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Entre le cerveau et la conscience : le temps

Entre le cerveau et la conscience : le temps
Le livre de Benjamin Libet écrit trois ans avant sa mort en 2007 et traduit pour les éditions Dervy sous le titre L’esprit au-delà des neurones, témoigne d’une vie de recherche qui aura influencé autant les neurosciences que nourri nombre de débats en philosophie. D’ailleurs l’ouvrage, rétrospective des travaux et des découvertes du chercheur, porte un sous-titre programmatique qui atteste de cette double-entrée philosophique et scientifique : Une exploration de la conscience et de la liberté. Les travaux de Libet sont connus pour avoir mis en évidence l’existence d’activités neurales avant que n’émerge la pensée consciente. Autrement dit, que le cerveau travaille à notre insu et, en amont, prépare nos décisions conscientes, nous laissant ainsi avec l’impression quelque peu troublante qu’il (le cerveau) "décide" pour nous. La base du travail expérimental de Libet consistera à prendre en compte, de façon effective, l’accès conscient du sujet en première personne à ses états mentaux. Related:  A classer \ inclassable

Physique quantique et biologie | Cellule & Futur Avant de commencer ce chapitre, je souhaite convaincre le lecteur biologiste de ne pas succomber à son déterminisme propre . En effet, ce dernier lui suggère très certainement de passer son chemin à la simple évocation du mot « quantique » ! Biologistes, résistez ! Utilisez votre libre arbitre ! et lisez les petites expériences de pensée que je vous propose. Le paradigme actuel de la biologie considère que l’échelle adéquate explicative des phénomènes en biologie ne descend pas en dessous de la molécule. Dans l’expérience des fentes d’ Young, les physiciens utilisent une source capable d’émettre des photons un par un. Cependant, vous allez me dire que cette expérience de pensée avec des virus est faite dans des conditions très éloignées de l’environnement cellulaire. Cependant, depuis le début du 21ème siècle, plusieurs conjectures et expériences ont commencé à construire des ponts très sérieux entre biologie et physique quantique. Absence de preuve.

Le cerveau n'entend pas la négation Nos émotions commandent-elle notre raison ou notre intelligence doit-elle effacer nos sentiments ? On sait qu'après avoir essayé de mesurer l'intelligence par le Quotient Intellectuel, très controversé, les scientifiques ont étudié le QE, le Quotient émotionnel. Or la bonne gestion des émotions contribue à la performance de notre intelligence individuelle et collective. Roland Jouvent, Directeur de recherche au CNRS, a créé le "Centre Emotions" de la Salpêtrière et est intervenu lors de la dernière formation 1 soir 1 jour "Profession manager : passer de l'athlétisme au championnat olympique". Cette formation a rencontré un très vif succès. Voici quelques extraits issus de ses dernières recherches sur la science du cerveau qu'il nous a livrées :"Ne cours pas" dit la mère à son enfant. Des réactions ?

Avancées de la recherche en biologie quantique Jean-Paul Baquiast 01/11/2011 Sources: - Michael Brooks. Quantum Life, the weirdness inside us Nous en avons adapté ici certains passages. - Voir aussi Automates Intelligents. Nous avons indiqué dans un article précédent (Comment les cerveaux se représent-ils le monde ( qu'un nouveau courant de recherche, dit « quantum interaction » était apparu, visant à mettre en évidence dans le fonctionnement du cerveau cognitif des processus proches du formalisme utilisé par les physiciens quantiques pour traduire le résultat de leurs observations. Convenons d'appeler cerveau cognitif celui qui interprète les messages des sens afin d'en extraire des représentations du monde extérieur. Ces processus sont inhérents à toutes les espèces animales. Le programme de recherche correspondant rencontre des difficultés considérables.

La motivation, enfouie au plus profond du cerveau ? L'équipe de Mathias Pessiglione, chargé de recherche Inserm du "Centre de recherche en neurosciences de la Pitié-Salpêtrière" (Inserm/UPMC-Université Pierre et Marie Curie/CNRS) a identifié la partie du cerveau impliquée dans la motivation lors d'une action mêlant effort physique (La physique (du grec φυσις, la nature) est étymologiquement la « science de la nature ». Dans un sens général et ancien, la...) et mental: le striatum ventral. Les résultats de leur étude ont été publiés dans PLoS Biology le 21 février 2012. Les résultats d'une activité (Le terme d'activité peut désigner une profession.) (physique ou mentale) dépendent en partie des efforts consacrés à cette activité qui peuvent être motivés par une récompense. Représentation 3D du système motivationnel (striatum ventral) activé lors d'un effort physique ou mental. © M. Les chercheurs suggèrent donc que la motivation peut être codée par le striatum ventral. Référence:

Colloque international: Pour une approche quantique de la conscience | Université Interdisciplinaire de Paris Qu’est-ce que la conscience? Malgré les énormes progrès scientifiques réalisés au cours des deux dernières décennies, l’affirmation du Prix Nobel de médecine Sir John Eccles, l’un des grands neurologues du XXe siècle selon laquelle la nature de la conscience défie tout type d’explication matérialiste est toujours d’actualité. Il y a aujourd’hui quasiment autant de modèles pour tenter d’expliquer la conscience que de spécialistes dans ce domaine. Cette situation est sans équivalent dans la science d’aujourd’hui, s’agissant d’un phénomène aussi crucial et qui nous touche d’aussi près. N’est ce pas la preuve que les recherches ont été dirigées jusqu’à présent dans une mauvaise direction, et qu’il faut explorer des pistes radicalement différentes? Une des pistes prometteuse consiste à faire appel à la physique quantique pour mieux tenter de cerner la nature profonde de la conscience. Le programme 9h00-9h15 Introduction Anne de Constantin et Jean Staune 9h15-10h00 Lothar Schäfer 10h45-11h00 Pause

Energie libre : Les ondes scalaire au service de l'univers et de la santé Hervé Janececk – Ondes scalaires et eaux thérapeutiques Une conférence (vidéo ci-dessus) qui devrait changer notre vision de la médecine, de la santé, de l’énergie… L’électromagnétisme scalaire et l’univers L’électromagnétisme scalaire, c’est quoi au juste ? Et bien tout d’abord, il faut savoir que c’est grâce à diverses équations que le très célèbre mathématicien James Maxwell a pu la mettre en avant, le tout vers le milieu des années mille huit cent. Nous savons qu’il y a l’univers visible, mais également l’univers invisible. Le tout est composé de forces naturelles qui s’imbriquent et communient sous forme d’une autre énergie, énergie que nous appelons là sur-unitaire ou énergie libre. L’électromagnétisme scalaire est une branche de l’électromagnétisme qui englobe la gravitation et cela nous l’avons vu, nous le savons également grâce au travail acharné de Nicolas Tesla. Mais tout cela peut avoir un effet boule de neige et influencer de nombreuses choses, dont le temps par exemple.

Une théorie électromagnétique de la conscience Une théorie électromagnétique de la conscience "Le Je n’est pas un robot" par Johnjoe McFadden, professeur de génétique moléculaire à l’Université du Surrey, auteur de "Quantum Evolution, The new science of life" Traduction de l’anglais et adaptation par Jean-Paul Baquiast Il est facile de constater, dans la vie courante, comment facilement on se comporte de manière automatique. Le plus grand défi de la neurobiologie et une des questions clefs de l’intelligence artificielle consiste à comprendre ce qu’est cette prise ou reprise de contrôle du comportement par le Je. On connaît depuis longtemps le mécanisme de la transmission de l’influx le long des voies nerveuses, qui commande à nos actions. Le problème n’a rien de trivial puisque c’est ce que nous appelons la conscience qui nous distingue des animaux et nous permet les activités les plus hautes de l’esprit humain. Evidement, nombre d’objections viennent à l’esprit.

La physique quantique appliquée à la biologie (et bientôt au biomagnétisme ?) - Bernard Dugué Introduction à la biologie quantique Le physicien Paul Davies s’intéresse de près au rôle des lois quantiques dans le vivant. Dans une revue parue en 2009, il confesse que nombre de physiciens considèrent la vie comme une sorte de miracle par lequel des « molécules stupides » parviennent à coordonner leurs réactions pour engendrer ces systèmes extrêmement complexes capables de percevoir, se déplacer et se reproduire (Physics world, juillet 2009, p 24-28). La biologie contemporaine ne peut plus ignorer la physique quantique affirme avec force Davies pour qui l’hypothèse quantique pourrait expliquer par quel mystère le monde prébiotique est parvenu à engendrer la vie au terme d’une histoire de trois milliards d’années. En fait, depuis plus d’un siècle, les sciences du vivant se sont pensées dans le cadre de la chimie. Révolution quantique en biologie : l’exemple de la cohérence dans la photosynthèse

Esprit quantique Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'esprit quantique est une hypothèse qui suggère que des phénomènes quantiques, tels l'intrication et la superposition d'états, sont impliqués dans le fonctionnements du cerveau et en particulier, dans l'émergence de la conscience. Cette hypothèse part du principe, controversé, que la physique classique et son déterminisme ne peut totalement expliquer la conscience. Cette théorie n'en est qu'à ses débuts, elle a pourtant le soutien de Roger Penrose et de Stuart Hameroff. Motivation[modifier | modifier le code] La conscience décentrée[modifier | modifier le code] Fritjof Capra a écrit : Pour que les scientifiques soient capables de décrire la nature mathématiquement, Galilée pensait qu'ils devaient se contenter d'étudier les propriétés essentielles des corps -la forme, le nombre et le mouvement- qui pouvaient être mesurées et quantifiées. Réduction du mystère[modifier | modifier le code] Quelques théories[modifier | modifier le code] 1. 2. 3.

La conscience invisible - intro - Dean Radin " La dépendance du psychisme au cerveau, c’est- à-dire sa limitation spatio-temporelle, n’est plus si évidente et incontestable que nous avons été jusqu’à présent portés à le croire... Il n’est pas seulement acceptable de douter de la validité absolue de la per ception de l’espace-temps ; au regard des faits connus, il est même impératif de le faire." (Carl Gustav Jung) En science, la reconnaissance d’une idée nouvelle s’effectue suivant quatre phases. - Phase 1 : les sceptiques proclament avec assurance que cette idée est impossible, parce qu’elle viole les lois de la science. - Phase 2 : les sceptiques concèdent de mauvaise grâce que cette idée est concevable, mais qu’elle n’a guère d’intérêt et que les effets constatés sont extrêmement faibles. - Phase 3 : l’opinion majoritaire réalise non seulement que l’idée considérée est forte, mais aussi que ses effets sont beaucoup plus importants qu’on ne l’imaginait auparavant. La réponse tient en un mot : oui !

Avancées en biologie quantique Avancées récentes en biologie quantique Jean-Paul Baquiast 01/11/2011 Sources: - Michael Brooks. Quantum Life, the weirdness inside us Nous en avons adapté ici certains passages. - Voir aussi Automates Intelligents. Du côté des labos. Processus quantiques interagissant avec des organismes biologiques Nous avons indiqué dans un article précédent (Comment les cerveaux se représent-ils le monde ( qu'un nouveau courant de recherche, dit « quantum interaction » était apparu, visant à mettre en évidence dans le fonctionnement du cerveau cognitif des processus proches du formalisme utilisé par les physiciens quantiques pour traduire le résultat de leurs observations. Ces processus sont inhérents à toutes les espèces animales. Récemment le Pr. Commentaires

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