L'obsolescence programmée : la face cachée de la société de consommation Pourquoi n’ai-je jamais réussi à faire réparer une imprimante en panne ?Pourquoi la bicyclette de mes grands-parents a-t-elle enterrée trois générations de vélos plus récents ?Pourquoi n’ai-je jamais pu remplacer le chargeur cassé de mon ancien téléphone portable pourtant en parfait état de marche ? Si vous ignorez la réponse à ces questions, c’est que vous ne connaissez pas l’obsolescence programmée et que vous n’avez pas encore vu l’excellent documentaire de Cosima Dannoritzer qu’ARTE vient de mettre en ligne. Pratiquer l’obsolescence programmée signifie tout simplement raccourcir délibérément la durée de vie d’un produit afin d’inciter le consommateur à renouveler son acte d’achat. Le mot d’ordre est simple : Un produit usé est un produit vendu « Les économistes classiques avaient développés leurs théories sur la base d’une nature avare et sur l’hypothèse que l’espèce humaine serait constamment confrontée au manque. (…) « J’ai acheté un Ipad avant qu’il sorte en France»
Du consumérisme à la Consommation Collaborative | Elément clé de la conjoncture et de la politique économique, la consommation est scrutée, épiée, disséquée par les analystes économiques. Comme un sportif de haut niveau, il s’agira de la relancer en cas d’essoufflement ou au contraire de la calmer aux premiers signes de surchauffe… Au niveau macroéconomique, l’indice des dépenses de consommation des ménages est un des indicateurs conjoncturels les plus attendus car il permet de connaître la santé économique des ménages et donc de la société en général. Au niveau microéconomique, le comportement du consommateur fait l’objet d’études de marché de plus en plus affinées. En amont ou en aval du lancement d’un produit ou d’un service, les responsables marketing ne laissent rien au hasard et s’appuient sur les conclusions de tests (concept, packaging, produit,…) et autres études de satisfaction pour forger leurs décisions. La consommation est donc un facteur déterminant de l’activité économique. Source :
Prêt à jeter Il semblerait même que ces 20 dernières années, les fabricants en soient arrivés à réduire de moitié la durée de vie de leurs produits. Une seule pièce défectueuse suffit à rendre certains appareils totalement inutilisables. Que l’on songe simplement aux batteries intégrées des téléphones portables. Même pour un technicien de formation, réparer ou remplacer ces composantes est devenu impossible. Quoi qu’il en soit, Apple a su trouver un arrangement extrajudiciaire avec ceux qui accusaient les batteries de ses iPhones d’être moins résistantes que celles des autres smartphones. Une petite victoire… Commanditaire de l’étude, le groupe parlementaire des Verts au Bundestag demande que des conséquences soient tirées. En France, une proposition de loi a même été déposée au Sénat. On a beau tourner la chose dans tous les sens, il n’existe à l’heure actuelle aucune preuve tangible de la grande arnaque pratiquée par les fabricants. Une énième théorie du complot ? Et si tout était notre faute ?
Obsolescence Programmée - concepts, exemples et actualités | Faire son marché sans payer, c’est autorisé (même pour les riches) | Rue89 Planète Les initiatives contre la surconsommation se répandent en France. Dernières en date, les « gratiferias », grands marchés gratuits où l’on donne ce dont on ne se sert plus. Libération matérielle durable ou expérience éphémère ? Un bric-à-brac géant en libre-service et sans passer par la caisse. Florent, graphiste et animateur du mouvement, explique le principe de ce grand marché gratuit : les badauds choisissent librement les objets généreusement ramenés par d’autres, et les embarquent sans sortir leur porte-monnaie. « Vêtements, nourriture, objets divers, livres, ce n’est pas du troc, vous pouvez venir sans rien d’autre que votre bonne humeur... » précise la page Facebook de l’événement. « On se doute qu’il y aura plus de gens qui vont venir chercher quelque chose de gratuit que de gens qui vont venir donner. Une « libération matérielle » La gratiferia s’inscrit dans ce que le sociologue spécialiste de l’économie du don Alain Caillé appelle le « convivialisme ».
L’obsolescence programmée, symbole de la société du gaspillage. Le cas des produits électriques et électroniques. S’informer Dossiers thématiques Newsletter Nos publications FAQ Pour aller plus loin Liens utiles Presse Accueil S’informer Nos publications L’obsolescence programmée, symbole de la société du gaspillage. Réduction des déchets Obsolescence programmée L’obsolescence programmée, symbole de la société du gaspillage. Rapport du Cniid et des Amis de la Terre, paru en 2010 Semaine du développement durable : les 3 réflexes d’une consommation "Zero Waste" Sortie du livre Est Sarthois, non aux décharges ! Triman : Les associations de protection de l’environnement et des collectivités dénoncent une nouvelle attaque contre une mesure de bon sens écologique !
L'obsolescence programmée : la face cachée de la société de consommation Pourquoi n’ai-je jamais réussi à faire réparer une imprimante en panne ?Pourquoi la bicyclette de mes grands-parents a-t-elle enterrée trois générations de vélos plus récents ?Pourquoi n’ai-je jamais pu remplacer le chargeur cassé de mon ancien téléphone portable pourtant en parfait état de marche ?Pourquoi mon garagiste m’offre-t-il 2000€ pour reprendre ma vieille voiture en échange d’une neuve ? Si vous ignorez la réponse à ces questions, c’est que vous ne connaissez pas l’obsolescence programmée et que vous n’avez pas encore vu l’excellent documentaire de Cosima Dannoritzer qu’ARTE vient de mettre en ligne. Pratiquer l’obsolescence programmée signifie tout simplement raccourcir délibérément la durée de vie d’un produit afin d’inciter le consommateur à renouveler son acte d’achat. Le mot d’ordre est simple : Un produit usé est un produit vendu Sa proposition ne sera finalement pas retenue mais son analyse sera assimilée rapidement à tous les niveaux de la société.
La participation des habitants à Brest, 29 initiatives analysées - Participation Brest Introduction De l’habitat à l’éducation en passant par l’économie, etc., notre territoire se développe par la contribution croisée de la puissance publique, de la vie associative sans oublier l’initiative citoyenne. Celles-ci renforcent la démocratie. Historiquement, la ville de Brest, Brest métropole océane, la Caisse d’Allocations Familiales, dans le cadre du contrat Urbain de cohésion sociale et la démocratie de proximité, se sont engagés à soutenir et valoriser la participation des habitants. Aujourd’hui, il leur semble opportun de tirer des enseignements, voir ce qui marche, les difficultés rencontrées etc. pour améliorer les pratiques en matière de démocratie participative en bénéficiant de l’expérience de chacun. Y a-t-il une plus-value à la participation des habitants ? Dans une première étape, le 18 septembre 2012, ce travail est partagé et enrichi avec les porteurs des 29 projets évalués. Ce document rassemble les fiches d’analyse de chacune des 29 actions évaluées.
Célébrons la journée mondiale des Toilettes cause : Santé association : La Chaîne du Cœur L’eau potable et l’assainissement sont des besoins vitaux fondamentaux et tout être humain a le droit de disposer de ces services de base. Pourtant, une personne sur huit n’a pas accès à l’eau potable et deux personnes sur cinq manquent d’assainissement adéquat . - Environ 2 000 enfants meurent chaque jour d’une maladie provoquée par l’eau insalubre et un assainissement insuffisant.- 783 millions de personnes vivent sans accès à l’eau potable. Face à ce constat, les Nations Unies ont reconnu cette année que le 19 novembre serait la journée Mondiale des Toilettes. On se souvient de Matt Damon l'année dernier qui avait lancé la grève des toilettes : " 2,5 milliards de personnes dans le monde n'ont pas accès à des toilettes, et on compte plus de gens ayant un téléphone portable que des toilettes "Tant que tout le monde n'aura pas accès à de l'eau propre et à des sanitaires, je n'irai plus aux toilettes ". Spot à revoir ICI
Réparation - Infographie - Spareka La gestion de nos déchets est un enjeu majeur pour tous. Outre de mettre en place un système de tri et de recyclage efficace, Il est important également d’apprendre à ne pas gaspiller nos ressources. Avec l’explosion de l’offre dans le domaine des nouvelles technologies, les DEEE (Déchets d'équipements électriques et électroniques) connaissent une croissance exponentielle. Ce constat est une réalité mais pas une fatalité. En effet, on sait que 50% des équipements électrique de la maison jetés en déchetterie sont encore réparables ! Nous pouvons inverser la tendance. Pour diffuser notre infographie copiez et collez le code HTML ci-dessous sur votre site: <a href=" title="Ne jetez plus vos appareils... - Infographie Spareka"><img src=" alt="Infographie Spareka : ... apprenez à réparer !"
Consumo Colaborativo Présentation de la campagne | parlonstoilettes Pour la plupart d’entre nous, se rendre aux toilettes et tirer la chasse d’eau est un geste naturel, une évidence. Et pourtant… Un tiers de l’humanité n’a toujours pas accès à des toilettes décentes, 1 milliard de personnes défèquent encore en plein air, dans les champs, dans les buissons, dans les cours d’eau… On en parle ? Alors que les Etats se sont engagés en 2000, à travers les Objectifs du Millénaire pour le Développement, à réduire de moitié la proportion de la population mondiale qui n’a pas accès à des toilettes décentes d’ici à 2015, cet objectif est bien loin d’être atteint. Pourtant, l’accès à l’eau potable et à l’assainissement a été reconnu comme un droit de l’Homme par les Nations Unies en 2010. Et l’absence de toilettes a des conséquences graves : 2 000 enfants de moins de 5 ans meurent chaque jour du fait de maladies diarrhéiques, liées à ce manque d’infrastructures. Les impacts sur la nutrition, l’éducation, l’environnement, l’économie sont aussi frappants.
Obsolescence programmée : les produits tombent-ils en panne « juste après la fin de la garantie » L’obsolescence programmée, pratique qui viserait à augmenter le taux de remplacement des produits, est un mythe car c’est la plupart du temps techniquement impossible à mettre en place. De même, l’idée que les produits fabriqués sont conçus pour durer juste un peu plus que la durée de leur garantie est absurde. Démonstration.Par Anton Suwalki. Vous avez peut-être regardé en début d’année sur Arte le documentaire « Prêt à jeter ». Un produit usé = un produit vendu ! Peu de nos lecteurs s’étonneront que ce qu’on appelle paradoxalement « la critique » ait tressé des lauriers à Cosima Dannoritzer, la réalisatrice. Ayant trouvé une critique pertinente de ce documentaire, je m’abstiendrai donc d’en faire une recension détaillée. Je souhaitais ici revenir sur une déclinaison très populaire de la théorie de l’obsolescence programmée qui inonde les forums sur Internet [] : c’est l’idée que les produits fabriqués sont conçus pour durer juste un peu plus que la durée de leur garantie. Notes :