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Autorité

Autorité
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Notion[modifier | modifier le code] Autoritarisme[modifier | modifier le code] Au point de vue démarche, l'autoritarisme correspond à l'attitude de la personne qui contraint physiquement et/ou psychiquement les personnes qu'elle commande. Légitimité[modifier | modifier le code] L'autorité ne correspond pas à une qualité intrinsèque, mais à une attribution ou une conférence qui légitime le pouvoir de commander et d'être obéi. L'autorité d'un magistrat tient de la Loi, ainsi que de sa fonction au sein de la justice (règlement, structure). Pouvoir[modifier | modifier le code] L'autorité correspond à une valeur reconnue et attribuée ou conférée ; elle diffère donc du pouvoir. Commandement et obéissance[modifier | modifier le code] Le commandement est l'action et l'objet de la personne qui commande, c'est-à-dire qui donne un ordre. Ce bien-fondé est évalué selon les désirs individuels et les jugements personnels d'ordre public.

Autoritarisme Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le terme autoritarisme peut désigner aussi bien un comportement que le mode de fonctionnement d'une structure politique. L'autoritarisme consiste dans les deux cas en une prééminence, une hypertrophie de l'autorité érigée en valeur suprême. Personnalité autoritaire[modifier | modifier le code] Une personnalité autoritaire se caractérise par une dérive de l'autorité vers une tentative de domination d'autres personnes. Concept politique[modifier | modifier le code] La valorisation de l'autorité amène à une absence de pluralisme : le souverain, le parti ou l'organisation dirigeante est le seul détenteur de tous les pouvoirs. D'autres aspects peuvent être présents comme : l'absence de contrôle des pouvoirsl'absence de légitimité, du principe de souveraineté nationale : le peuple n'a pas le droit de vote, ou le système électif rend les votes sans objet.la restriction des libertés individuelles Rapport au totalitarisme[modifier | modifier le code]

» Qu’est-ce que l’autorité? La rumeur du monde bruisse d’un certain désaveu de la politique de l’enfant-roi. L’heure est à l’émergence des « mamans tigres » si l’on en croit le débat ouvert en Amérique par la publication du livre d’Amy Chua : Hymne guerrier d’une maman tigre (Battle Hymn of the Tiger Mother, Penguin). Elle est donc à la redécouverte des vertus de l’autorité, en pédagogie semble-t-il plus qu’en politique. Et parce que sous le beau mot d’autorité, on peint ce qui en est la négation absolue, (discipline militaire, mobilisation de punitions sévères, la plus grotesque étant quatre ans d’anniversaire supprimés), il m’a paru intéressant de proposer ce modeste rappel des significations. Précaution salutaire car la société moderne est tellement étrangère à quelque chose comme l’autorité qu’elle est sans doute devenue inapte à restituer la nature d’une expérience correspondant à d’autres conditions historiques de vie politique. Analyse de la notion A première vue la réponse est simple. Conclusion : Partager :

Autorité parentale en France Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. En droit français, l'autorité parentale est un ensemble de droits mais également de devoirs, que les parents ont à l'égard de leurs enfants mineurs. L'autorité parentale est mise en œuvre par la loi sous la forme de l'autorité parentale conjointe[1]. En 1970, elle a remplacé, en droit français, la « puissance paternelle » qui assurait l'exclusivité de l'autorité du père sur les enfants (l'autorité absolue du mari sur la femme s'appelait « puissance maritale »). Présentation[modifier | modifier le code] L'autorité parentale, quand elle est reconnue ne devient jamais pour autant un droit absolu et illimité : elle s'arrête là où commencent les Droits de l'Enfant, notamment l'introduction et les articles entre les parents, sur l’organisation de la vie (vie scolaire, sportive, culturelle, traitements médicaux, vacances…) permettre les échanges avec l’autre parent dans le respect du cadre de vie de chacun, mais aussi avec les grands-parents.

Hannah Arendt Signature Hannah Arendt, née Johanna Arendt[1] le 14 octobre 1906 à Hanovre et morte le 4 décembre 1975 dans l'Upper West Side (New York), est une politologue, philosophe et journaliste allemande naturalisée américaine, connue pour ses travaux sur l’activité politique, le totalitarisme, la modernité et la philosophie de l'histoire. Elle soulignait toutefois que sa vocation n'était pas la philosophie mais la théorie politique (« Mein Beruf ist politische Theorie »)[2]. C'est pourquoi elle se disait « politologue » (« political scientist »)[3] plutôt que philosophe. Son refus de la philosophie est notamment évoqué dans Condition de l'homme moderne où elle considère que « la majeure partie de la philosophie politique depuis Platon s'interpréterait aisément comme une série d'essais en vue de découvrir les fondements théoriques et les moyens pratiques d'une évasion définitive de la politique »[4]. Biographie[modifier | modifier le code] Vie et études en Allemagne[modifier | modifier le code]

La soumission à l'autorité On doit cette célèbre expérience à Milgram. Cette expérience a été maintes fois reproduite dans de nombreux pays et les résultats sont toujours aussi convaincants que ceux de Milgram. Cette expérience peut donner des pistes de réflexions sur ce qui peut amener des personnes à torturer (ici par des chocs électriques) d’autres personnes et cela, non pas du fait de leurs caractéristiques individuelles mais du fait d’un contexte spécifique. La procédure est simple : La consigne est simple : Si l’élève donne une mauvaise réponse, le professeur (sujet naïf) doit lui administrer un choc électrique croissant de 15 volts à chaque erreur et cela de 15 jusqu’à 450 Volts où il est d’ailleurs indiqué « danger ». L’expérimentateur habillé de sa blouse blanche n’a le droit de dire que quelques phrases telles que : « vous devez continuer » ou « il faut continuer » ou « continuez » ou « l’expérience veut que vous poursuiviez » ; pour mettre quelques variantes. Conditions générales spécifiques :

Autorité parentale Voir la fiche pratique L'autorité parentale est l'ensemble de droits et de devoirs des parents exercés dans l'intérêt de l'enfant jusqu'à sa majorité ou son émancipation. L'autorité parentale comporte notamment le droit et le devoir : de protéger l'enfant, de le nourrir, de l'héberger, d'assurer son éducation, de veiller à sa santé, sa sécurité et sa moralitéde fixer sa résidence, de contrôler ses déplacements, de choisir son orientation scolaire et, le cas échéant, sa religion... En principe, l'autorité parentale est exercée conjointement par les deux parents. Pédagogie Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La pédagogie (du grec παιδαγωγία, direction ou éducation des enfants[1]) désigne l'art de l'éducation. Le terme rassemble les méthodes et pratiques d'enseignement et d'éducation ainsi que toutes les qualités requises pour transmettre une connaissance, un savoir ou un savoir-faire. Plus généralement, l'expression « Faire preuve de pédagogie » signifie l'aptitude à enseigner et à transmettre à un individu ou un groupe d'individus — de tous âges et de toutes conditions — un savoir ou une expérience par l'usage des méthodes les plus adaptées à l'audience concernée. Définitions[modifier | modifier le code] Le mot « pédagogie » dérive du grec παιδαγωγία, de παιδός (/'paɪdɔr/), « l'enfant », et ἄγω (/'a.gɔ/), « conduire, mener, accompagner, élever ». Émile Durkheim : la pédagogie est une "réflexion appliquée aussi méthodiquement que possible aux choses de l'éducation" (L'évolution pédagogique en France, Paris, PUF, 1938, p. 10).

Autorité parentale en cas de séparation des parents Juge compétent Le juge aux affaires familiales est compétent, en cas de séparation des parents, sur les questions relatives : Il peut être saisi par l'un des parents ou par le ministère public (pouvant être lui-même saisi par un tiers, parent ou non). Décision du juge Le juge doit veiller à la sauvegarde des intérêts des enfants mineurs et prendre des mesures afin de garantir la continuité et l'effectivité du maintien des liens de l'enfant avec chacun des parents. Il peut décider que l'autorité parentale sera exercée : soit en commun par les 2 parents (en règle générale),soit par un seul des parents (en cas de circonstances particulières). Le juge fixe également la résidence de l'enfant et les conditions d'exercice du droit de visite et d'hébergement. Les décisions du juge peuvent être modifiées à tout moment, si des éléments nouveaux interviennent, à la demande de l'un des parents (en utilisant le formulaire cerfa n°11530*04) ou du procureur de la République Médiation familiale

"Le maître, serviteur public" Philippe Meirieu Le titre de cette conférence, « Le maître, serviteur public », a été donné par les organisateurs de l’École d’été et je l’ai repris bien volontiers. Mais je dois dire que, s’il me séduit, il est assez étranger aux formulations francophones… et c’est, sans doute, regrettable. Il y a, en effet, dans le mot « serviteur », une grandeur trop souvent oubliée : « ministre » ne veut-il pas dire « serviteur » ? De plus, l’association des mots « maître », « serviteur » et « public » est particulièrement heureuse. Mais, une telle conception a beau être séduisante sur le plan théorique, elle n’en reste pas moins très difficile à mettre en œuvre. Je dois préciser, avant de m’engager plus avant, que je m’aventure aujourd’hui sur un terrain particulièrement délicat et que, le faisant dans le cadre d’une conférence, je serai contraint à quelques rapidités d’expression. Les maîtres destitués ? Faut-il, alors, désespérer du métier d’enseignant ? Les enseignants vecteurs de démocratie ?

Eduquer sans punir / mais avec autorité Eduquer sans punir / mais avec autorité Tout a commencé par une remise en question de l’éducation qu’on donnait à nos Loulous et surtout des limites de notre autorité et oui on se creuse la tête dans Notre Bulle. Il y a d’abord eu un premier livre. Au hasard, je suis tombée sur Parents, osez dire non du Dr Patrick Delaroche. L’approche est très différentes mais certains points valent le coup d’être partagés. L’interdit est un besoin D’abord l’interdiction semble une nécessité pour l’éducation, mais très vite on se rend compte que plus l’autorité des parents est solide, moins ils ont besoin de formuler ces interdictions. Et là je reste perplexe. L’art et la manière d’interdire Certains parents se sentent confusément coupables de contraindre leur enfant, pensent lui infliger une épreuve. En effet on ne peut pas assumer son autorité quand on a l’impression qu’on n’a pas une bonne autorité. A partir de quand dire non Dans ce passage je me revois avec mon grand, quand il était tout petit.

La pyramide des besoins de Maslow d’un point de vue pédagogique | madamemarieeve Le psychologue Abraham Maslow a établi une hiérarchie des besoins en faisant des recherches sur la motivation. Il a ainsi réalisé, dans les années 1940, la pyramide des besoins. Le fonctionnement doit être perçu tel un escalier. L’individu doit satisfaire les besoins qui sont à la base afin de pouvoir réaliser ceux qui sont au niveau supérieur. Voici l’explication de chacun des niveaux. Besoins physiologiques: Ils sont liés à la survie. Besoin de sécurité : Ce besoin se réfère au fait que tout individu doit se protéger des dangers. Besoin d’appartenance et affectif : Ce besoin a une dimension sociale. Besoin d’estime : Il est le prolongement du besoin précédent. Besoin de s’épanouir : Ce besoin se retrouve au sommet des aspirations humaines. Nous devons tenir compte, en tant qu’enseignant, de ces besoins. Voilà donc la pyramide vue sous un regard ayant une vision pédagogique: Besoins physiologiques : L’enseignant doit toujours s’assurer que l’enfant est prédéterminé à écouter.

Les trois conceptions actuelles de l’autorité Depuis maintenant cinq années [1], le propos sur le concept d’autorité envahit tous les secteurs de la vie sociale. Il produit d’une part des discours politiques et médiatiques présentés comme des relais de l’opinion publique ; d’autre part des discours et des débats contradictoires entre les différentes disciplines des sciences humaines. Ainsi, certains philosophes, sociologues, psychologues, psychanalystes ou encore chercheurs en sciences de l’Education ébauchent une pensée alternative encore peu diffusée. À l’examen de ces différents discours, trois conceptions de l’autorité se dégagent que nous nommons « autorité autoritariste », « autorité évacuée » et « autorité éducative ». I - L’autorité autoritariste Une telle conception - qui se retrouve dans les propos de différents acteurs politiques - n’épargne pas l’Education nationale. II - L’autorité évacuée III - L’autorité éducative 1 - Petite histoire de l’autorité éducative 2 - Définir l’autorité éducative [28] Bibliographie Baïetto (M.

Des conditions à respecter pour susciter la motivation des élèves Pour que les élèves cherchent à s'améliorer, il faut bien sûr que la motivation soit au rendez-vous. De manière à susciter cette motivation chez les élèves, voici une proposition qui a déjà fait l'objet d'une expérimentation à l'enseignement supérieur. Rolland ViauDépartement de pédagogie, Université de Sherbrooke L'analyse des récentes recherches sur la motivation à apprendre en contexte scolaire, nous fait voir que les quatre facteurs qui influent le plus sur la dynamique motivationnelle des élèves en classe sont les activités d'apprentissage que l'enseignant propose, l'évaluation qu'il impose, les récompenses et les sanctions qu'il utilise, et lui-même, de par surtout sa passion pour sa matière et le respect qu'il porte à ses élèves. Nos travaux sur la motivation dans l'apprentissage du français nous ont amené à porter une attention particulière à l'un de ces facteurs : les activités d'apprentissage proposées aux élèves en classe. Dix conditions pour motiver Être authentique BROPHY, J.

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