Penetrating A World Built On Secrecy Investigative reporting is expensive, time-consuming, and risky. We should know -- we're revealing a world that’s dominated by the rich and by the powerful. Fifteen months ago the International Consortium of Investigative Journalists set out to investigate a mysterious and secretive global system that is used almost exclusively by the select few. But the consequences of secrecy jurisdictions – better known as tax havens - have become all too real for ordinary people in recent times: The financial meltdown in Cyprus has been blamed on its banks accepting money from rich Russians trying to avoid the laws of their home jurisdiction. Advocacy groups like the Tax Justice Network estimate that about $250 billion is lost in taxes each year by governments worldwide, solely as a result of wealthy individuals holding their assets offshore. The group estimates that half of all global trade now passes through tax havens and an estimated one third of world wealth now resides there. For many reasons:
25 500 milliards d'euros bien au chaud Les actifs financiers détenus par des particuliers et dissimulés dans des paradis fiscaux pourraient atteindre jusqu'à 25 500 milliards d'euros, selon une étude de Tax Justice Network. C'est la principale conclusion d'une étude rédigée par James S. Henry, ancien économiste en chef du cabinet américain de conseil en management McKinsey, et publiée le 22 juillet par le groupe de pression Tax Justice Network. Ainsi, les actifs financiers détenus par des particuliers et leurs familles et dissimulés dans des paradis fiscaux atteindraient 21 000 milliards de dollars (17 000 milliards d'euros) selon une estimation conservatrice, montant qui pourrait s'élever jusqu'à 32 000 milliards de dollars (25 500 milliards d'euros) d'après cette ONG britannique de lutte contre l'évasion fiscale. A titre de comparaison, les 25 500 milliards d'euros évoqués dans l'étude représentent la production nationale annuelle combinée des Etats-Unis et du Japon. James S.
[Paradis fiscaux et judiciaires] Psychodrame médiatique où chaque matin on raconte au peuple effrayé combien l'économie est au bord du gouffre mais où chaque soir l'économie est reconduite, soi disant in extremis, dans son statu quo ... Ostie que ça va mal hein ????? Les actifs financiers détenus par des particuliers et leurs familles et dissimulés dans des paradis fiscaux atteignent entre 21 000 et 32 000 milliards de dollars (entre 17 000 et 25 500 milliards d'euros), selon une étude publiée dimanche par le groupe de pression Tax Justice Network. Paradis fiscaux et commercialisation de la souveraineté de l'Etat par Ronen Palan Une étude historique et politique du développement contemporain des paradis fiscaux à partir de la fin du XIXe siecle. Où il est montré que le développement de l’offshore et de l’Etat, loin de s’opposer, vont de pair. (1) Les trois dernières décennies ont connu une augmentation spectaculaire du nombre de micro-Etats servant de paradis fiscaux et de domiciliation de complaisance à des sociétés réelles ou fantômes.
Évasion fiscale protégée par le pouvoir, le livre qui accuse Supposons que tous les jours, 10 hommes se retrouvent pour boire une bière et que l’ad l’addition se monte à 50$ (normalement, 5$ chacun). S’ils payaient la note de la façon que que l’on paie les impôts, selon les revenus de chacun, on aurait l’exemple suivant : Les quatre premiers, les plus pauvres, ne paieraient rien, zéro cent. Le cinquième paierait 50 cents. Le sixième paierait 1,50$. Le septième paierait 3,50$. Le huitième paierait 6$. Le neuvième paierait 9$. Le dernier, le plus riche, devrait payer 29,50$ à lui tout seul. On arrive donc bien à 50$. Ils décidèrent de procéder comme décrit. Le groupe décida de continuer à payer la nouvelle somme de la même façon. Mais s’ils soustrayaient cette somme de leur partage, alors le cinquième et le sixième homme allaient être payés pour boire leur bière (1,16$ et 16 cents). Alors ? Le cinquième homme, comme les quatre premiers, ne paya plus rien, Un pauvre de plus. Le sixième paya 1$ au lieu de 1,50$ (33% de réduction).
Paradis fiscaux & Vatican Continuez à dormir et à croire que vous serez sauvés par le Vatican et ses représentants ! Terrorisme d’origine gouvernementale : un aveu étonnant à la Chambre des Lords britannique S’il subsistait un quelconque doute sur le fait que les gouvernements financent la terreur et montent de toute pièce de fausses attaques contre eux-mêmes, ce dernier doit disparaître à l’écoute d’un récent échange (voir vidéo plus bas) au sein de la Chambre des Lords britannique. En s’adressant à ses pairs à la Chambre, Lord James of Blackheath a révélé qu’il avait été impliqué dans le blanchiment de milliards de livres d’argent du terrorisme, en particulier celui de l’IRA et de divers terroristes d’Afrique du Nord, à la demande de la Banque d’Angleterre. James a également expliqué qu’il avait été contacté par une organisation secrète qui offrait d’aider la Grande-Bretagne à rembourser son énorme dette. Lord James of Blackheath speaks of Foundation « Pas dans ma poche. Références:
Europe : austérité pour les peuples, pas pour les multinationales Les accords fiscaux secrets passés entre des centaines de firmes et le Luxembourg, afin de soustraire des milliards d'euros à l'impôt, ont forcément été couverts par le président de la Commission européenne. Quarante médias internationaux s'appuyant sur des documents obtenus par le Consortium international des journalistes d'investigation (ICIJ) viennent de révéler l'existence d'accords fiscaux secrets entre le Luxembourg et 340 multinationales, dont Apple, Amazon, Ikea, Pepsi ou Axa. Ces accords, qui permettent à ces firmes de minimiser leurs impôts, représentent des milliards d'euros de recettes fiscales perdues pour les États où ces entreprises réalisent des bénéfices, selon l'ICIJ et ses médias partenaires, dont Le Monde en France, The Guardian au Royaume-Uni, le Süddeutsche Zeitung en Allemagne, l'Asahi Shimbun au Japon. On savait que le Luxembourg était le Duché de l'évasion fiscale.
Paradis fiscaux : quel bilan dix ans après l’appel de Genève ? Dix ans... Le 1er octobre 1996, Genève et son université. Une longue table avec sept magistrats alignés, et moi à un bout. Nous étions contents d’avoir mené cette histoire à son terme. Je me souviens des sourires d’Isabelle Solal, l’attachée de presse, et de Laurent Beccaria, alors éditeur chez Stock, devant la liste des journalistes voulant une accréditation, qui ne cessait de s’allonger. L’initiative était privée, la maison d’édition invitait. L’appel de Genève a produit un sacré coup de tonnerre. Les juges avaient le tort de vouloir comprendre qui achetait les décisions politiques, qui donnait les autorisations dans les partis, qui se cachait derrière les fiduciaires suisses ou les off shore panaméennes ? Le Parlement européen s’apprête à célébrer cet anniversaire. Le 30 septembre 1996, le scepticisme était total. J’avais fait le forcing pour trouver un juge luxembourgeois d’accord pour signer l’appel, j’avais presque réussi à en convaincre un, mais finalement, il avait renoncé.