Brain-Based Labels Bunk?
An fMRI study shows speculations that people are “left-brained” versus “right-brained” are not backed by evidence. J.A. NIELSEN ET AL., PLOS ONECreative types have been commonly thought to rely on the right side of their brains, while analytical folk have been considered more “left-brained” thinkers. “It’s absolutely true that some brain functions occur in one or the other side of the brain. Anderson and his colleagues analyzed functional magnetic resonance imaging (fMRI) data from the brains of more than 1,000 resting subjects. “It may be that personality types have nothing to do with one hemisphere being more active, stronger, or more connected,” said coauthor Jared Nielsen, a graduate student in neuroscience at Utah, in the press release.
Mâle, femelle et… «sexe douteux»
Notre code civil, binaire, impose qu'un médecin, examinant l'entre-jambe du nouveau-né, coche la mention «mâle» ou «femelle»… Et au besoin la coche d'un coup de bistouri si les organes génitaux du bébé se montrent curieusement «indécis ». En France, le code civil stipule dans son article 57-1 que «tout enfant doit être obligatoirement rattaché à l'un des deux sexes, masculin ou féminin, et mention doit en être faite dans son acte de naissance qui fixe définitivement cet attribut de son état». Ce fut le cas pour Sylvaine Telesfort: à sa naissance «Sylvaine Télesfort présente une "altération de la formule chromosomique". Alors que les garçons affichent des caryotypes 46 XY et les filles des 46 XX, elle détient une formule infiniment plus rare, le 47 XYY. Son protocole de soin auprès de l'assurance-maladie précise qu'elle est atteinte d'"hermaphrodisme intersexué". Note 1/ Il arrive ainsi qu'on coupe un clitoris (considéré comme hypertrophié !)
Nos identités sont politiques
Les choses aléatoires m’avaient dit que si j’avais envie de mettre un texte ici j’étais la bienvenue. Du coup Cassandra prend le clavier pour un petit texte en mode divergence des luttes. Suite à la mort de Clément Méric il y a eu un rassemblement dans ma ville, l’asso militante LGBT a relayé cet appel à rassemblement et j’ai pu lire ceci (j’ai mis certains passages en gras) : « […] Attention aux prises de position trop rapides au nom de [l’Asso]. Souvenez-vous que nous ne sommes pas un parti politique. » G.B « faudrait peut être arreter de manifester pour n importe quoi… je respecte ce militant mais je vois pas pourquoi moi gay devrais je manifester… vu l ambiance actuelle la discretion serait pas un mal » L.L.G « [L’Asso] est extrème gauche ! « Cet assassinat n’est que politique et n’a rien à voir avec le combat que [l’Asso] mène ! « Je ne vois toujours aucun rapport avec la politique et une asso gay. […] » C.L) Je vais paraphraser deux choses aléatoires dans ce texte. Je suis fatiguée.
Le site des dinosaures...
Do You Speak American . What Speech Do We Like Best? . Prejudice . Women
Women Talk Too Much No, they don’t. Rather, they don’t in every situation. Social context and relative power determine who talks more, men or women. Janet Holmes sets the record straight and establishes the reasons for the lingering myth of female chattiness. (The research cited in this essay was first published in 1999.) Do women talk more than men? Women’s tongues are like lambs’ tails – they are never still. Some suggest that while women talk, men are silent patient listeners. When both husband and wife wear pants it is not difficult to tell them apart – he is the one who is listening. Others indicate that women’s talk is not valued but is rather considered noisy, irritating prattle: Where there are women and geese, there’s noise. Indeed, there is a Japanese character which consists of three instances of the character for the concept ‘woman’ and which translates as ‘noisy’! The tongue is the sword of a woman and she never lets it become rusty. So what are the facts? The Evidence
La place du travail dans la sociabilité urbaine
Il existe trop souvent une ville à deux vitesses. Saura t-elle s’adapter aux besoins sociaux ? La question des liens entre ville et travail demeure essentielle dans l’histoire de l’évolution des activités humaines. Si, à l’origine, la comparaison avec le travail de la terre, sédentaire, imprévisible dans ses résultats, soumis à une répétition coutumière des tâches, a pu sembler favorable à la ville en regard du travail urbain, contractualisé, régulier et prévisible, l’évolution du droit du travail amène à s’interroger sur la fragilité actuelle du statut du salarié dans la ville, dans un contexte d’ouverture et de mondialisation. Loin de corriger l’évolution des emplois vers une plus grande flexibilité, la ville accentue les dérives sociales. Le défi posé par le développement urbain est aujourd’hui considérable. La création de la classe ouvrière constitue une des clés de notre analyse. Mais la nature des besoins exprimés évolue. Or, loin de réduire cette fracture, la ville y participe.
ZONES
La série brosse en particulier un tableau saisissant de la condition des femmes. Betty Draper, la mère au foyer, élevée dans le souci exclusif de son apparence et de sa beauté, qui a tout pour être heureuse selon les critères de son milieu, mais qui crève de solitude et d’ennui ; Peggy Olson, la jeune rédactrice volontaire – seule femme à occuper ce poste –, aux prises avec le dragon ultra-catholique qui lui sert de mère, furieuse à la fois de subir les mains baladeuses de ses collègues et d’être jugée trop menaçante pour correspondre à leur idéal amoureux ; Joan Holloway, la plantureuse secrétaire rousse, qui tente de faire une force de son statut d’objet sexuel, sans que cela la mette à l’abri de la frustration et de la déception : toutes, si différentes soient-elles, se débattent dans les limites que leur assigne la société américaine de cette époque. Et, pourtant, on peut se demander si ce n’est pas cela, précisément, qui est en train de changer dans les mentalités.
"Un long processus qui peut être douloureux"
Il y a une semaine, une interview de Laurence Bachmann a été publiée sous le titre "on ne naît pas féministe, on le devient". Rares sont les personnes qui ont pu recevoir une éducation suffisamment peu genrée pour n'avoir pas intégré l'identité qu'on impose communément aux gens de leur sexe. La plupart des féministes ont ainsi dû rejeter leurs certitudes et leur éducation pour accepter le genre comme un fait. Laurence Bachmann s'est donc demandé : "Qu’est-ce qui fait que certaines femmes développent un regard critique sur les rapports sociaux de sexe?" J'ai la chance d'être une fille de féministe. J'ai donc longtemps ignoré à quel point il peut être douloureux de remettre en question ses croyances pour comprendre et accepter l'idée du genre. D. est un homme mûr, père de trois filles, avec lequel j'ai travaillé. Je développe peu mes idées féministes au boulot, une partie de l'équipe étant très peu réceptive avec des tendances agressives. La liberté est précieuse.