« Voyages en résistances » webdoc et jeux sérieux Voyages en résistances Revivez la période d'occupation de novembre 1942 à la libération À mi-chemin entre webdoc et jeux sérieux, cette œuvre vous propose d’épouser les traits d’un résistant lyonnais, en pleine période d’occupation allemande lors de la Seconde guerre mondiale. La partie serious game de l’expérience est proposée à un nombre restreint d’utilisateurs (Lyon et alentour), la partie documentaire historique est accessible à tous. Vous avez donc accès à des flashs info, des messages originaux diffusés sur la BBC Téléchargez sur votre smartphone l'application gratuite "Voyages en résistances" Participez à un documentaire interactif vous immergeant dans la période d'occupation de Lyon par les nazis entre 1942 et 1944. Les utilisateurs de l’application smartphone créent ainsi un personnage à qui sera proposé des missions que les résistants effectuaient. Entre le 11 novembre 2012 et les 4 septembre 2014 Le site Web :
Qui a dénoncé Jean Moulin ? Histoire@Politique n°24 : Le dossier : Introduction Le dossier Coordination : Claire Andrieu Étrange destin que celui du programme du Conseil national de la Résistance française. Objet d’un consensus quasi unanime de 1944 à 1946, il est aujourd’hui au cœur du dissensus portant sur les principes de la bonne économie. L’autre sujet d’étonnement vient de la médiatisation dont le programme du CNR fait actuellement l’objet en France et dans le monde. À l’occasion du 70e anniversaire de la signature du programme dans la clandestinité, le 15 mars 1944, et dans le cadre de la commémoration nationale de la Libération, il a paru intéressant de mettre en perspective le programme du CNR, de façon à enrichir le savoir académique le concernant. Le programme du CNR mérite aussi d’être examiné à l’aune de l’analyse alors prévalente de l’économie, à l’échelle non seulement européenne mais mondiale. Les articles qui suivent s’inscrivent dans ce questionnement. L’un des effets de la comparaison est la relativisation. Pour citer cet article :
Tracts et papillons clandestins de la Résistance, Papiers de l'urgence - Éditions Artulis Olivier Wieviorka : « La part des femmes dans la Résistance a été longtemps négligée » À l’initiative de François Hollande, quatre figures illustres de la Seconde Guerre mondiale feront mercredi 27 mai leur entrée au Panthéon à l’occasion de la journée nationale de la Résistance : Germaine Tillion, Geneviève de Gaulle-Anthonioz, Pierre Brossolette et Jean Zay. L’occasion pour le chef de l’État, qui présidera les cérémonies, de prononcer un discours annoncé comme important par son entourage sur les valeurs de la Résistance et la Shoah. > Relire : Quatre résistants en lice pour entrer au Panthéon Temple républicain sur le fronton duquel figure la devise : « Aux grands hommes la patrie reconnaissante », le Panthéon n’accueillait jusqu’ici que 2 femmes sur 71 personnalités, la physicienne Marie Curie, prix Nobel de physique puis de chimie, et Sophie Berthelot, en qualité d’épouse du chimiste Marcellin Berthelot. Quelle place occupe la Résistance dans la mémoire nationale ? Olivier Wieviorka : La Résistance a bénéficié d’un traitement ambivalent dans la mémoire nationale. O.
"Paris outragée, Paris brisée, Paris martyrisée ! Mais Paris libérée !" - Dossier Bienvenue ! {* welcomeName *} {* loginWidget *} Bienvenue ! {* #signInForm *} {* signInEmailAddress *} {* currentPassword *} {* /signInForm *} Votre compte a été désactivé Vous devez vérifier votre adresse email pour finaliser votre inscription. {* #resendVerificationForm *} {* signInEmailAddress *}{* /resendVerificationForm *} Merci de confirmer les informations ci-dessous avant de vous connecter {* #socialRegistrationForm *} {* firstName *} {* lastName *} {* emailAddress *} {* displayName *} {* phone *} {* addressCity *} {* addressCountry *} En cliquant sur "Créer un compte", vous confirmez que vous acceptez nos conditions générales et que vous avez lu et approuvé la politique de protection de données personnelles.{* /socialRegistrationForm *} Merci de confirmer les informations ci-dessous avant de vous connecter Nous vous avons envoyé un email de confirmation à l'adresse suivante {* emailAddressData *}. Nous vous enverrons un lien pour créer un nouveau mot de passe {| moreInfoText |}
Oradour, la mémoire en ruines En présence du dernier survivant, Robert Hébras, et d'enfants venus assister à la cérémonie, le Président a déclaré que "les ruines d'Oradour ne font pas rempart contre cette barbarie". Déjà, en avril, en pleine campagne présidentielle, Emmanuel Macron se présentait à Oradour-sur-Glane. Il était fortement critiqué sur les réseaux sociaux : on lui reprochait l'utilisation démagogique de ce drame pour se donner une belle image. Il avait trouvé cette façon de contrer Marine Le Pen qui venait de déclarer que la France n'était pour rien dans la rafle du Vel d'Hiv, exécutée pourtant par la police française au profit des Nazis. S'il prononça cette phrase banale, ressassée ("oublier ou décider de ne pas se souvenir c'est prendre le risque de répéter l'histoire et les erreurs"), il ajouta étrangement, en un tel lieu, que ce qui lui importait c'était le "nouveau village d'Oradour-sur-Glane". Plusieurs officiers dont le commandant du régiment ont été tués lors des combats de Normandie. Lidice .
Fondation de la france libre VIDEOS. Le Chant des Partisans a 70 ans: 5 choses à savoir La première version du Chant des Partisans était écrite en russe À l'origine, c'est Anna Marly -une guitariste d'origine russe, réfugiée à Londres pour fuir l'invasion de la France par le régime nazi d'Hitler- qui compose la musique du Chant des Partisans, en 1942. Dans sa première version, l'hymne des résistants s'appelle Le Chant de la Libération et les paroles sont en russe, parfois précédé d'une traduction lorsqu'Anna Marly le chante à la BBC. Une mélodie sifflée pour passer outre le brouillage allemand et se reconnaître dans le maquis Le refrain du Chant des Partisans a, au début, été sifflé par hasard, par "réflexe". "Je sifflais (Le Chant des Partisans, ndlr) d'abord parce que lorsque vous jouez de la guitare, le réflexe normal est de siffloter (...) j'ai donc sifflé le refrain (à la radio) et on a découvert que c'était justement l'air qui traversait le brouillage ennemi", explique Anna Marly lors d'une interview en 1964 (voir ci-dessous). Un chant de résistance international
"Le chant des Partisans", hymne éternel de la Résistance Reportage : I.Baechler / F.Bazille / L.Ledu / P.Gramain "Ami, entends-tu le vol noir des corbeaux sur nos plaines ? Ami, entends-tu les cris sourds du pays qu'on enchaîne ?" C'est ainsi que débute le Chant des Partisans. Écrit au printemps 1943 par Joseph Kessel et son neveu Maurice Druon alors réfugiés à Londres, ce texte est depuis devenu l'hymne de la Résistance, de toutes les résistances. C'est la musicienne d'origine russe Anna Marly (1917-2006) qui le compose en 1941. Très vite, il sert de générique aux émissions de La France Libre. Un chant de nombreuses fois repris Depuis, ils sont nombreux à avoir interprété le "Chant des Partisans". Le texte original du Chant des Partisans est conservé au Musée de la Légion d'Honneur, 2 rue de la Légion d'Honneur, 75007 Paris.
L’affiche rouge Vidéo L’affiche rouge Contexte historique Une opération de propagande d’envergure Constitué et organisé entre la fin de l’année 1942 et février 1943, le réseau Manouchian fait partie du groupe de résistance des « Francs-tireurs et partisans – main-d’œuvre immigrée » (F.T.P. Arrêtés en novembre 1943, ses membres sont jugés lors d’un procès qui se déroule devant le tribunal militaire allemand du Grand-Paris, du 17 au 21 février 1944. Réalisée par les services de propagande allemands en France, « Des libérateurs ? Analyse des images L’armée du crime L’image est organisée en trois parties. Six photos (attentats, armes ou destructions) représentent enfin la menace qu’ils constituent à travers certains des attentats qui leur sont reprochés. Interprétation L’ennemi de l’intérieur « L’affiche rouge » entend d’abord présenter les membres du réseau Manouchian comme de dangereux terroristes. L’image insiste aussi sur le fait que cette « armée du crime » est constituée d’étrangers. Bibliographie Liens
« Strophes pour se souvenir » de Louis Aragon : Pistes pédagogiques - Poètes en résistance - Centre National de Documentation Pédagogique Louis Aragon, « Strophes pour se souvenir » Pistes pédagogiques En 1955, à l’occasion de l’inauguration d’une rue « Groupe Manouchian » à Paris, Louis Aragon écrit le poème « Strophes pour se souvenir », dans lequel il rend hommage à ces résistants « étrangers » arrêtés par les Allemands et fusillés le 21 février 1944. Onze ans après la fin du conflit, l’heure n’est plus à la lutte mais au devoir de mémoire. Un hommage funèbre Le poème s’inscrit d’emblée dans une démarche de mémoire et d’hommage. L’éloge des résistants Caractère désintéressé de leur action. On apportera quelques précisions historiques. Guerre 1939 – 1945. L’affiche de la honte La deuxième strophe fait ouvertement référence à l’affiche rouge, placardée de manière massive par les Allemands au moment de l’exécution. Noirs de barbe et de nuit hirsutes menaçants ». Le souffle d’un style épique De l’ombre à la lumière : une ode à la vie Une construction originale Un jeu d’oppositions permanent entre l’ombre et la lumière