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Tu imagines ? construis !

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Objets connectés: Voilà à quoi pourrait ressembler votre quotidien en 2025 HIGH-TECH - Ludovic Le Moan, le co-fondateur de la société toulousaine innovante Sigfox, spécialiste de la connectivité des objets, imagine notre quotidien dans dix ans… Anaëlle Grondin Publié le Mis à jour le A quoi va ressembler votre vie en 2025? Un environnement autonome. Davantage de dépendance. Un abonnement global. Une autre gestion des données. Une révolution inévitable. Mots-clés : Le Samsung Smart Bike, le vélo connecté Date de publication : 24/07/2014 Format : Vu sur le web Lors de la Design Week de Milan, le constructeur sud-coréen Samsung a dévoilé son premier concept de vélo connecté : le Smart Bike. C’est lors de la Design Week de Milan, grande messe du design concept que Samsung a choisi de dévoiler son premier vélo connecté. Bourré d’électronique, ce vélo aux lignes racées a été créé par la Samsung Maestro Academy, entité du géant coréen chargée de promouvoir l’artisanat italien. Samsung Smart Bike from Samsung Maestros Academy on Vimeo. Le cadre du vélo conçu par l’artisan italien de renom Giovanni Pelizzoli, permet d’absorber les chocs dû à une conduite citadine. Mais l’âme de ce vélo se trouve dans ses applications de sécurité que l’on contrôle grâce à son smartphone. Le Samsung Smart Bike est doté d’un processeur Arduino qui permet notamment de projeter des lasers sur la chaussée pour annoncer sa présence aux autres usagers.

Une cuisine farcie d’objets connectés Le couteau «intelligent» est formel : cette viande n’est pas de première fraîcheur. Pas de problème : un petit coup d’ions négatifs, qui combattent l’oxydation, et le faux-filet retrouvera ses couleurs. Il sera impeccable pour la farce des raviolis que va fabriquer la nouvelle imprimante 3D alimentaire qui vient d’être livrée par le drone d’Amazon. Cette scène relève encore de la fiction, mais plus pour longtemps. Calories. Autre innovation qui pourrait bouleverser la manière de faire à manger : l’arrivée des imprimantes 3D alimentaires (lire aussi p. Caviste. Patrick CAPPELLI

Objets connectés : faut-il les laisser envahir nos maisons ? Contrôler les portes de son logement, lancer la cuisson du poulet ou le chauffage depuis n'importe où... La « maison intelligente », un vrai progrès ? Piloter les infrastructures d'une ville grâce au numérique, les expériences menées à Amsterdam prouvent que ce sera possible... demain. Comparativement, rendre son logement plus « malin » et en piloter numériquement les équipements usuels — de la télévision au chauffage — ressemble à un jeu d'enfant. Jusqu'à 2013, la domotique à l'usage des particuliers avait un défaut principal : elle était hors de prix. Cet obstacle majeur étant sur le point d'être levé (le prix d'un thermostat connecté a été divisé par trois en deux ans (1) ), consommateurs et fournisseurs d'équipements connectés vont pouvoir engager un dialogue qui s'annonce passionnant : du désir de confort absolu à la nécessité de préserver sa vie privée, qu'est-ce qui va l'emporter ? Prenons l'exemple de la sécurité.

Que deviennent les données stockées sur nos objets connectés ? Francetv info Mis à jour le , publié le Chaque jour, 5 millions de Français prennent le pouls de leur santé à l'aide de leurs objets connectés qui engloutissent des informations sur leurs utilisateurs. Ces données sont envoyées via Internet sur un serveur stocké dans un lieu ultra-sécurisé, le data-center, constitué de millier d'ordinateurs. La protection de ces données dépend de la législation du pays où elles sont conservées. Aux États-Unis, l'administration peut librement accéder à vos données personnelles sous couvert de sécurité nationale. Le JT

Web 3.0: l'avenir est aux objets connectés | Yves Therrien | Techno Ce n'est pas de la fiction, mais la réalité d'Internet des objets, ou des objets connectés, la phase 3 de l'évolution du Web, après celle du Web 2.0 et des réseaux sociaux. Il s'agit de l'évolution des connexions d'appareil à appareil, comme le détecteur d'incendie ou d'intrusion qui envoie une alerte à une centrale, mais où un humain doit traiter les données et prendre une décision. La prochaine étape amène l'intervention d'un logiciel adapté aux besoins de l'entreprise. La technologie permet non seulement de relier des composantes électroniques l'une à l'autre par la communication sans fil, mais elle devient un outil de croissance important pour les entreprises avec l'intelligence d'affaires par suite des analyses pour s'adapter au marché. Martin Bélanger, directeur des ventes chez TELUS, précise que les dépenses pour le déploiement de l'IdO passeront de 5,6 milliards $ en 2013 à plus de 21 milliards $ par année à compter de 2018. «L'Internet des objets, c'est déjà commencé, ajoute M.

Les objets connectés représenteront 44 000 milliards de données en 2020 01net. le 09/04/14 à 16h13 Ce n’est pas un scoop : les objets connectés sont entrés dans notre quotidien. Selon un rapport d’IDC pour EMC, spécialiste américain du stockage, sur le sujet, ils représenteront un volume mondial de données de 44 000 milliards de Go en 2020. Ce chiffre est d’autant plus impressionnant qu’il est actuellement dix fois inférieur au volume que ce marché a créé en 2013. D'ici 2020, le nombre d’objets connectés atteindra 32 milliards d’unités et représentera 10% du volume total de données générées, assure le cabinet IDC. Cette explosion s’explique par l’ouverture au numérique des pays émergents qui, selon l’étude, devraient devenir les principaux producteurs de données de la planète. L'Internet des objets va aussi contribuer à augmenter la masse de données numériques exploitables, c'est-à-dire analysables.

60% des données d’objets connectés perdent leur valeur après avoir été générées Pour investir 3 milliards dans l’internet des objets, IBM a conduit de nombreuses études sur la valeur des données des objets connectés : la majorité perd rapidement sa valeur. Classée parmi les 20 entreprises les plus influentes de l’internet des objets, la société américaine a annoncé récemment vouloir investir environ 3 milliards de dollars dans les objets connectés pour poursuivre sa croissance. IBM tente notamment d’imposer sa plateforme Cloud baptisée Bluemind et espère convaincre de nouveaux fabricants d’adopter sa technologie. Grâce à des partenariats tels que Weather Channel, IBM entend prouver que son Cloud est capable de gérer des millions de points de données en temps réel. Dans un récent communiqué, IBM indique aussi que sa connaissance du matériel, aussi bien de l’informatique que des capteurs, lui permettait de suivre précisément le trajet des données générées par les objets connectés.

Objets connectés : quel sera le sort de nos données Selon le Gartner, 26 milliards d’objets connectés seront parmi nous dans le monde en 2020. Ce sont donc des volumes énormes de données qui vont être créés, véhiculés et analysés, au travers de multiples capteurs présents dans l’entreprise, la maison, et même sur l’individu. Quels seront les principaux usages de ces objets ? Quels risques ? Quels avantages ? Quel sera le sort de nos données ? Les objets connectés industriels représentent actuellement un axe fort de développement, explique Jean-Christophe Lecosse, Directeur du CNRFID. A l’origine, l’objet connecté est effectivement une mode grand public. A l’heure actuelle, nous sommes capables d’obtenir des réseaux de réseaux à partir de capteurs et de coupler les informations entre elles. L’enjeu économique se trouve sur la donnée et la capacité à interpréter les données. A l’avenir, l’objectif sera de trouver ce qui est efficient dans le domaine grand public, et de voir comment ces « gadgets » pourront servir le monde industriel.

15 milliards d’objets connectés et moi, émoi… Smartphones, ordinateurs et tablettes n’ont plus le monopole d’Internet. Depuis quelques années, les caméras, alarmes, compteurs électriques, feux de signalisation, ministations météo et autres capteurs sont venus grossir les rangs d’une nouvelle horde matérielle 2.0, celle des «objets connectés». Il ne s’agit plus seulement de machines se parlant entre elles par câbles ou intranet interposés, ni de badges de cantine débitant le compte-repas grâce à une puce intégrée : un nombre exponentiel d’engins se connecte directement à Internet ou via un terminal mobile pour y transmettre des données. «Arrose-moi, s’il te plaît» Pour prendre la mesure du phénomène, il suffit de se rendre sur Shodan, un moteur de recherche permettant de retrouver près d’1,5 milliard d’objets connectés à travers le monde. La mutation est déjà à l’œuvre. Vous avez déjà l’impression d’être archiconnecté ? Difficile de savoir quand ces «choses» se généraliseront. L’Etat français est aussi sur le coup.

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