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Les comportements d'achat du nouveau consommateur, un défi pour les marques

Les comportements d'achat du nouveau consommateur, un défi pour les marques
Les fondements de cette nouvelle ère ? Un consommateur malin, éduqué, dont le parcours d’achat commence souvent en ligne, pour finir dans un magasin physique. Un consommateur qui, avant d’accéder au produit, synchronisera sa réflexion sur du multi-device : PC, Mobile, Tablette, médias classiques, articles de presse, bouche à oreille… avis consommateurs. Un nuage de sources qu’il maîtrise, lui rendant clair cette dimension multicanal, et….opaque pour le marqueteur.Ainsi, en dépit de ces faits, le consommateur s’est retrouvé en périphérie des réflexions marketing des marques, dont les efforts se sont concentrés sur les stratégies produits «push» on-line. Les mentalités sont pourtant en train de changer.La vérité est bien dans la création de valeur ajoutée entre le on-line & le off-line : l’ère est aujourd’hui à une combinaison habile du «click», et du «mortar»... Nouveaux comportements d’achat =Multiplicité de points de contact L’acheteur privilégie encore les achats en boutique

[Étude] Le shopper omnicanal est-il une réalité? À l'heure où l'omnicanalité du parcours client ne fait plus de doute pour les professionnels de la distribution, la situation semble plus nuancée pour les consommateurs. En effet, 61% d'entre eux se disent principalement monocanaux (principalement des familles). À noter, 39% des shoppers demeurent attachés au point de vente physique et à un mode d'achat traditionnel. L'étude menée par Efficient Consumer Response France et l'agence de conseil marketing Kinali fait par ailleurs apparaître un deuxième type de consommateurs (36% du total des personnes interrogées): ils recherchent un produit en magasin, ne le trouvent pas et se voient contraints de l'acheter via Internet. Le mixage des circuits (glanage d'informations sur le Web puis achat ou retrait en magasin) est généralement réservé aux produits de valeur et ne concerne pas les courses de consommation courante. L'étude ECR France-Kinali met en lumière sept profils de consommateurs:

Vers une consommation sur mesure Le dernier observatoire des tendances émergeantes d'Ipsos, Trend Observer 2010-2011 (*), dresse un constat intéressant sur l'évolution des modes de consommation des Français depuis la crise économique. Mieux consommer, c'est moins consommer, uniquement en fonction de ses besoins. Les Français semblent être entré dans l'ère de la consommation ajustée. En effet, 71% d'entre eux se sentent coupables à l'idée de gaspiller des produits achetés. À savoir ajuster le prix, les produits et l'espace aux besoins. Ensuite, ajuster les produits à cette tendance de la personnalisation. Enfin, ajuster l'espace grâce à la géolocalisation et aux téléphones intelligents. Dans cette course à l'optimisation, Rémy Oudghiri, directeur du département corporate & tendances Ipsos public Affairs, met en garde contre «le risque de disparition du flou et de l'imprévu». (*) Chaque année depuis 1997, Trend Observer détecte et hiérarchise les tendances qui vont se développer dans le futur.

Les Français jugent les marques de plus en plus intrusives La "privacy" en danger ! 78 % des consommateurs interrogés par l'agence Publicis ETO et le cabinet Toluna se disent dérangés par le fait que des informations de leur vie privée soient collectées et enregistrées dans une base de données. Selon la 5e édition du baromètre, le niveau perçu d'intrusion des marques serait en forte hausse : le pourcentage d'individus pour qui ce niveau paraît élevé a ainsi augmenté de 41 à 61 %. "Les marques doivent plus que jamais être transparentes avec leurs consommateurs et mettre en place des chartes déontologiques de respect de la vie privée", conseille Publicis ETO. La vision de marques "Big brother" demeure vivace. Pour preuve, près de la moitié des interrogés ne souhaitent absolument pas que les marques connaissent leur position géographique ou leur historique de navigation Web, en dehors de l'écosystème de la marque. Méthodologie : 5e édition du baromètre de l'intrusion. 1 026 répondants.

L'évolution des habitudes d'achat des Français entre 2012 et 2013 Le commerce actuel est omniprésent, résultant de la multiplication des points d'achat mais aussi de l'évolution des comportements des consommateurs. Afin de continuer à comprendre ces changements, Ipsos a réalisé la seconde édition de l'étude Omniretail pour CA Com, au sujet de l'évolution des habitudes d'achat des Français entre 2012 et 2013. Florilège des principaux résultats de ce sondage, effectué auprès d'un échantillon de 1013 personnes, représentatives de la population française, âgées de 15 ans et plus, du 5 au 8 avril 2013. Les magasins physiques : toujours chouchous des français Les Français disposent aujourd'hui d'une multitude de points d'achat : les points d'achat physiques, les points d'achat web, les points d'achat mobiles, les points d'achat TV connectée, ainsi que les points d'achat drive. Les achats online gagnent du terrain 49% des Français (vs 44% en 2012) ont acheté un produit neuf ou d'occasion depuis un site internet en 2013. La tablette : nouveau canal d'achat

L’achat groupé, le mode d’achat en vogue L’achat groupé, existe depuis bien longtemps. Les musées, les visites guidées mais surtout les agences de voyages ont été à la tête de cette idée novatrice. Avec l’arrivée d’Internet et la situation économie du monde actuel, ce marché est en pleine expansion et ne se limite plus à des besoins de divertissement. En effet tous les bons plans sont bons pour faire des économies, tout en profitant au maximum de la vie. Ce qui fait bien entendu le beurre des commerçants et des entreprises qui voient là un moyen de générer plus de ventes. Les avantages de l’achat groupé Depuis les développements des réseaux sociaux, le marché de l’achat groupé a été grandement facilité. Les entrepreneurs et les commerçants ne sont pas en reste. Les inconvénients de l’achat groupé Et oui comme pour tout concept, il y a le revers de la médaille. En effet, il n’est pas rare que le commerçant et le site d’achat groupé gonflent le prix d’origine pour proposer ensuite une réduction importante.

Tendances : de la frénésie de consommation à la résignation Le Marketing Book 2012 de TNS Sofres, passé au format 100% numérique en septembre dernier, s'enrichit aujourd'hui d'un nouveau chapitre dédié aux tendances transversales émergentes, ces comportements en devenir, qui pourraient transformer profondément la consommation des Français demain. Au-delà des " grands classiques " que sont devenus la naturalité, le plaisir, la praticité, auxquels les marques se réfèrent depuis une vingtaine d'années, pour concevoir et promouvoir leurs offres, les experts du Marketing Book dégagent aujourd'hui, quatre grands courants, qui se sont fait jour : jouissance, sécurité, responsabilité et rébellion. En les mettant en regard de l'offre des marques, ils décryptent les profils de consommateurs associés, leurs comportements et leurs attentes. " Les jouisseurs " : Selon la typologie Marketing Book, ils représentent un petit tiers des Français (30%). Les " Désirs de conso " sont au coeur de leurs choix. Marketing Book 2012 - Editeur TNS Sofres

Crise : le comportement des consommateurs a changé depuis 2008 En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies pour vous permettre de partager du contenu via les boutons de partage de réseaux sociaux, pour vous proposer des publicités ciblées adaptées à vos centres d'intérêts et pour nous permettre de mesurer l'audience. Pour en savoir plus et paramétrer les cookies Crise : le comportement des consommateurs a changé depuis 2008 Dans un grand nombre de foyers, la crise a eu un impact sur le mode de consommation et sur le rapport avec l'argent. Franceinfo Mis à jour le , publié le La crise financière de 2008 a modifié le regard des Français sur leur richesse. Faire des choix La crise a également modifié le comportement des consommateurs. Le JT

Achat en ligne : votre avis compte é-NORME-ment ! 9 Français sur 10 consultent les avis des consommateurs sur Internet avant de procéder à un achat, pourtant 3 français sur 4 se méfient des avis en ligne. Pourquoi cette contradiction ? L’objectif des entreprises qui publient des avis de consommateur est de rassurer les consommateurs, qui peuvent être frileux pour l’achat de biens et services sur Internet. L’influence positive des avis de consommateurs étant démontrée par de nombreuses études, certaines dérives ont émergé afin de stimuler les achats sur Internet : certaines entreprises ne publient que les avis positifs, elles contactent des entreprises spécialisées dans la création de faux avis (agence de e-réputation), elles publient de faux avis sur le site de leurs concurrents…etc. Comment faire pour distinguer le faux (avis) du vrai ? © Malerapaso iStockphoto.com Pourquoi les avis consommateurs nous influencent-ils autant ? – Recherche d’information : plus le risque d’achat est important, plus le besoin d’information sera grand.

Le néo-consommateur : une espèce en voie d’apparition ou le consommateur 2.0 Le consommateur d’aujourd’hui aspire à consommer différemment. Il a d’autres envies, d’autres ambitions pour lui-même et est en train d’adopter de nouvelles habitudes de consommation. En effet, si la crise économique de 2008 est à l’origine de l’émergence du néo-consommateur, celui-ci est cependant le fruit de mutations plus profondes qui ont donné naissance à de nouvelles tendances de consommation. 1. La crise économique à l’origine de l’émergence du néo-consommateur L’attention des consommateurs a toujours été focalisée sur leur pouvoir d’achat. Cette crise de 2008 a tout d’abord entrainé une perte de repère de la part des consommateurs, qui se sont alors réfugiés dans les valeurs sûres : la recherche de prix bas, ou tournés vers de nouveaux médias pour consommer. 1.1 Une perte des repères de la part des consommateurs Trois causes à ceci : 1.2 Réaction immédiate des consommateurs : les valeurs sûres Recherche de prix bas Développement de nouvelles pratiques d’achat suite à la crise 2.

Influenceur tu ne m’influences plus L‘influence est un terme utilisé à tort et à travers sur les réseaux. On l’utilise pour des classements d’influence qui n’ont pas de réelle valeur, sauf pour celui qui est dedans ou pour citer des blogueurs dans des stratégies RP 2.0. Quelles sont les limites de l’influence ? Effet de mode, tentative de manipulation de masse ? L’influence entre besoin d’existence et d’estime Pouvons-nous vraiment parler d’influence aujourd’hui sur les réseaux ? C’est une question que je me pose depuis quelques temps déjà avec l’envie d’écrire cet article, comme une réflexion et non un jugement arrêté. Sur les Internets, le terme « d’influenceur 2.0 » est arrivé en même temps que les réseaux sociaux. Cette influence était massive et vraie. Avec les réseaux sociaux, l’influence communautaire s’est transformée en une influence d’égo, je m’explique. Auparavant les communautés étaient constituées de pseudonymes. Le premier concerné est l’appartenance : je dois appartenir à un groupe pour exister à travers lui.

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