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Liberté de la presse

Liberté de la presse
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La liberté de la presse est l'un des principes fondamentaux des systèmes démocratiques qui repose sur la liberté d'opinion, la liberté mentale et d'expression. Ainsi, l'article 11 de la Déclaration française des droits de l'homme et du citoyen de 1789 dispose : « La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l'Homme : tout Citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre à l'abus de cette liberté dans les cas déterminés par la Loi. » L'article 19 de Déclaration universelle des droits de l'homme aussi dispose la protection de la liberté de la presse. Histoire de la liberté de la presse[modifier | modifier le code] Les grands principes du droit de la presse[modifier | modifier le code] La protection des sources d'information des journalistes, sans exceptions ni restrictions, est considérée comme « l'une des pierres angulaires de la liberté de la presse »[4].

"A l'ère de l'information l'ignorance est un choix." Libertés fondamentales Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les libertés fondamentales ou droits fondamentaux représentent juridiquement l'ensemble des droits essentiels pour l'individu, assurés dans un État de droit et une démocratie. Elles recouvrent en partie les droits de l'homme au sens large. Dans la doctrine juridique, le concept est relativement récent et il existe plusieurs façons d'appréhender la « fondamentalité » d'un droit ou d'une liberté. L'idée même de fondamentalité revient à prioriser et hiérarchiser les droits ou les libertés en fonction de leur essentialité. Présentation[modifier | modifier le code] Les libertés fondamentales ou droits fondamentaux représentent juridiquement l'ensemble des droits primordiaux pour l'individu, assurés dans un État de droit et une démocratie. Il existe plusieurs façon d’appréhender la fondamentalité d'un droit ou d'une liberté. Contenu[modifier | modifier le code] Contenu des libertés fondamentales : Différences[modifier | modifier le code]

Justice Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour des raisons de clarté, cet article traite séparément de la justice dans ses trois acceptions : la justice au sens philosophique d’idéal, individuel ou collectif,la justice comme norme émanant d'une société ou d'un corps d'autorité,la justice comme institution caractéristique des sociétés de justicier Définitions[modifier | modifier le code] Étymologie[modifier | modifier le code] L'étymologie du mot « justice » est conforme à son histoire. Néanmoins, d'autres pistes étymologiques sont avancées. Le philosophe britannique, John Stuart Mill[note 1] estime que le terme « justice » est dérivé du verbe latin « jubere » - « ordonner, décréter » - ce qui permet d'établir un lien entre l'ordre qui énonce le droit et le juste qui lui est conforme. Une notion polysémique[modifier | modifier le code] Fondamentalement, la justice est polymorphe, dépendant des époques et des civilisations. Le substantif « justice » possède enfin de nombreux dérivés tels :

« Lorsque les nazis sont venus chercher les Liberté d'expression La liberté d'expression est le droit reconnu à l'individu de faire connaître le produit de sa propre activité intellectuelle à son entourage[1]. Elle procède de la faculté de communiquer entre humains. Celle-ci a longtemps été considérée comme un simple phénomène naturel conditionnant la vie sociale, avant d'être solennellement érigée en liberté individuelle, aujourd'hui juridiquement garantie mais en réalité encadrée. De tout temps, l'expression des idées, principalement sous sa forme verbale, mais aussi par l'écrit, a suscité l'intérêt des penseurs. À l'origine, elle était avant tout considérée comme un élément essentiel du processus de structuration sociale permettant d'atteindre les idéaux suprêmes de vérité, de perfection et de justice. Durant quelques siècles, on continuera à apprécier la transmission des idées par référence à la nécessité de protéger des valeurs sociales, essentiellement religieuses, considérées comme suprêmes. « 1.

Droit Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'Allégorie de la justice. Le droit est « l'ensemble des règles qui régissent la conduite de l'homme en société, les rapports sociaux. »[1], ou de façon plus complète, « l'ensemble des règles imposées aux membres d'une société pour que leurs rapports sociaux échappent à l'arbitraire et à la violence des individus et soient conformes à l'éthique dominante »[2]. Ces règles abstraites et obligatoires indiquent ce qui « doit être fait », les « droits et devoirs » qui incombent aux citoyens d'une société donnée. que la source du droit soit reconnue et acceptée comme légitimeque l'énoncé de la loi soit connu de tous, ce qui implique qu'il fasse l'objet d'une large publication ou d'une accessibilité certaine. Les sources primaires du droit[modifier | modifier le code] L'expression sources du droit renvoie à toutes les forces et données morales, économiques, sociales, politiques à l'origine du droit. Droit et société[modifier | modifier le code]

Démocratie Déclaration universelle des droits de l'homme Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. À l'origine, 48 États sur les 58 participants devaient adopter cette charte universelle. Aucun État ne s'est prononcé contre et seuls huit se sont abstenus. Parmi eux, l'Afrique du Sud de l’apartheid refuse l'affirmation au droit à l'égalité devant la loi sans distinction de naissance ou de race ; l’Arabie saoudite conteste l’égalité homme-femme. La Pologne, la Tchécoslovaquie, la Yougoslavie et l'Union soviétique (Russie, Ukraine, Biélorussie), s'abstiennent, quant à eux, en raison d'un différend concernant la définition du principe fondamental d’universalité tel qu'il est énoncé dans l’article 2 alinéa 1. Le texte énonce les droits fondamentaux de l’individu, leur reconnaissance, et leur respect par la loi. Le texte du préambule et de la déclaration est inamovible. Genèse et rédaction[modifier | modifier le code] De 1946 à 1948, les délégués des Nations unies se sont consacrés à l'élaboration de la Déclaration.

Union pour un mouvement populaire Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Histoire[modifier | modifier le code] Processus de fondation : l'Union pour la majorité présidentielle[modifier | modifier le code] 2002-2004 : les années Juppé[modifier | modifier le code] Alain Juppé, président-fondateur de l'UMP de 2002 à 2004. 2004-2012 : les années Sarkozy[modifier | modifier le code] Nicolas Sarkozy, président de l'UMP de 2004 à 2007, en meeting pour la campagne présidentielle de 2007. 2004-2007 : la préparation de la présidentielle[modifier | modifier le code] 2007-2012 : Nicolas Sarkozy, président de la République[modifier | modifier le code] Les élections législatives de 2007 ont lieu sur le thème de donner au président les moyens ou non de gouverner. À partir de ce moment se pose la délicate question de la succession de Nicolas Sarkozy à la tête de l'UMP. Le 5 décembre 2008, Patrick Devedjian est nommé ministre de la Relance économique. Depuis mai 2012[modifier | modifier le code]

by quenelius Apr 2

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