français. Les deux complices finiront par la convaincre, heureusement. Le déclic L'appui de Molson
How I Finally Figured Out Collaborative Writing By Amber Rain Chandler I want to share some of what I’ve learned this year about having students work collaboratively on writing assignments (and how I graded them). But first I need to say this: When it comes to how we approach students’ learning, I’d like to suggest that the world of school is absolutely archaic compared to the “real world” of our students. It all fell into place for me when my son and husband were playing Super Mario Brothers on the Wii. As someone who came of age in the 80’s, my husband was reliving his childhood. To us, that is just how games work, but he wanted to know: Why go all the way back to the beginning and re-do the part you already know? This small moment has given me insight into this generation’s learning process in a way that nothing else has. Today’s students need to know how to find and obtain answers that keep them moving forward because they live in a world where information is not the currency, but the ability to use information is. Guess what.
Abolition d'un programme pour intéresser les jeunes à l'espace | PHILIPPE MERCURE | Astronomie et espace L'Agence spatiale a confirmé à La Presse que ce programme a été aboli «dans le cadre de la contribution de l'ASC aux efforts que le gouvernement déploie en vue de revenir à un budget équilibré». Le programme a engendré des coûts de 1,98 million de dollars en 2011-2012. Dans son budget 2012, le gouvernement Harper a exigé des économies annuelles de 29,5 millions à l'ASC dès 2014-2015. Le «programme d'apprentissage spatial» avait comme objectif «d'accroître la sensibilisation et la participation des jeunes Canadiens aux disciplines et aux activités liées à l'espace». Après les efforts déployés par l'astronaute Chris Hadfield pour y intéresser les jeunes au cours de sa récente mission, c'est donc dire que le programme officiel qui poursuivait la même vocation n'existe plus. L'ASC collabore notamment au projet d'École spatiale de l'Office national du film du Canada, un site web destiné à enseigner l'espace, les sciences, la technologie et le leadership aux enfants et aux professeurs.
Contre l’anglicisation de la didactique du français La semaine dernière, alors que je me trouve dans la salle des enseignants, la secrétaire de mon école vient porter une boîte sur la table commune. J’y jette un coup d’oeil et j’en conclus que cet envoi s’adresse au professeur d’anglais puisqu’il s’agit de guides d’enseignement écrit en cette langue. Quelques minutes plus tard, l’enseignante de première année entre dans la salle et m’apprend qu’il ne s’agit pas d’un matériel destiné à l’enseignement de l’anglais, mais plutôt d’une nouvelle méthode d’enseignement de l’écriture pour le cours de français. En apprenant cela, je suis un peu troublé. J’exprime ma surprise en posant à ma collègue la question suivante : « Vous n’allez tout de même pas enseigner le français de la 1re à la 6e année en vous basant sur une méthode écrite en anglais et même pas traduite en français pour ce qui est de son application pratique dans les classes ? Je suis ébahi ! Presque 50 ans plus tard, nous nous retrouvons devant le même problème.
Apprentissage Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L’apprentissage est un ensemble de mécanismes menant à l'acquisition de savoir-faire, de savoirs ou de connaissances. L'acteur de l'apprentissage est appelé apprenant. On peut opposer l'apprentissage à l'enseignement dont le but est de dispenser des connaissances et savoirs, l'acteur de l'enseignement étant l'enseignant. L'imitation est l'un des modes d'apprentissage fréquemment observé dans le monde animal. Ici un dauphin imite des postures humaines, ce qui demande des capacités cognitives et mémorielles significatives[1] Pour la psychologie inspirée du béhaviorisme, l’apprentissage est vu comme la mise en relation entre un évènement provoqué par l'extérieur (stimulus) et une réaction adéquate du sujet, qui cause un changement de comportement qui est persistant, mesurable, et spécifique ou permet à l’individu de formuler une nouvelle construction mentale ou réviser une construction mentale préalable. XXI c.
Connectivisme Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Sugata Mitra a mené une étude durant dix ans et démontre que les enfants sont capables d'apprendre (de coapprendre), seuls, sans professeur, c'est-à-dire par eux-mêmes avec un ordinateur, internet et/ou des supports de cours. Il conclut que l'éducation est un système qui s'auto-organise et où l'apprentissage est le phénomène émergent[2],[3]. Donald G. Perrin, directeur de rédaction à l'International Journal of Instructional Technology and Distance Learning dit de la théorie qu'elle « combine les éléments pertinents de nombreuses théories d'apprentissage, des réseaux sociaux et des technologies afin de créer une théorie solide pour l'apprentissage à l'ère numérique »[1]. Principes du connectivisme[modifier | modifier le code] Un aspect du connectivisme est l'utilisation d'un réseau composé de nœuds et de connexions comme métaphore centrale de l'apprentissage[7]. Principes essentiels[modifier | modifier le code] Sur les autres projets Wikimedia :
Des mots sur les mots | Nathalie Côté, collaboration spéciale | Santé Leur définition est toujours source de débats. Pour l'Association québécoise des troubles d'apprentissage (AQETA), ils touchent spécifiquement la lecture, l'écriture et les mathématiques. D'autres experts incluent également d'autres troubles ayant un impact négatif sur les apprentissages. Attention! Trouble relatif à l'apprentissage du calcul et à la capacité à manier les nombres. Trouble touchant l'apprentissage de la lecture. Il s'agit d'une difficulté à maintenir son attention. Altération de la capacité à exécuter des mouvements de façon automatique. Trouble lié à l'apprentissage de l'orthographe. Trouble qui touche l'expression et la compréhension du langage. Sources: Isabelle Boutin, orthopédagogue chez Parcours d'enfants, et le livre Dyslexie et autres maux d'école, de Marie-Claude Béliveau
Affiches du processus d'apprentissage et d'évaluation Le processus d'apprentissage et d'évaluation des programmes du domaine du développement professionnel : - Projet personnel d'orientation; - Exploration de la formation professionnelle; - Sensibilisation à l'entrepreneuriat. E-180 – Le « partagez au suivant » et le troc du savoir à l’ère du 2.0 Et si, le temps d'un café, vous pouviez avoir accès à un immense bassin de connaissances? Crédit photo : IS / iStock E-180 est en fait la contraction d’éducation et de 180 degrés. Le projet derrière cette plateforme sociale en développement : favoriser une rencontre entre une personne qui cherche à en apprendre sur un certain sujet et quelqu’un maîtrisant le sujet. Caroline Lavergne E-180 est un site de jumelage qui vous connecte à d’autres membres aux intérêts similaires aux vôtres afin de vous permettre d’apprendre de vos pairs, le temps d’un café. L’échange n’est nécessairement réciproque : peut-être offrez-vous aujourd’hui, peut-être demanderez-vous demain. Comment ça marche? À l’aide du tutoriel, vous vous créez un profil et y indiquez votre ville actuelle ainsi que les connaissances que vous pouvez offrir. Vous pouvez par la suite parcourir les profils des autres utilisateurs et faire des recherches afin de trouver des gens à rencontrer, selon vos besoins.
À l'université malgré des troubles d'apprentissage | Nathalie Côté | Santé Grâce à un dépistage précoce et à différents services, de plus en plus de jeunes ayant des troubles d'apprentissage persévèrent dans leurs études. Quelque 947 étudiants ont fréquenté l'université en 2011-2012 malgré leur dyslexie, leur dysorthographie ou leur dyscalculie. C'est 400 de plus qu'il y a 5 ans, selon l'Association québécoise interuniversitaire des conseillers aux étudiants en situation de handicap. «C'est clairement une clientèle en émergence», constate Nicolas Fortin, responsable du service de soutien aux étudiants en situation de handicap (SESH) de l'Université de Montréal. Le SESH peut prêter aux étudiants des ordinateurs munis de logiciels spécialisés pendant les examens. L'évaluation doit toutefois être réalisée dans le secteur privé et la facture grimpe à plus de 1000$, déplore Jean-Louis Tousignant, président du conseil d'administration de l'Association québécoise des troubles d'apprentissage. Un parcours difficile
Une passion au service de l'apprentissage scolaire | Baptiste Ricard-Châtelain En fait, la dizaine de membres de cette clique ne fuient pas les cours pour s'élancer sur les rampes. Ils se retrouvent plutôt en atelier pour fabriquer leur planche à roulettes, de A à Z. Ils ont même conçu le moule pour donner la forme aux multiples couches de bois collées. L'activité est pilotée par le Carrefour jeunesse-emploi Montmorency et Intègr'action jeunesse. Cette année, une douzaine de projets ont été mis en place avec des jeunes, surtout des ados de 14 ans à 17 ans, qui ont été ciblés par leurs professeurs. On pense qu'ils ont besoin d'un coup de pouce, d'un peu de motivation pour poursuivre leur parcours scolaire. «Ça me motive plus», confirme Jimmy Crites. À vos fourneaux D'autres préfèrent la cuisine. Pour Cedric Morency, Kevin Lamontagne, Nicolas Bolduc et Jason Lortie, âgés entre 14 et 17 ans, pas question de se plonger dans les fourneaux. Cette année, ils sont 200 ados de l'est de la capitale à participer aux différents projets.
untitled Texte de la pétition CONSIDÉRANT QUE la Charte de la langue québécoise protège la qualité de la langue française; CONSIDÉRANT QUE la Charte des droits et libertés du Québec, article 10, souligne que l’on doit pallier toute situation du handicap; CONSIDÉRANT QUE la science médicale a démontré que certaines déficiences telles que le trouble du langage, le TDAH ou la dyslexie demandent, pour pallier les situations du handicap lors de l’écriture de la langue française, l’utilisation d’aides techniques ou humaines; CONSIDÉRANT QUE plusieurs citoyens et citoyennes ayant une déficience se voient refuser ou retirer leurs moyens ou aides techniques pour pallier leur déficience sous prétexte qu’ils doivent démontrer une qualité de la langue française, ou parce que l’on ne veut pas remettre des diplômes au rabais, ou qu’il est faussement perçu que l’utilisation des moyens ou aides techniques est un privilège injuste pour les autres étudiants; La période de signature de la pétition est terminée.
Troubles d'apprentissage: une scolarité semée d'embûches | Nathalie Côté, collaboration spéciale | Santé En quatrième année, on lui a diagnostiqué un trouble du déficit d'attention. La médication a aidé, mais n'a pas tout réglé. L'année suivante, il a appris qu'il était aussi dyslexique et dysorthographique. Un peu plus de 3 % des enfants canadiens auraient un trouble d'apprentissage, selon Statistique Canada. Certains spécialistes avancent plutôt que de 10 % à 15 % en souffriraient. Cet écart s'explique notamment par des définitions différentes des troubles d'apprentissage. Quoi qu'il en soit, ces élèves - et leurs parents - vivent souvent la scolarité comme un véritable chemin de croix. Paradoxalement, les capacités intellectuelles élevées de certains jeunes sont un désavantage. Évolution des mentalités Mais les mentalités changent. De plus, les contraintes budgétaires ne sont plus une excuse pour éviter d'offrir des services à ces élèves, rappelle-t-il. Avec un bon soutien, des jeunes ayant un trouble d'apprentissage peuvent accéder à des études supérieures. Sur le marché du travail