Motiver les salariés, priorité des entreprises en 2013 Les directeurs de ressources humaines ont trois sujets de préoccupations et de travail prioritaire pour les 24 mois à venir, selon les résultats d'une étude ADP (spécialiste de la gestion paie des entreprises). " Les DRH sont optimistes car ils ont des leviers pour permettre à leur entreprise de traverser la crise. En particulier, la question du niveau d'engagement, de la motivation des collaborateurs va devenir leur cheval de bataille en 2013. Dans un contexte où l'on ne parle que de compétitivité et de coût du travail , le niveau de motivation a des effets directs sur la compétitivité ", commente Grégory Luneau, à la direction Marketing et Stratégies d'ADP. Crise de confiance des salariés " Dans ce contexte de chômage élevé, les salariés ont le moral en berne et ils hésitent à quitter leur poste . 56% des DRH se disent freinés Parallèlement, 56% des entreprises reconnaissent des difficultés pour atteindre leurs objectifs.
Le maître et le chien Le psychologue américain Frederick Herzberg est plus connu pour sa théorie sur la motivation et ses travaux sur l’enrichissement des tâches que pour ses talents de conteur et pourtant l’histoire du maître et du chien est riche d’enseignements… Episode 1 : mon chien fait ce que je veux Un maître est en compagnie de son chien. Il connaît bien ses goûts : il sait que son chien adore les morceaux de sucre (bien que ce ne soit pas bon pour les chiens). Episode 2 : mon chien n’est plus motivé Le maître continue à donner, avec les mêmes résultats, des morceaux de sucre à son chien mais ses réserves s’amenuisent et, à un moment donné, son stock est épuisé. Episode 3 : j’ai trouvé la solution Le maître décide de se séparer de son chien et d’en prendre un nouveau plus vaillant qui, sans doute informé par son prédécesseur, adopte le même comportement. Les morales de cette histoire
La théorie des besoins psychologiques de base : clarifier les sources du climat motivationnel (Deci & Ryan, 2002, 2008 Selon Laguardia et Ryan (2000, p. 284), « la théorie de l’autodétermination adopte le concept de l’eudémonie ou de la réalisation de soi comme critère d’existence de bien-être mais, de plus, elle définit explicitement ce qu’il faut entendre par la réalisation de soi et par quels processus elle est atteinte ». En effet, la TAD soutient que les humains ont des besoins psychologiques fondamentaux et que la satisfaction de ces besoins psychologiques fondamentaux est essentielle à leur croissance, à leur intégrité et à leur bien-être. Ainsi, quand ces besoins sont satisfaits, l’organisme connaît la vitalité (Ryan & Frederick, 1997, cités par Laguardia & Ryan, 2000), la congruence interne (Sheldon & Elliot, 1999, cités par Laguardia & Ryan, 2000) et l’intégration psychologique (Deci & Ryan, 1991) : comme ces besoins fournissent une grande partie du sens et des intentions sous-jacents à l’activité humaine, leur satisfaction est ainsi vue comme un but « naturel » de la vie (Deci & Ryan, 2000).
Motivation des salariés : le Job Crafting, donner du sens au travail Crédits photo : Shutterstock.com / Ivelin Radkov Le Job Crafting consiste à laisser le salarié libre de choisir sa propre manière d'organiser son travail. Encore une expression anglo-saxonne et jargonneuse. Mais qu'on ne s'arrête pas à la vitrine, car le Job Crafting recèle un concept riche de sens. Justement, c'est l'art de redonner du sens au travail. Tout droit venu d'outre-Atlantique, où il se développe massivement dans les organisations de toute taille et de tout secteur d'activité, puis après avoir transité par la Belgique, le Job Crafting s'installe progressivement dans l'Hexagone. Créativité et efficacité accrues Crédits photo : DR Yann Coirault, responsable de l'offre bien-être au travail, et pilote de l'innovation chez CSP Formation. Concrètement, qu'est-ce que le Job Crafting ? Le Job Crafting en 3 axes et profils de salariés
Pyramide de Maslow : motivez à partir des besoins Définition de la théorie de Maslow Abraham Maslow est un psychologue américain né dans les années 1900 et père de la théorie en question. Ses recherches montrent que les motivations des êtres humains naissent dans des besoins à satisfaire hiérarchisés en 5 niveaux . Une hiérarchie qui débute par les besoins physiologiques jusqu'à l'étape ultime, l'accomplissement de soi. Ces besoins créent des tensions générant des motivations. Il est question de hiérarchie, car les besoins les plus bas dans la pyramide doivent être satisfaits en priorité avant ceux positionnés à l'étage supérieur. Néanmoins, cela ne signifie pas pour autant qu'un besoin ne peut être satisfait si le précédent ne l'est pas totalement . La pyramide des besoins Besoins physiologiques : dormir, se nourrir, boire, s'habiller... La représentation sous forme de pyramide n'est pas d'A.Maslow Applications des travaux Cette théorie s'applique également en management pour appréhender les sources de motivation des salariés .
La motivation en Entreprise : 10 idées reçues sur la motivation des salariés Motiver ses équipes doit rester, pour tout dirigeant, une priorité absolue. La motivation dans l’entreprise est une stratégie de management qu’un dirigeant doit gérer au quotidien. Sans motivation, les collaborateurs ne s’épanouiront pas et, tout comme l’entreprise, ne se développeront pas, car si la motivation est nulle le résultat sera de… zéro ! Pour un dirigeant la motivation doit rester une préoccupation permanente, il doit continuellement travailler à motiver ses équipes. Chacun le sait, la motivation est la clé de la réussite et, si elle ne garantie pas, à elle seule, la performance d’un collaborateur, il ne peut y avoir de performances durables sans elle. De nombreux responsables du personnel ont toutefois tendance à baser leur stratégie de management à partir d’idées reçues sur les facteurs de motivation des salariés. 1. Cela paraît étonnant à première vue mais cette idée reçue n’est pas toujours exacte. 2. 3. 4. 5. Même si cela paraît étonnant, ce n’est pas une vérité. 6. 7. 8.
La motivation négative ou comment ruiner le moral d’une équipe Management Le 14/09/2017 @ Getty Images Consciemment ou non, certains managers démotivent leurs équipes, plus qu’ils ne les motivent. La motivation est « ce qui pousse à agir », de manière consciente ou non. Derrière « ce qui pousse à agir », il y a trois grandes familles de motivation (lire aussi l’article : « Comment le géant de l’audit et du conseil PwC motive la génération Y ») : 1- Les récompenses : je suis récompensé donc je suis motivé ; 2- Le développement personnel : je suis content d’apprendre et d’évoluer, de faire de nouvelles choses, de travailler dans une ambiance agréable, de trouver un sens à mon travail, donc je suis motivé ; 3- La demande / la pression / l’exigence : je suis sous « tension » donc je suis motivé. >>> Toute demande sans marge de manœuvre s’apparente à un ordre Mais cette motivation est un peu particulière par rapport aux deux précédentes, car il s’agit d’une « motivation négative », qui consiste à obtenir quelque chose par la pression. Affirmez votre autorité
Évaluer les pratiques professionnelles : un rôle de la fonction Cadre de santé Un exemple, la procédure de réfection du "pansement de tête" en réanimation neurochirurgicale Introduction Un des principaux axes de travail des cadres de santé, à l’heure de la qualité, consiste à mettre en œuvre toutes les mesures nécessaires afin de proposer une offre de soin optimum pour le patient. Le cadre de santé joue un rôle direct dans le processus de soins et notamment dans la mise en œuvre de ceux-ci au sein du service. Dans le cadre de la procédure d’accréditation mise en œuvre par l’ANAES, se sont succédées les phases d’écriture des procédures, de leur validation par le CLIN puis de leurs mises en œuvre. Le choix s’est porté sur la procédure de réfection du pansement de tête car divers points litigieux de ce protocole étaient régulièrement soulevés par les infirmières du service et que malgré l’existence d’un protocole spécifique, diverses techniques semblaient être appliquées. 1. 1.1. 1.2. La phase d’analyse statistique des données a duré 1 mois. 1.3. 2. 2.1. 2.2. 2.3. 3.
Le règlement intérieur - Fiche pratique Quelles sont les structures concernées ?Toutes les structures (publiques ou privées) employant plus de 20 salariés doivent établir un règlement intérieur.Les entreprises créées comptant tout de suite plus de 20 personnes doivent immédiatement rédiger leur règlement. Pour les autres, cela doit être fait lorsque le nombre de 20 employés est atteint, pendant au moins six mois. Quels sont les thèmes abordés ? En revanche, le règlement intérieur ne peut prévoir de dispositions contraires aux lois, conventions ou accords applicables à l’entreprise. A qui s’applique le règlement ? Quelques règles à suivre…Les employeurs doivent respecter certaines règles afin d’établir le règlement intérieur de leur entreprise.Ainsi, après avoir rédiger leur projet, ils doivent le présenter aux représentants du personnel, sans quoi ils risquent une amende.
Le sens au travail, une question majeure pour les salariés Une étude menée par Deloitte et Viadeo interroge la notion de sens au travail auprès d’un échantillon de plus de 2000 personnes (1). En voici les principaux résultats. Près de 9 salariés sur 10 considèrent que la question du sens au travail est un enjeu majeur. Mais de quoi parle-t-on exactement ? Comme le rappelle le préambule de l’étude « Sens au travail ou Sens Interdit » : « Pour certains, il est possible de « donner du sens », […] comme une direction, une finalité, une vision. Le travail, source d’épanouissement ? Premier élément déterminant dans la quête de sens souligné par cette étude : « L’importance du collectif afin de répondre à une question majeure : pourquoi travaillons-nous ensemble dans la même organisation ? Manque de reconnaissance = perte de sens Pour 55% des personnes interrogées, le sens au travail s’est néanmoins dégradé. Pour ne rater aucune actualité en matière de qualité de vie au travail, inscrivez-vous à la newsletter de My Happy Job.
La face cachée de Google…? Le site businessinsider.com, a fait paraître dernièrement un article qui fait jaser…. Google, l’entreprise qui fait rêver les chefs d’entreprise comme les rookies n’est peut être pas si exemplaire que cela après tout. businessinsider.com a fait la liste des reproches les plus importants faits par des anciens employés de la société. Selon eux, le quotidien serait moins sympathique que l’on pourrait croire. « Le pire quand on travaille chez Google, pour beaucoup de gens, c’est qu’ils sont sur-qualifiés pour leur emploi. Au menu des récriminations, un sentiment de ne pas avoir d’impact réel étant donné la taille de la société, un middle-management pas à la hauteur, une culture d’entreprise immature, trop d’arrogance parmi les ingénieurs, l’impossibilité de travailler en «remote» et pour couronner le tout des espaces de travail trop petits ! «Si vous travaillez dans l’un des quatre bâtiments du campus principal, vous serez très probablement extrêmement à l’étroit.