L'évolution des habitudes d'achat des Français entre 2012 et 2013 Le commerce actuel est omniprésent, résultant de la multiplication des points d'achat mais aussi de l'évolution des comportements des consommateurs. Afin de continuer à comprendre ces changements, Ipsos a réalisé la seconde édition de l'étude Omniretail pour CA Com, au sujet de l'évolution des habitudes d'achat des Français entre 2012 et 2013. Florilège des principaux résultats de ce sondage, effectué auprès d'un échantillon de 1013 personnes, représentatives de la population française, âgées de 15 ans et plus, du 5 au 8 avril 2013. Les magasins physiques : toujours chouchous des français Les Français disposent aujourd'hui d'une multitude de points d'achat : les points d'achat physiques, les points d'achat web, les points d'achat mobiles, les points d'achat TV connectée, ainsi que les points d'achat drive. Les achats online gagnent du terrain 49% des Français (vs 44% en 2012) ont acheté un produit neuf ou d'occasion depuis un site internet en 2013. La tablette : nouveau canal d'achat
Le consommateur roi " Ce qui a changé au cours des trente dernières années, c'est le consommateur ", a lancé Marc Lolivier, délégué général de la Fevad. Un sentiment partagé par les intervenants de la table ronde du CMD intitulée " Rêve de marketing, marketing de rêve ". Marc Lolivier a exposé la règle des 3C - compétence, choix et communication - imposé par la révolution Internet : le consommateur est, aujourd'hui, un expert qui a accès à un choix considérable, 7 jours/7, 24 heures/24 et qui, grâce à Internet, a le pouvoir de s'exprimer et de donner son avis. Caroline Villecroze, directrice marketing et communication d'Adrexo a, ainsi, constaté que le consommateur est au centre de toutes les communications des marques : " Nous sommes passés du marketing produit au marketing client ". Quel avenir pour le marketing ? Daniel Kaplan est, cependant, convaincu que dans l'avenir, le marketing passera par le VRM (Vendor Relationship Management). Le concours des 30 ans du CMD Le palmarès :
Cinq idées reçues des Français sur l’innovation Clichés voire stéréotypes, que pensent nos compatriotes du « sacro-saint » phénomène de l’innovation ? La France en plein bouleversement est en phase d’assimilation d’une nouvelle société où les mentalités et les comportements sont sommés d’évoluer. Mediacom met en lumière des impressions qui doivent surtout être combattues et non démontrées... Le Français à la tête dure. Réfractaire à toutes formes de changements, il n’en reste pas moins curieux du lendemain. Le rapport soulève, entre autres, cinq idées reçues des Français sur l’innovation au travers de sa compréhension, son action et sa définition. Et pour enfoncer le clou, ils sont 55% à considérer que les innovations mises sur le marché sont pour la plupart des resucées améliorées des modèles existants. 5 idées reçues à transformer en commandements ? 1 - une cible unique appétante à l'innovation C’est le rêve de tout marketeur : une cible unique, précise, facile à atteindre, réceptive et qui n’attendrait que son offre.
Les médias sociaux, partie prenante du processus d'e-achat Les médias sociaux ont un impact considérable sur les processus d'achat en ligne lorsqu'ils s'ajoutent aux moteurs de recherche. La recherche en ligne et les médias sociaux sont désormais très imbriqués dans les processus d'achat sur Internet des consommateurs, révèle une étude menée conjointement par GroupM et Comscore aux Etats-Unis. 58 % des achats en ligne débutent sur un moteur de recherche, 24 % sur des sites de sociétés et 18 % sur des médias sociaux. Parmi les cyberacheteurs qui optent d'abord pour les moteurs de recherche, 40 % se tournent ensuite vers les médias sociaux pour les aider à prendre une décision. Globalement, 51 % des cyberacheteurs ayant in fine commandé en ligne n'ont eu recours qu'aux moteurs de recherche, 48 % se sont appuyés à la fois sur les moteurs et sur les médias sociaux, mais seuls 1 % n'utilisent que les médias sociaux avant d'acheter en ligne.
Les Français jugent les marques de plus en plus intrusives La "privacy" en danger ! 78 % des consommateurs interrogés par l'agence Publicis ETO et le cabinet Toluna se disent dérangés par le fait que des informations de leur vie privée soient collectées et enregistrées dans une base de données. Selon la 5e édition du baromètre, le niveau perçu d'intrusion des marques serait en forte hausse : le pourcentage d'individus pour qui ce niveau paraît élevé a ainsi augmenté de 41 à 61 %. "Les marques doivent plus que jamais être transparentes avec leurs consommateurs et mettre en place des chartes déontologiques de respect de la vie privée", conseille Publicis ETO. La vision de marques "Big brother" demeure vivace. Ambivalents, les consommateurs sont néanmoins prêts à partager certaines informations personnelles en échange de services associés à leurs achats (33,8 %), d'offres de réduction (32,5 %), d'invitations à des événements privés, de cadeaux ou d'avantages divers. Méthodologie : 5e édition du baromètre de l'intrusion. 1 026 répondants.
10 effets positifs d’une vraie stratégie Social Media sur un site eCommerce Les réseaux sociaux sont encore fortement assimilés au community management; pourtant, pour un site eCommerce, les possibilités vont bien au-delà de la diffusion de contenu ou de l’organisation d’un jeu viral. Une stratégie Social Media peut s’appliquer directement au sein d’un site eCommerce et avoir de réelles répercussions positives sur le nombre de visites, d’inscrits, les ventes, … Dans cet article, je partage avec vous 10 raisons d’intégrer les réseaux sociaux au sein même de votre site de vente en ligne, chacune avec un objectif concret. 1. Augmenter le taux d’inscription En moyenne, 2% des visiteurs d’un site eCommerce passent une commande. L’intégration de “Facebook Login” s’inscrit dans cette logique d’augmentation du taux d’inscription. 2. 70% des paniers commencés sont abandonnés par les internautes. 3. Chaque partage est une source gratuite de visibilité et de trafic. 4. 5. 6. Il est important que l’internaute conserve la maîtrise de ces publications. 7. 8. 9. 10. Conclusion
Les 5 sens au service de l'expérience client Selon une étude menée par Bain and Company, 80% des marques pensent délivrer une expérience mémorable à leurs clients, quand seuls 8% de ces derniers, ont cette perception. C'est justement sur les émotions des clients que l'Académie du Service souhaite s'attarder, en les plaçant constamment au coeur de toutes leurs démarches. Cela passe par l'exploitation des 5 sens, pour une satisfaction client optimale. " L'approche par les sens nous a toujours inspirée ", explique Jean-Jacques Gressier, PDG de l'Académie du Service. " Les 5 sens parlent et captent la réalité du monde, et ils participent de l'expérience du client." Recourir aux 5 sens pour enrichir l'expérience client est devenu incontournable pour certaines enseignes. Que ce soit Lush, Renault, ou Nespresso, elles ont toutes décidé de transformer l'expérience client traditionnelle en expérience client "poly sensorielle". Chez Lush, enseigne de cosmétiques faites maison, la vue et l'odorat sont constamment sollicités.
Comment prenons-nous nos décisions ? Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Hubert Guillaud Comment prenons-nous des décisions morales ou éthiques ? Dans l’idéal, nous devrions les prendre uniquement sur les faits… Nous en sommes loin, rappelle Jonah Lehrer dans Wired, l’auteur de Faire le bon choix : comment notre cerveau prend des décisions. Jonathan Haidt, l’auteur de L’hypothèse du bonheur, psychologue à l’université de Virginie, est connu pour avoir soutenu que nos jugements moraux sont comme des jugements esthétiques. Quand vous êtes face à un tableau, vous savez généralement instantanément et automatiquement si vous l’aimez. Ed Yong, qui tient le blog Not Exactly Rocket Science pour Discover Magazine a mis à jour une passionnante étude issue des Actes de l’Académie nationale des sciences américaine qui observe le processus mental à l’oeuvre dans les décisions des juges concernant des affaires de libération conditionnelle. Les jugements moraux sont donc facilement influencés. Mais ce n’est pas si vrai.
[Étude] Le shopper omnicanal est-il une réalité? À l'heure où l'omnicanalité du parcours client ne fait plus de doute pour les professionnels de la distribution, la situation semble plus nuancée pour les consommateurs. En effet, 61% d'entre eux se disent principalement monocanaux (principalement des familles). À noter, 39% des shoppers demeurent attachés au point de vente physique et à un mode d'achat traditionnel. L'étude menée par Efficient Consumer Response France et l'agence de conseil marketing Kinali fait par ailleurs apparaître un deuxième type de consommateurs (36% du total des personnes interrogées): ils recherchent un produit en magasin, ne le trouvent pas et se voient contraints de l'acheter via Internet. Le mixage des circuits (glanage d'informations sur le Web puis achat ou retrait en magasin) est généralement réservé aux produits de valeur et ne concerne pas les courses de consommation courante. L'étude ECR France-Kinali met en lumière sept profils de consommateurs:
Performance web des principaux sites d'e-commerce en France : état des lieux Dans le Top 300 des sites web les plus visités en France, seulement 22 % des sites e-commerce se chargent en moins de 3 secondes. Qui sont les bons et les mauvais élèves ? Présentation des données et analyse. Entre 2012 et 2013 la connexion Internet moyenne des français s'est améliorée de 9,7 % en un an. Pendant ce temps les sites Internet se sont alourdis de 32 %. En 2009, Amazon avait perdu 1 % de son chiffre d'affaires pour 100ms de temps de chargement supplémentaire. L'éditeur du service www.dareboost.com fait son état des lieux du e-commerce en France en avril 2014. Un temps de chargement moyen de 5,2 secondes Les sites e-commerce les plus visités par les français, classés par temps de chargement : Quelques chiffres pour aller plus loin Environ 20 % de ces sites comportent au moins une ressource (une image par exemple) en erreur (parmi lesquels environ 40% avec la fameuse erreur 404). Plus de 67 % des contenus sont des images
Les consommateurs mitigés quant à la digitalisation des points de vente | L'A... Ecrans numériques, casques de réalité virtuelle, hologrammes… Les dispositifs numériques en magasin se multiplient. Qu’en pensent les Français ? C’est ce que révèle l’étude réalisée par Keley consulting. 20% des personnes interrogées considèrent que les dispositifs numériques seraient utiles en banques et assurances contre 64% pour les grandes surfaces.Tous les secteurs ne sont donc pas impactés de la même manière. Les clients, en revanche, sont tous confrontés de manière croissante à la digitalisation des points de vente. D’après cette étude intitulée “Digital in store”, les clients en magasin utilisent principalement les écrans numériques interactifs (comme les vitrines connectées Think & Go) et les lecteurs de codes-barres pour paiement automatique. Source : Keley Consulting Pour les consommateurs, les dispositifs numériques en magasin permettent surtout de payer plus rapidement et de se renseigner sur un produit (pour 53% d’entre eux) .