Alter-globalization Alter-globalization slogans during the protests in Le Havre against the 37th G8 summit in Deauville, France Alter-globalization (also known as alternative globalization, alter-mundialization—from the French "alter-mondialisation"—or the global justice movement) is the name of a social movement whose proponents support global cooperation and interaction, but oppose what they describe as the negative effects of economic globalization, feeling that it often works to the detriment of, or does not adequately promote, human values such as environmental and climate protection, economic justice, labor protection, protection of indigenous cultures, peace and civil liberties. Etymology[edit] The term was coined against accusations of nationalism by neoliberal proponents of globalization, meaning a support of both humanism and universal values but a rejection of the Washington consensus and similar neoliberal policies. History[edit] The period of European colonialism[edit] Groups[edit] See also[edit]
Bernard Charbonneau Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Toute son œuvre est marquée par l'idée que « le lien qui attache l'individu à la société est tellement puissant que, même dans la soi-disant “société des individus”, ces derniers sont si peu capables de prendre leurs distances avec les entraînements collectifs que, spontanément, ils consentent à l'anéantissement de ce à quoi ils tiennent le plus : la liberté. »[1] Durant les années 1930, il dénonce la dictature de l'économie et du développement[2] et s'impose comme pionnier de l'écologie politique [3]. Se méfiant toutefois de l'écologie partidaire, il propose de concevoir une forme d'organisation de la société, radicalement différente des idéologies du XXe siècle, solidement ancrée sur l'expérience personnelle. Bernard Charbonneau est par ailleurs le père de Simon Charbonneau, universitaire, spécialiste de l'environnement[4] et militant associatif. Biographie[modifier | modifier le code] Engagement[modifier | modifier le code]
Chronologie de l'altermondialisme Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Cet article établit une chronologie de l'altermondialisme, de ses origines à aujourd'hui. Les oppositions à la mondialisation telle qu'elle se présente aujourd'hui semblent démarrer dans les années 1980 dans les pays du Sud avec la lutte contre la dette du Tiers-monde, et dans les pays du Nord, avec la recherche de nouvelles alternatives à la croissance et à la consommation énergivores. Dans les années 1990, commencent à se faire jour des mobilisations internationales, qui ne commenceront à être connues et médiatisées qu'à partir de la mobilisation contre l'OMC à Seattle. Pour les mouvements sociaux, il y a vraiment un avant et un après Seattle. Le mouvement se reconnait et, est reconnu comme altermondialiste. Rappel : quelques repères historiques[modifier | modifier le code] Les années 1990[modifier | modifier le code] 1992[modifier | modifier le code] 1993[modifier | modifier le code] 1994[modifier | modifier le code]
Luddisme Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Représentation figurée du chef des luddites (mai 1812). Le luddisme est, selon l'expression de l'historien Edward P. Thompson, un « conflit industriel violent »[1] qui a opposé dans les années 1811-1812 des artisans – tondeurs et tricoteurs sur métiers à bras du West Riding, du Lancashire du sud et d'une partie du Leicestershire et du Derbyshire – aux employeurs et manufacturiers qui favorisaient l'emploi de machines (métiers à tisser notamment) dans le travail de la laine et du coton[2]. Le mot[modifier | modifier le code] Le terme trouve son origine dans le nom d'un ouvrier anglais, John ou Ned Ludd (parfois appelé « Captain Ludd », « King Ludd » ou « General Ludd »), qui aurait détruit deux métiers à tisser en 1780. Le terme « luddisme » est parfois utilisé pour désigner ceux qui s'opposent aux nouvelles technologies ou critiquent celles-ci (on parle même de « néo-luddisme »). Origine du mouvement[modifier | modifier le code] ↑ Edward P.
Liste de médias de l'altermondialisme Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Cet article sur les médias de l'altermondialisme recense les médias alternatifs altermondialistes ou principalement consacrés à l'altermondialisme et contient également des références de documents, dossiers, textes, vidéos, audios utiles pour l'analyse du mouvement altermondialiste ou de l'altermondialisation. Elle complète la bibliographie de l'altermondialisation qui elle ne reprend que les livres publiés. Rôle des médias[modifier | modifier le code] Le rôle des médias est très important dans l'histoire du mouvement altermondialiste : en France, c'est en décembre 1997 Le Monde diplomatique dans lequel son directeur, Ignacio Ramonet, publie un éditorial intitulé Désarmer les marchés[1], qui suscite des milliers de réponses de lecteurs qui permettront la création de l'organisation Attac. Médias de l'altermondialisme[modifier | modifier le code] Presse écrite altermondialiste[modifier | modifier le code] Radio[modifier | modifier le code]
Guy Debord Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Debord. Biographie[modifier | modifier le code] Jeunesse et contexte historique et culturel[modifier | modifier le code] Très tôt, Guy Debord perd son père. Le mouvement populaire est amené dans l’impasse de la Seconde Guerre mondiale, et, à ses 17 ans, tous les événements fondateurs de ce qu’il appellera La Société du spectacle sont en place : la généralisation de la technologie, l'espionnage généralisé, les camps, Hiroshima/Nagasaki, la collaboration de classe du PCF avec la bourgeoisie, l’affrontement « spectaculaire » Est/Ouest, et surtout la reconstruction à crédit de l’Europe. En 1951-1952, selon les propres mots de Debord, « jamais… le champ de bataille n'avait été aussi vide[5] ». D’autres, cependant, refusaient ce partage. Le mouvement lettriste[modifier | modifier le code] Les débuts de l'Internationale situationniste[modifier | modifier le code] Les années de réalisation.
Forum social mondial Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir FSM. Le Forum social mondial (ou FSM) est un forum international ayant pour but de faire se rencontrer des organisations citoyennes du monde entier sensibles à la cause altermondialiste (« Un autre monde est possible »). La première édition du FSM s'est tenue en 2001 à Porto Alegre au Brésil. l'opposition à l'ordre « néo-libéral » caractérisant la mondialisation actuelle,l'ouverture à tous les courants idéologiques pour les projets alternatifs,l'absence des partis politiques en tant que tels. Les forums sociaux ne délivrent pas de déclaration finale, mais sont des espaces ouverts de débat d'idées et d'élaboration de projets. Historique[modifier | modifier le code] Le forum de Porto Alegre en 2001[modifier | modifier le code] La première édition du FSM s'est tenue du 25 au 30 janvier 2001 à Porto Alegre, au Brésil. Le forum de Porto Alegre en 2002[modifier | modifier le code]
Installation World Social Forum The World Social Forum (WSF, Portuguese: Fórum Social Mundial [ˈfɔɾũ soˈsjaw mũdʒiˈaw]) is an annual meeting of civil society organizations, first held in Brazil, which offers a self-conscious effort to develop an alternative future through the championing of counter-hegemonic globalization. Some[who?] consider the World Social Forum to be a physical manifestation of global civil society, as it brings together non governmental organizations, advocacy campaigns as well as formal and informal social movements seeking international solidarity. The World Social Forum prefers to define itself as "an opened space – plural, diverse, non-governmental and non-partisan – that stimulates the decentralized debate, reflection, proposals building, experiences exchange and alliances among movements and organizations engaged in concrete actions towards a more solidarity, democratic and fair world....a permanent space and process to build alternatives to neoliberalism Charter of Principles[edit]
Jean-Philippe Strebler Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Jean-Philippe Strebler, né le , est un juriste spécialisé en droit public (urbanisme, environnement). Il a publié différents ouvrages et études juridiques au sujet du droit de l'affichage publicitaire. Biographie[modifier | modifier le code] Master en droit de l'environnement et de l'aménagement du territoire, il est actuellement directeur de la Fédération nationale des SCoT. Jean-Philippe Strebler a consacré de nombreuses études au droit applicable à l'affichage publicitaire. Ses ouvrages et ses consultations sont naturellement utilisés par des associations comme France nature environnement luttant contre l'affichage publicitaire illégal. Œuvres[modifier | modifier le code] Jean-Philippe Strebler (préface : Philippe Billet), Affichage publicitaire - guide juridique et pratique, Les Éditions EFE, coll. « Référence premiere », novembre 2004, 675 p. Notes et références[modifier | modifier le code] Portail du droit français
[APP] une autre monnaie est possible : une BD augmentée » Article » OWNI, Digital Journalism L'argent ne fait pas le bonheur... sauf si on le fabrique soi-même! Avec notre BD augmentée, apprenez les principes de la création monétaire et découvrez comment élaborer des monnaies libres auxquelles donner du sens. Philippe Derudder fait partie de ceux qui voient en l’alternative économique une chance à saisir. Quel est votre rôle dans les étapes de la mise en place d’une monnaie complémentaire? Philippe Derudder: J’accompagne les gens surtout sur la compréhension au départ du système de la monnaie: comment peuvent-ils s’organiser pour lancer une monnaie locale, c’est la question ou la thématique centrale de mes interventions. Pouvez vous nous expliquer par quelles étapes est passée la création de l’Abeille à laquelle vous avez participé? Pour l’Abeille, une amie connaissait mon travail, mais l’idée de monnaie complémentaire n’était pas présente à l’origine. En pratique, vous pouvez nous expliquer le fonctionnement de cette monnaie? Existe-il une notion d’héritage ou d’épargne?