La symphonie du silence Les naturalistes de la forêt Montmorency proposent une expérience de communion profonde avec la nature Une centaine de personnes assistent à un concert sous les étoiles, par un doux soir de juillet. Réunies au bord d’un lac, elles écoutent une musique étrange, dans une sorte de recueillement qui les surprend elles-mêmes. C’est cette communion profonde avec la nature que vous propose l’équipe des naturalistes de la forêt Montmorency lors de ses concerts fauniques. «Depuis la création des concerts fauniques, en 2007, nous accueillons de 600 à 800 personnes chaque été, dit Pierre Vaillancourt, guide-naturaliste et directeur artistique. À leur arrivée, vers 20 h, les spectateurs sont invités à se rendre dans une grande salle où on les informe du déroulement de la soirée. Puis le concert débute. «Il n’existe pas deux soirées pareilles, affirme ce dernier. «Tous les soirs, au retour, des gens sont tellement émus qu’ils en ont la larme à l’œil, souligne Pierre Vaillancourt.
Il y a Laisse donc parler le puits par où reviennent ceux qui ont un langage dans le reflet si tu le vois dans le noir. Il y a ce corps inepte à tout regret une image flottée – peut-être ton visage si tu te penches davantage pour voir. de la figure des choses Népenthès Accueil The Not-Saying “Not-saying became language.” —Peter Waterhouse “Man as the being who can say ‘No.’” —Paul Celan In 1938, at the tender age of 37 years old, Laura Riding published her Collected Poems, and shortly thereafter renounced poetry and what she called “the creed of poetry.” It’s at the same age that the speaker of Walt Whitman’s Song of Myself announces his intent to celebrate himself and sing himself, and in so doing put “creeds and schools in abeyance.” I, now thirty-seven years old in perfect health begin, Hoping to cease not till death. When I first began to make jottings for this meditation on renunciation, I was 37, hesitating on the brink between Whitman’s robust affirmation and Riding’s seemingly decisive renunciation. And, too I think to add, I began to consider how “No” in this context—instead of being the antithesis of poetry—might in fact have something in common with the genre. And here is Alice Meynell’s 1893 response to the same question: Interviewer: And your poetry?
Arbrealettres Ayamum, cyber-revue sur la littérature berbère Les Hommes sans épaules - revue de poésie ITW de Jean-Éric Perrin (auteur de "Sexe, drogues & rock’n’roll" et "Frenchy But Chic"). | Pop, Cultures & Cie Son histoire tout simplement. Je l’ai connue à mes débuts chez Rock & Folk à la fin des années 70, je l‘avais rencontrée brièvement une première fois, puis j’étais allé à San Francisco pendant l’enregistrement de l’album de Shakin’ Street, mais je ne l’avais pas vue pendant près de trente ans quand elle m’a contactée lors d’un passage à Paris pour écrire un livre sur sa vie. Au début je n’étais pas spécialement chaud, je ne connaissais pas plus de choses que ça sur la suite de sa carrière. Je voulais que ce roman soit en quelque sorte « documentaire », donc là où j’ai passé beaucoup de temps c’est dans la vérification des faits. Je ne me suis pas posé la question, j’avais cette matière là, Fabienne était d’accord sur le principe d’un roman. Oui pour moi c’est clairement un des moteurs de ce projet, de mon envie de raconter cette histoire. Honnêtement non, je suis tombé sur une espèce recordwoman… Un tel enchainement est quand même assez unique. Là encore c’est totalement accidentel.
dimanche 20 avril 2014 Vannes Ce blog est la chronique de mon voyage de la misère économique vers quelque chose qui ne soit pas misère. Et maintenant je suis en plein combat, et c'est plus violent et plus aride que tout ce que j'aurais pu imaginer... Je reprends aussi ce blog - mais comme un acte de lutte, et quelle lutte ! - mensonges et calomnies, délires et rejets, et aussi quelques soutiens, plus ou moins éphémères. Ceci est donc la chronique d'une misère, mais aussi l'acte d'accusation que je porte contre tous ceux qui, sensés participer à lutter contre, l'enveniment gravement. Car ils nous veulent silencieux ! Ils veulent nous psychiatriser ! Je ne me tairais pas. On en est là !