Violences conjugales : « J'ai failli tuer mon ex-femme », Frédéric Matwies Alors que la journée contre les violences faites aux femmes incite les victimes à parler, un ex-mari violent publie son propre témoignage, confession sans tabou après dix années de coups sur la mère de ses filles. Dans « Il y avait un monstre en moi » (éditions Michalon), Frédéric Matwies, 41 ans, raconte le calvaire de Sabrina, et le sien, mais surtout la rédemption possible par la thérapie de groupe. Journée internationale contre les violences faites aux femmes « J'ai failli tuer mon ex-femme, Sabrina ». C'est la réponse que donne Frédéric Matwies lorsqu’on lui demande pourquoi il a écrit ce livre au titre assez explicite : « Il y avait un monstre en moi » (paru aux éditions Michalon). Quand la violence devient un rituel« Qu’est-ce que la violence conjugale ? Huit ans après sa garde à vue, Frédéric vit avec ses filles, dont il a obtenu la garde exclusive. Frédéric Matwies, « Il y avait un monstre en moi », éditions Michalon, 17 euros.
The Problem with 'Boys Will Be Boys' This post was originally published in Role/Reboot. For months, every morning when my daughter was in preschool, I watched her construct an elaborate castle out of blocks, colorful plastic discs, bits of rope, ribbons and feathers, only to have the same little boy gleefully destroy it within seconds of its completion. It was obvious that this little guy got massive joy out of doing this. The first time, my daughter just stared in amazement and I tried to help her rebuild. Second time: sadness. Third time: The Injustice! During the course of this socialization exercise, we tried several strategies and his parents engaged in conversation with us, but mostly me. “You know! “He’s just going through a phase!” “He’s such a boy! “Oh my god! “He. No matter how many times he did it, they never swooped in BEFORE the morning’s live 3-D reenactment of “Invasion of AstroMonster.” I tried to teach my daughter how to stop this from happening. She built a beautiful, glittery castle in a public space.
Virilité et violence « Le privilège masculin est aussi un piège et il trouve sa contrepartie dans la tension et la contention permanentes, parfois poussées à l’absurde, qu’impose à chaque homme le devoir d’affirmer en toute circonstance sa virilité. »Pierre Bourdieu 1 Une virilité précaire Force, agressivité et stoïcisme : voici un homme viril Dans de très nombreuses cultures, la virilité, contrairement à la féminité, est perçue non comme quelque chose d’inné, mais comme un statut social, prestigieux, qui s’acquiert2,3,4,5. Cela est sans doute à mettre en relation avec le patriarcat6 : la virilité est un statut social « supérieur », un honneur, permettant à l’homme de réellement se distinguer de la femme. De ce fait, cela explique pourquoi les jeunes garçons adoptant des comportements dits féminins sont jugés très négativement, bien plus qu’une fille adoptant un comportement traditionnellement masculin7,8. Les caractéristiques de la virilité sont assez constantes d’une culture à une autre. Conclusion Références
Three Ways Straight Dudes Can Help End Street Harassment Almost every woman knows why strangers hooting and hollering at people on the street is a problem. More than 80 percent of women experience gender-based street harassment: unwanted sexual comments, demands for a smile, leering, whistling, following, and groping. Many men do, too, especially in the queer community. This week is International Anti-Street Harassment Week—a perfect opportunity to engage people who may not otherwise be aware that this is a widespread problem, especially straight men. Here are three ideas—and resources—for ways straight dudes can be street harassment allies. 1. Most guys who aren't perceived as gay or feminine have no idea how often gender-based street harassment occurs. Guys and straight folks, it's your job to ask people you care about what they've experienced. When I first became an activist on this issue, I made a point of telling my male partner each time I was harassed and how it made me feel. 2. 3.
Youth Can Prevent Violence Against Women & Girls Re-posted with permission from the Battered Women’s Support Services Ending Violence blog. 1. Use Social Media-Social media has an empowering effect send articles, with the click of a button, you can spread the word. Youth do not need the mainstream media to voice their views! 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. 9. 10. 11. 12. 13. 14. 15. 16. 17. 18. 19. 20. Remember gender violence is not an individual issue- We all have a role in ending violence against girls and women and it is important that we all take responsibility in ending the violence. During Prevention of Violence Against Women Week we will engage our online community in violence prevention by remembering we all have a role to play in preventing violence against girls and women as individuals, in our relationships, in our community and in society. For more information about “It’s in Your Hands”, please visit: Preventing Violence Against Women – It’s In Your hands Gender Violence in the Workplace Battered Women's Support Services
Pourquoi ne parlerions nous pas de violence et de masculinité ? "Considérez votre carte d'identité masculine comme renouvelée" Affiche publicitaire pour le fusil automatique utilisé par Adam Lanza dans la tuerie de Sandy Hook, Newtown, Connecticut, décembre 2012. « La culture des armes aux États-Unis est on ne peut plus étroitement liée à la masculinité, mais cela demeure non dit » « Qu’est-ce qu’un sociopathe ? C’est une personne qui manque d’empathie »« La sociopathie est la manifestation extrême de la façon dont notre société socialise les garçons". Jackson Katz Sociologue Citations extraites de "Et les hommes, eux ? Propos sur la masculinité et les tueries de masse" de Megan Murphy Vous avez vu et entendu, rapportés jusqu'à la nausée, dans vos medias habituels les reportages sur la tuerie de l'école maternelle Sandy Hook de Newtown, Connecticut, ce mois de décembre. Les armes ne sont pas aussi répandues en France qu'aux USA, et pour l'instant, il ne peut pas y avoir de tueries de masse d'une telle ampleur.
Why Won’t We Talk About Violence and Masculinity in America? As I listened along with the rest of the world to the unfolding horror of what transpired at Sandy Hook Elementary School, I was struck by the persistent lack of commentary and analysis discussing the fact that mass shooters are almost all angry, male and white. What will it take for us to have widespread, open, public dialogue about gender and violence in this country? About masculinity and identity? These are among the “hard questions” we’re inclined to ignore. This is the wrong question. This tragedy happened and will continue to happen because too many guns are readily available in a culture that is optimized for their tragic use, most often by unstable boys brought up to define themselves as men through violence, and taught from birth to expect control. Lanza’s mother’s guns, all properly licensed, were among the 270 million guns that can be found in the U.S. today. Lanza was one man among many. But distributing power equitably is important.
Qui sont les délinquants sexuels et pourquoi le sont-ils devenus ? | Crifip La question de savoir qui sont les délinquants sexuels est une question éminemment délicate. D’une part, elle renvoie à un souhait latent de les identifier et de les neutraliser a priori et, d’autre part, elle s’avère insoluble vu qu’il n’existe aucun consensus dans la doctrine sur les caractéristiques sociales, biographiques et psychologiques qui seraient propres aux délinquants sexuels. Les psychiatres, les psychologues et les criminologues tentent régulièrement de construire des typologies, des classifications homogènes des différents types d’abuseurs mais aucune ne fait vraiment l’unanimité. Par ailleurs, l’analyse est encore plus difficile pour les adolescents abuseurs car les faits se mélangent à l’étape de la puberté. Sur la base de sa longue expérience, le professeur J. A. B. Une petite minorité d’auteurs d’abus sont des gens psychiquement normaux. C. La nature de l’acte qu’ils veulent commettre : une caresse n’est en principe pas aussi traumatisante qu’un viol avec violence.
nos abus sexuels… | Egalitariste Certains hommes jouent fort bien de leur situation de dominants et méprisent consciemment des femmes en les utilisant/abusant sans scrupules. Ils sont nombreux, mais ils ne sont sans doute pas la majorité. Je veux plutôt m’adresser à ceux qui comme moi gardent le sentiment d’être de bonne volonté, mais ont intégré beaucoup de schémas de notre société patriarcale et ne se rendent pas toujours bien compte : qui outrepassent les limites des femmes « sans le vouloir vraiment »… si tant est qu’une véritable bonne foi soit possible en situation de domination. Car on a aussi appris à abuser plus ou moins consciemment des situations d’autorité ou de pouvoir. De fait, la façon dont nous sommes élevés, garçons et filles, nous rend aisé, à nous hommes, de provoquer ces situations d’abus… Nous sommes soumis à de nombreuses injonctions différentes suivant les sexes, ainsi qu’à des modèles distincts auxquels on est tenus d’adhérer et qu’on reprend le plus souvent sans nous en rendre compte.
Quand la violence se dit ouvertement Ce matin, je suis tombée sur cet article. Hallucinant ! Un homme sur quatre en Asie reconnaît avoir déjà commis (au moins) un viol, en général sur sa partenaire, plus d’un sur deux reconnaît être violent avec les femmes (jusqu’à 80% en Papouasie Nouvelle Guinée). C’est une étude effectuée par l’ONU auprès de 10.000 hommes. Mais je vous arrête tout de suite. Il ne s’agit pas ici de montrer du doigt un continent en particulier. En effet, je crois c’est que parce que l’ONU s’est donné les moyens de faire un vrai travail d’étude et de recherche dans cette partie du monde, qu’on parvient à de vrais résultats sur la réalité, opposables au déni généralisé. A ce propos je voudrais livrer une courte réflexion sur le déni et le mensonge. C’est une caractéristique des sociétés qui en adjoignant la "démocratie capitaliste" au patriarcat assurent leur impunité par la culture du mensonge (la "publicité"). 59% pour s’amuser ("entertainment") ! Like this: J'aime chargement…