background preloader

MOOC: ce que les taux d’abandon signifient

MOOC: ce que les taux d’abandon signifient
Sur Coursera, environ 10% des participants inscrits à un cours vont jusqu’au bout. Le record y est détenu par le cours de programmation Functional Programming in Scala: 20% des 50.000 participants avaient obtenu la certification l’hiver dernier. Le MOOC Gestion de Projet a « doublé » le record du monde, 37% des inscrits ayant obtenu le certificat basique. Les raisons en sont multiples: taille réduite, durée courte, pédagogie différenciée et recrutement qualitatif sont les principales à mes yeux. Au-delà de la bataille de chiffres autour du nombre d’inscrits et des taux de certification, cherchons à comprendre ce qui sous-tend les taux d’abandon observés. Les critiques sur les taux d’abandon élevés relèvent à mon sens d’une erreur d’interprétation. Rémi Bachelet: Le chiffre le plus souvent cité dans un MOOC est celui des inscrits totaux : c’est le plus gros, le plus impressionnant, le plus « Massif ». 160.000, 230.000, et même 3600 ça en jette ! Quelle conclusion en tirer ? Matthieu Cisel: Related:  MOOCs

Mooc : après la révolution, l’âge de raison « Le Mooc de l’année » : c’est le nom du concours qui vient d’être lancé et désignera, le 19 janvier 2017, les meilleurs de ces « cours ouverts en ligne massifs ». Organisée par MyMooc, une plateforme qui se veut « le trip advisor » des Mooc », en partenariat avec le journal du net, le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche et Google France, cette compétition vise à « récompenser les acteurs de la formation digitale », universités et grandes écoles, mais aussi start-up et grandes entreprises. Doit-on y voir le signe d’une institutionnalisation de ce nouveau mode de formation ? Entre Mooc-mania et abandon Quand ils ont débarqué en France, en 2012-2013, les Mooc (Massive open online courses) ont suscité un profond enthousiasme des universités et des écoles qui y voyaient l’occasion d’étendre leur rayonnement en touchant des publics bien plus larges que leurs traditionnelles cohortes d’étudiants, notamment sur le continent africain. Ni graal, ni gadget

The 50 Most Popular MOOCs of All Time Twenty years ago, online education made higher ed exponentially more affordable and accessible. Today, MOOCs are poised to do the same. MOOCs – or Massive Open Online Courses – are picking up momentum in popularity – at least in terms of initial enrollment. Unlike regular college/ university courses, MOOCs can attract many thousands of enrollees around the world. They can come in the form of active course sessions with participant interaction, or as archived content for self-paced study. MOOCs can be free, or there can be a charge – either on a subscription basis or a one-time charge. There are now thousands of MOOCs available worldwide from several hundred colleges, universities and other institutions of higher learning. All-time MOOC enrollment numbers are obviously a moving target. Some of the courses listed here have had no recent active sessions, and some do not have archived content. 50. Additional info: 49. 48. Additional Information: 47. 46. Additional info: 45. 44. 43. 42. 41. 40.

Pourquoi les MOOC ne tiennent pas leurs promesses La transformation numérique du secteur de l’éducation se fait attendre. La plupart des initiatives digitales visant à compléter ou à substituer les enseignements traditionnels par des cours en ligne restent expérimentales. Elles peinent en réalité à établir la preuve formelle de leur intérêt pour l’ensemble des acteurs impliqués de l’écosystème : apprenants, professeurs et institutions d’enseignement supérieur. Elles passent donc rarement à l’échelle. Des espoirs déçus Les cours en ligne ont initialement suscité un grand nombre d’espoirs auprès d’une partie significative des acteurs du monde de l’éducation. La promesse était alléchante. Des chiffres révélateurs Pour apporter la démonstration du revers rencontré par les MOOC, il suffit d’avancer quelques chiffres. Par ailleurs, certaines enquêtes réalisées sur les apprenants ayant suivi des MOOC jusqu’à la fin montrent que la moitié d’entre eux n’ont pas l’impression d’avoir acquis les savoirs qu’ils venaient chercher initialement.

MOOC : critiques et attentes irréalistes de certains participants Le MOOC « Monter un MOOC de A à Z » s’est terminé il y a maintenant quelques semaines, avec plus de 4000 inscriptions pour cette seconde session. Encore de nombreuses imperfections, mais on progresse. Si le cours est améliorable (comme toujours), je me suis rendu compte que de nombreux participants avaient une conception erronée de ce qu’étaient les MOOC, et tenaient des propos qui n’étaient pas toujours très agréables à lire pour l’équipe pédagogique. Aussi j’aimerais répondre à quelques-unes de ces critiques… L’animation d’un MOOC est une étape importante (on en a d’ailleurs déjà parlé), et l’on ne peut laisser les participants livrés à eux-mêmes sur les forums. Cependant, j’ai une thèse à terminer, et si j’ai poursuivi personnellement l’animation des réseaux sociaux, je me suis désengagé des forums cette fois-ci. Tout d’abord, sur le contenu du cours. Par ailleurs, certains nous a reproché de pas avoir mis en place un tutorat individualisé pour tout le monde. Quoi d’autre ?

Les moocs, ou l'avènement de l'amphi planétaire - Idées Des cours de qualité, sur tous les sujets, ouverts à tous, gratuitement, à travers le monde entier. Composés de vidéos, de quiz et d'animations... Utopie ? Sur Internet, c'est la réalité. Ce sont les moocs, et ils prennent une ampleur exponentielle. « Le Wifi fonctionne bien ? Entièrement gratuits, ces cours, composés de vidéos, quiz, forums et animations sur les réseaux sociaux, sont ouverts à un nombre illimité de participants : pas de sélection à l'entrée, si ce n'est la recommandation d'un « niveau prérequis », pour bénéficier pleinement de l'enseignement des meilleures facultés américaines ou européennes ! Une nièce larguée en math S'il fallait donner une date et un lieu de naissance à ce phénomène, on proposerait volontiers : 2001 aux Etats-Unis. Cap à franchir pour les enseignants Apprendre, c'est beau. Huit cent mille heures de travail Mais réaliser un mooc, c'est du boulot : de cinq cents à mille huit cents heures de travail pour des sessions de quatre à dix semaines.

Face aux critiques, les Mooc revoient leur copie La planète Mooc aurait-elle la gueule de bois? Après avoir été portés au pinacle, ces cours massifs gratuits en ligne, nés aux Etats-Unis avant de gagner la planète entière, font face à de nombreuses critiques... Principal grief: le taux de participants, compris seulement entre 2 % et 10 %, qui vont jusqu'à l'obtention d'un certificat validant leur suivi. "Un bon nombre de candidats viennent chercher des parties de cours pour répondre à des besoins précis mais ne sont pas intéressés par aller jusqu'au bout. Et même ceux qui suivent l'ensemble du Mooc ne souhaitent pas obtenir une certification nécessitant de remettre des devoirs régulièrement et de passer un examen final", reconnaît Pierre Dillenbourg, directeur de la "Moocs factory" de l'EPFL (Ecole polytechnique fédérale de Lausanne), l'un des tout premiers établissements européens à s'être jeté dans le bain. Place aux travaux pratiques Des rencontres aussi physiques Le vedettariat ne suffit pas Vers des Mooc en continu ?

MOOC : Déconstruction d’un dispositif pédagogique encore mal défini | Hypomnematon Cet article a été écrit dans le cadre du numéro 36 du magazine « Esprit Libre » de l’Université libre de Bruxelles. Nés en 2008, les MOOCs, pour Massive Open Online Courses, gagnent leurs lettres de noblesse dans le courant de l’année 2012, proclamée « The year of the MOOC » par le New York Times. Le MOOC est un cours entièrement disponible en ligne – en ce compris les supports, les activités, les devoirs et les évaluations –, non valorisé en termes de crédits, ouvert à tout internaute sans frais d’inscription, sans exigence préalable de prérequis et sans limitation préétablie de nombre d’apprenants. Toutefois, derrière la vitrine de cet acronyme se cachent des réalités plutôt contrastées. Déconstruction… à la lettre M pour massive. O pour open. O pour online. C pour course. Les MOOCs comme espace d’intéressement Les MOOCs moteur de l’innovation pédagogique en enseignement supérieur : oui mais pas n’importe comment ! Bibliographie Akrich, M. Albero B. (2011).

Are We MOOC'd Out? MOOCs (massive open online courses) have been around a few years. My company, Udemy, has been around since 2010. However, it wasn’t until 2012 that MOOCs became the so-called next big thing. Last November, The New York Times declared 2012 “The Year of the MOOC.” Maybe it’s the online education equivalent of the famous Sports Illustrated cover jinx, the urban legend that once someone makes the cover, his career will quickly decline or burn out spectacularly. Maybe we are truly MOOC’d out. So why would we be? I think it’s important to consider why we cared about them to begin with, which can be summed up in one word: hope. We cared because we thought they could be the potential cure-all for a major issue — education, or more specifically, the lack of affordable access to it — that touches almost everybody, not only here in the U.S., but around the world. So now that we’re arguably on the other side of the hype cycle, should we still care?

Massive open online course Poster, entitled "MOOC, every letter is negotiable", exploring the meaning of the words "massive open online course" A massive open online course (MOOC /muːk/) is an online course aimed at unlimited participation and open access via the web.[1] In addition to traditional course materials, such as filmed lectures, readings, and problem sets, many MOOCs provide interactive courses with user forums to support community interactions among students, professors, and teaching assistants (TAs), as well as immediate feedback to quick quizzes and assignments. MOOCs are a recent and widely researched development in distance education, first introduced in 2006 and emerged as a popular mode of learning in 2012.[2][3] Early MOOCs often emphasized open-access features, such as open licensing of content, structure and learning goals, to promote the reuse and remixing of resources. Some later MOOCs use closed licenses for their course materials while maintaining free access for students.[4][5][6][7]

Related: