acta1901.org Ninja, le média social des manifestations au Brésil Ils sont partout, ou presque. Ils incarnent les yeux et la voix des manifestations qui agitent le Brésil depuis le 10 juin. Ils rivalisent avec la puissante chaîne de télévision Globo pour rendre compte des événements en direct. Ils ne disposent pourtant pas d’hélicoptère ni de la bienveillance des autorités. Ils s’appellent Midia Ninja, mais le nom des fameuses tortues accolées au mot média en portugais est un acronyme pour "Narrations indépendantes, journalisme et action". Thiago Dezain, 23 ans, est un des animateurs de ce réseau de contre-information. Le ministère de la culture y a contribué, par sa politique de décentralisation, même si Fora do Eixo n’a jamais bénéficié de subvention. Une expérience innovante Les images mises en ligne, dont la qualité et la visibilité restent aléatoires, sont commentées au fur et à mesure, de vive voix. Avant la fronde sociale, Midia Ninja avait déjà enregistré environ 300 manifestations. La violence suscite la polémique
Trois raisons pour Facebook d’aimer les #hashtags La rumeur courait depuis quelques mois, l'annonce officielle est tombée mercredi 12 juin : Facebook va commencer à déployer sur son site américain les "hashtags" (en français officiel : "mot-dièse") dans le statut de ses utilisateurs. Pour beaucoup d'inscrits sur ce réseau social, la nouvelle a d'abord eu de quoi intriguer. "C'est quoi les hashtags ?", nous ont demandé nos lecteurs sur la page Facebook du Monde.fr, question à laquelle d'autres membres ont parfaitement répondu : D'autres de nos lecteurs sur Facebook, fins connaisseurs du "dièse" (le fameux "#"), ne semblent toutefois pas vraiment convaincus de son utilité (voir : #leshashtagscestridicule, #leshashtagscestbidon). 1. Facebook l'avoue sans complexe dans son communiqué de presse : son système sera "similaire" à celui qu'on trouve sur "Instagram, Twitter, Tumblr, ou Pinterest" (sans compter Vine et Google+, également remplis de "#"). En six ans, les mots-clés sont devenus emblématiques des réseaux sociaux. 2. 3.
wget Wget est un programme en ligne de commande non interactif de téléchargement de fichiers depuis le Web. Il supporte les protocoles HTTP, HTTPS et FTP ainsi que le téléchargement au travers des proxies HTTP. Wget peut travailler en arrière-plan et ainsi vous permettre de lancer un téléchargement et de vous déconnecter du système ! Ce logiciel libre permet le simple téléchargement d'un fichier mais aussi la recopie en local de tout ou partie d'un site qui sera par la suite consultable hors-ligne. Pré-requis Disposer d'une connexion à Internet configurée et activée Installation Wget est installé par défaut dans les dernières versions d'Ubuntu. Il est possible de définir certaines des options ci-dessous dans le fichier personnel « .wgetrc ». On peut noter qu'il existe une interface graphique Gwget. 1) Utilisation wget [options] [url] Par défaut, le fichier sera enregistré dans le dossier courant, ordinairement votre dossier personnel /home/vous. Descriptions des options principales wget -i fichier #! .
Comment faire pour que votre photo Google+ n'apparaisse pas dans des pubs ? Au moment où Facebook annonce supprimer la fonctionnalité qui permettait à ses utilisateurs de ne pas apparaître dans les résultats de recherche du réseau social, Google a annoncé de son côté, vendredi 11 octobre, qu'il allait commencer à utiliser dans des publicités les photos des membres de son réseau social Google+ et les marques ou endroits qu'ils disent aimer avec le bouton "+1". Le géant d'Internet a fait valoir que "des recommandations de personnes qu'on connaît peuvent vraiment aider". Une pratique déjà adoptée par Facebook. Google a précisé que les utilisateurs pourraient choisir de désactiver cette fonctionnalité, et que ce serait automatiquement le cas pour les moins de 18 ans. Le site Internet Tech Crunch explique comment faire pour que la photo de son profil sur Google + n'apparaisse pas dans les publicités. Il suffit de se rendre sur ce lien, une fois logué sur son compte Google. Ne pas oublier de bien enregistrer cette dernière modification.
Phil Libin of Evernote: The Surprise 3 A.M. Email That Saved His $200M Company | The New OPEN Forum How a mysterious man who loved Evernote ended up saving the company on the night before owner Phil Libin was going to shut it down. February 01, 2013 It was in the middle of a chilly night in October 2008 when Phil Libin started feeling, as he describes it, “like an adult.” As he walked into his bedroom that night, he resigned himself to the fact that the following morning he would shut down his company and lay off all 20 employees. Less than 40 minutes later, Libin was on a Skype call with the mysterious man, and just two weeks later, was on the receiving end of a $500,000 wire transfer. Today, Evernote is one of world’s fastest growing Internet companies. Katie Morell: Are you telling me that you really didn’t know the random guy that emailed you from Sweden? Phil Libin: Nope. evernote.com KM: So what happened after that? PL: The money he invested helped us gain traction. KM: Evernote is only in its fifth year as a company. PL: It’s very tough. KM: Why do you think that is? PL: Yep.
Pour une recherche reproductible, publiez vos codes et données En avril, un pavé a été jeté dans la mare de la recherche en économie : l'un des articles économiques les plus cités ces dernières années par les partisans de l'austérité, selon lequel le taux de croissance d'un pays devient négatif quand sa dette dépasse 90 % du produit intérieur brut (PIB), serait entaché d'erreurs de calcul et de manipulations de données. Ce sont trois économistes de l'université du Massachusetts qui ont découvert la fraude après avoir obtenu l'accès à la feuille de calcul Excel que les chercheurs de Harvard Carmen Reinhart et Kenneth Rogoff avaient utilisée pour bâtir leur démonstration. En cause : des erreurs de formules Excel, une exclusion arbitraire de certaines données et une pondération non conventionnelle - sans lesquelles le résultat ne serait plus du tout probant et ne plaiderait pas en faveur d'un maintien de la dette en deçà de 90 % du PIB.
Mineurs et réseaux sociaux, une équation complexe Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Damien Leloup Facebook a confirmé lundi 4 juin travailler sur des outils qui pourraient permettre, à terme, une ouverture de son service aux moins de 13 ans. Les enfants ne peuvent théoriquement pas s'inscrire sur le premier réseau social : les conditions d'utilisation du site l'interdisent, mais des millions de moins de 13 ans se sont cependant inscrits au service, parfois avec l'accord de leurs parents. Ce que dit la loi. La limite d'âge à 13 ans n'a pas été fixée arbitrairement par Facebook : elle découle de la loi américaine. Aux Etats-Unis, il est interdit d'enregistrer des informations personnelles sur les mineurs de 13 ans sans le consentement exprès des parents ou du tuteur légal. Du coup, la plupart des réseaux sociaux et sites de loisirs destinés aux adolescents fixent leur limite d'âge à 13 ans. Ce que dit Facebook. Ce que disent les parents. Les alternatives.
Scaling Pinterest - From 0 to 10s of Billions of Page Views a Month in Two Years Pinterest has been riding an exponential growth curve, doubling every month and half. They’ve gone from 0 to 10s of billions of page views a month in two years, from 2 founders and one engineer to over 40 engineers, from one little MySQL server to 180 Web Engines, 240 API Engines, 88 MySQL DBs (cc2.8xlarge) + 1 slave each, 110 Redis Instances, and 200 Memcache Instances. Stunning growth. So what’s Pinterest's story? To tell their story we have our bards, Pinterest’s Yashwanth Nelapati and Marty Weiner, who tell the dramatic story of Pinterest’s architecture evolution in a talk titled Scaling Pinterest. This is the talk they would have liked to hear a year and half ago when they were scaling fast and there were a lot of options to choose from. This is a great talk. Two of my favorite lessons from the talk: Architecture is doing the right thing when growth can be handled by adding more of the same stuff. These two lessons are interrelated. Now, let’s see how Pinterest scales: Basics Solr
Où en est l’Open Data La seconde édition de la semaine européenne de l'open data se tenait cette année à Marseille du 25 au 28 juin 2013 (voir notre compte-rendu de la première édition qui se tenait à Nantes en mai 2012). Et l'impression d'ensemble est très différente de l'année dernière. La technique a-t-elle pris le pas ? Si la semaine était plus européenne (certainement du fait du partenariat avec le projet Homer, un projet européen qui travaille à l'harmonisation des politiques de réutilisation des données publiques), elle était aussi plus technique : la plupart des intervenants, porteurs de projets Open Data pour des collectivités publiques, étaient venus évoquer comment ils mettent en place leurs portails de données publiques. En parlant d'harmonisation, qui était le thème de la journée de conférence, l'Open Data est apparu sous un angle particulièrement austère : celui de spécialistes parlant à d'autres spécialistes. Les enjeux de l'harmonisation ? "L'Europe est plus ambitieuse encore.
Vie connectée - «l’âge de l’intuition technologique» Ecrivain et philosophe, Eric Sadin est l’un des rares intellectuels français à penser le changement de civilisation induit par la numérisation de notre monde. Son dernier livre, l’Humanité augmentée (1), a reçu le prix de l’«essai le plus influent de l’année sur le digital» au Hub Forum 2013. Il y évoque la naissance d’un homme-interface connecté à une intelligence artificielle ambiante… Vous écrivez que la révolution numérique s’achève «dans le miracle d’une interconnexion intégrale reliant virtuellement tout être, toute chose, tous lieux». Sans doute. Quelle est la prochaine étape de cette accélération ? A mon sens, elle a déjà commencé avec l’introduction du smartphone en 2007. Les Google Glass sont-elles une évolution logique de ce corps-interface ? Ce type de dispositif annonce la généralisation de la réalité augmentée : avec ces lunettes connectées, un flux continu d’informations va se superposer à notre perception naturelle des choses. Hal est partout. C’est évident. Oui et non.
Dans les coulisses d’un demo-day américain : “Aujourd’hui, vous êtes en haut des montagnes russes” Suite de l’épopée d’un entrepreneur français dans la Silicon Valley, Clément Delangues nous raconte de l’intérieur la vie tumultueuse d’un projet au coeur de l’incubateur Imagine K12. “Aujourd’hui, vous êtes en haut des montagnes russes”. C’est ainsi que notre mentor, Tim Brady, investisseur et entrepreneur reconnu de la valley (ainsi que premier employé chez Yahoo) clôture une journée un peu spéciale de notre vie d’entrepreneur : notre demo day. Quelques mois plus tôt, lors de notre sélection pour Imagine K12, le Y Combinator pour l’éducation, Arnaud et moi avions immédiatement coché cette date dans notre agenda. Ce jour où, après trois mois et demi d’intense idéation, de développement produit, de recherche du “product market fit”, nous pourrions présenter le résultat de notre acharnement à un parterre d’investisseurs à la recherche du prochain Facebook. Une question de traction ? Tout le monde vous le dira, la clef d’un demo-day réussi, c’est la traction. “Practice, practice, practice”