L’impression 3D et le futur des objets
Juin 2013 Par Catherine Jewell, Division des communications, OMPI Avez-vous déjà été à la recherche d’une lampe sans pouvoir trouver celle qu’il vous fallait ou avez-vous dû attendre des mois une pièce détachée d’un appareil électroménager qui n’est plus fabriqué? Ces frustrations appartiendront bientôt au passé. L’impression 3D à haute performance, ou fabrication additive, qui a été mise au point pour la première fois en laboratoire il y a une trentaine d’années, est désormais à la portée des consommateurs. Il s’agit d’une des innovations les plus intéressantes de ces dernières années, qui offre à tout un chacun, où qu’il se trouve, la possibilité de produire à la demande l’objet dont il a besoin. Pour certains, l’impression 3D marque la “démocratisation” de la fabrication, une nouvelle ère de personnalisation en masse qui promet de stimuler l’innovation, d’encourager une meilleure utilisation des ressources et de transformer la façon de fabriquer des objets. Applications actuelles
Impression tridimensionnelle - Wikipédia
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'impression 3D ou impression tridimensionnelle sont les termes courants utilisés pour parler des procédés de fabrication additive. Initialement, en raison de leurs défauts originels, ces procédés ont été développés pour le prototypage rapide, mais maintenant ils sont de plus en plus utilisés pour la fabrication de pièces fonctionnelles. L'impression tri-dimensionnelle permet de produire un objet réel : un opérateur dessine l'objet sur un écran en utilisant un outil de Conception assistée par ordinateur (CAO). Selon le procédé une panoplie de matériaux peut être utilisée : le plastique (ABS), la cire, le métal[1], le plâtre de Paris[2] , les céramiques et d'autres encore. Les applications vont de l'industrie - la production de voitures[3], d'avions[1],[4], de bâtiments, de biens de consommation, etc., à la visualisation de projets, de vérification d'ergonomie pour l'architecture ou les études de design. En 2013[modifier | modifier le code]
Premier livre / Impression 3D ! Mathilde Berchon
Mise à jour au 8 août : Nous venons d’apprendre ce jour le 8 août que le livre figure parmi les meilleures ventes de la librairie Eyrolles, bravo à Mathilde ! Vous êtes nombreux à avoir lu »Makers » de Chris Anderson paru en Octobre 2012, voici le premier livre écrit sur le sujet par un Français… en l’occurrence une charmante Française. Mathilde Berchon a eu la gentillesse de répondre à nos questions depuis San Francisco pour la sortie de son livre »L’impression 3D » aux Editions Eyrolles. 3DN: Mathilde, dites nous un peu plus sur vous même ? Je suis une grande voyageuse – vivant en ce moment à San Francisco – très investie dans le mouvement maker. 3DN: Qu’est ce qui vous a donné envie de faire un livre sur l’impression 3D ? L’impression 3D est un sujet passionnant. 3DN: Pourquoi acheter votre livre ? Vous pouvez visualiser une sélection de pages ci-dessous : 3DN: Qu’est ce qui vous a le plus marqué en faisant vos recherches ? La vitesse à laquelle la technique et ses usages évoluent.
Comment bien tester son imprimante 3D ? - Makershop.fr
Le marché de l’impression 3D grandissant chaque jour, il est de plus en plus difficile de trouver l’imprimante ou le matériau qui conviendra à nos besoins. D’autant plus que les machines récentes mettent de plus en plus l’accent sur les performances. Heureusement, des modèles de test à imprimer permettent maintenant de mettre en avant les forces ou faiblesses de nos machines ou filaments. Nous allons à travers cet article vous présenter quelques uns des tests les plus répandus et comment décrypter les résultats obtenus. (Découvrez également comment optimiser une imprimante 3D après l’avoir testée) 3DBenchy : le petit dernier des tests d’imprimantes 3D Ce petit bateau est bien plus complexe qu’il en a l’air. [youtube video_id= »_epwuDI9FBI » width= »640″ height= »360″ ] Voici donc la page du projet #3DBenchy où il est possible de retrouver des comparatifs ainsi qu’un descriptif détaillé des différentes mesures à effectuer sur votre embarcation de test :
Makers, La nouvelle révolution industrielle
Imprimantes 3D, découpeuses laser, logiciels et matériels open source sont désormais à la portée de tous et fabriquer des objets, chez soi comme à son bureau, va rapidement devenir aussi courant que de retoucher des photos… La démocratisation des outils de production va-t-elle déclencher une nouvelle révolution industrielle, portée par les Makers ? C'est le point de vue défendu par Chris Anderson, rédacteur en chef de Wired et auteur du best-seller mondial La Longue Traîne, qui expose ici les caractéristiques de ce mouvement en plein essor : • Les Makers utilisent les outils numériques pour créer de nouveaux produits et réaliser des prototypes. • Grâce à l'open source, ils mettent en commun leurs idées et leurs connaissances, acquérant ainsi un immense savoir collectif. • Leurs initiatives dépassent le stade du passe-temps et débouchent désormais sur de véritables entreprises, déjà présentes dans le tissu économique.
Les types d'imprimantes 3D
Vous retrouverez dans cet article les principales techniques utilisées par les imprimantes 3D pour créer les objets. 3 grands types se dégagent. Il s’agit de la Stéréolithographie (SLA), le dépôt de matière en fusion (Fused Deposition Modeling – FDM) et le forgeage par application laser (Selective Laser Sintering – SLS). Stereolithography Le procédé de Stéréolithography a été inventé en 1986 par le fondateur de la société 3D Systems Charles Hull. Une des formes de la Stereolythographie la plus répandue est la Photopolymérisation (SLA) : on concentre un rayon ultraviolet dans une cuve remplie de photopolymère (un matériau synthétique dont les molécules se modifient sous l’effet de la lumière la plupart du temps ultraviolette). Mais on doit à la Stereolithography autre chose : c’est le fameux format .stl qui est actuellement le format numérique en passe de devenir le standard dans le monde de l’impression 3D Principe de la Stereolythography (SLA) en vidéo Fused Deposition Modeling (FDM)
A 3D Printed Sundial Displays Time Like a Digital Clock
Using a clever mix of 3D printing and a few well-placed shadows, this sundial designed by Mojoptix projects the actual time as if displayed on a digital clock. The plastic component that casts the shadow—called a gnomon— is printed with extremely tiny holes that create pinpoint dots of light in the form of digits as the sun shines through during the day. The sundial does have its limitations. The time only shows in 20 minute increments and it only works from 10am to 4pm during the day. Regardless, the results are no less miraculous when you see it in use in the video below (skip to around 13:00 to see it in motion). The completed device is available for purchase here, or you can download the design files and print your own.
→ Imprimante 3D et impression 3D | Primante 3D
Filabot, le robot ménager qui recycle vos plastiques pour l’impression 3D
L’impression 3D, c’est LE truc en vogue depuis plusieurs mois. Révolution des Makers oblige, les garages modernes appelé « Fab Lab » se multiplient un peu partout dans le monde, et les plus geeks travaillent sur les améliorations à apporter à cet outil encore un peu venu du futur que sont les imprimantes 3D. Oui mais voilà, ces imprimantes, pour imprimer, consomment du plastique. Et alors que je me demandais l’autre jour si ces outils ne permettraient pas de créer un univers d’économie circulaire à la maison, je suis tombée nez à nez avec Filabot. Magie ! Le concept est le même que si nous pouvions recycler le papier à la maison pour nos imprimantes traditionnelles. Pour cause, ces imprimantes d’un nouveau genre permettent de réaliser des objets à la demande, de réaliser des prototypes à moindre coût et les industriels commencent à imaginer le potentiel des débouchés ouvert par cette « fabrication additive ».