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Prothèse de main : de dix mille à cent cinquante dollars grâce à l'impression 3D

Prothèse de main : de dix mille à cent cinquante dollars grâce à l'impression 3D
Quand l’association de l’impression 3D et de l’esprit Libre donnent des choses extraordinaires… Des prothèses de main open source peuvent être imprimées en 3D pour 150$ Open Source Prosthetic Hand Can Be 3D Printed For $150 John Pugh - 26 mai 2013 - psfk.com(Traduction : Goofy, Calou, nicolas, MatElGran, GPif, Asta, Pascal, audionuma) Robohand est une main mécanique à bas coût qui peut être fabriquée avec une imprimante MakerBot3D. Pour les patients souffrant d’une blessure traumatique ayant entraîné la perte d’un membre, ou les enfants nés avec un handicap tel que le syndrome des brides amniotiques (dont la conséquence est souvent que l’enfant naît avec un ou plusieurs doigts manquants), une nouvelle prothèse a le potentiel de changer littéralement leur vie quotidienne. Robohand est une main mécanique qui peut être imprimée en 3D avec une imprimante MakerBot. à leur équipe, accélérant ainsi la création de prototypes fonctionnels, tout en réduisant les coûts de production.

L’espoir par la technologie : un homme retrouve son visage grâce à l’impression 3D L’impression 3D ne sert pas qu’à créer des figurines ou des armes à feu. Cette technologie sert aussi le domaine médical, comme le montre cette histoire touchante d’une victime du cancer qui a retrouvé son visage grâce à celle-ci. La vie d’Eric Moger a changé depuis l’intervention qui lui a recréé une partie de son visage. Quand les chirurgiens ont enlevé la tumeur de la tête de Eric Moger, une grande partie de son visage a été perdue. Un nouvel exemple d’impression 3D qui montre tout le potentiel de cette technique pour le domaine médical. Recréer des organes ou des parties de notre anatomie pour soigner des blessés, voilà une raison de plus pour aimer l’imprimerie 3D.

Étienne Klein : La théorie des cordes Rating: 3.5/5 (8 votes cast) Retranscription et récapitulatif d’un entretien avec Etienne Klein enregistré dans l’émission Ombres et lumières sur l’origine de l’Univers de Ciel et Espace Radio, entretien dans lequel il parle de son dernier ouvrage “Discours sur l’Origine de l’Univers” La cosmogonie tente de décrire la formation de l’Univers, alors que la cosmologie est la science qui s’intéresse aux lois qui gouvernent l’Univers en tant que système physique. Il paraît qu’il n’y a pas de culture sans cosmogonie (à vérifier auprès des anthropologues…). Nature ontologique et législative de l’Univers Avant Galilée on considérait qu’il existait un monde sub-lunaire fait d’une matière de 4 éléments et un monde supra-lunaire constitué d’une autre essence. Le Néant Le mot Origine Notre manière de conceptualiser le changement en utilisant la notion d’identité fonctionnne-t-elle pour expliquer l’origine de l’Univers et des objets qui le constituent? Origines secondaires Origine primaire Le vide quantique

L’impression 3D, pilier de la prochaine révolution industrielle Révolution industrielle d’un nouveau genre ou mode sans conséquence ? Le réel impact de l’impression 3D reste flou. Dans un article de Wired, Carl Bass (@carlbass, Wikipédia), CEO d’Autodesk, se penche sur les avantages et les limites de cette technologie. Le « paradoxe de la complexité » L’impression 3D repose sur des principes totalement nouveaux, en contradiction avec l’usinage traditionnel. Image : les délinéaments complexes d’une lampe réalisée via la technique de l’impression 3D par l’artiste Bathsheba Grossman lors de la Maker Faire d’avril 2006 et photographiée par Mary Mactavish. Mais pour autant, l’impression 3D fait face à des difficultés inédites, car si elle « n’est pas gênée par la complexité, elle est contrainte par le volume ». Selon l’article de Friedman, le problème du temps et de la taille est fondamental et tend à annuler l’avantage de la complexité. Quel avenir pour les imprimantes 3D ? Carl Bass tente ensuite de repérer les prochaines tendances. Rémi Sussan

Des imprimantes 3D pour la chirurgie réparatrice Une réplique en trois dimensions (3D) de la mâchoire d'un patient qui doit subir la pose de plusieurs implants dentaires, une autre d'un os du palais - le palatin - à la forme particulièrement complexe, et même un moulage grandeur nature de l'articulation d'un genou de gorille atteint d'arthrose… Ces exemples présentés le 28 août dans le département d'anatomie de l'université Paris-Descartes par la société américaine 3D Systems sont les signes d'une révolution médicale en marche. Le modèle 3D d'os maxillaire ressemble à s'y méprendre à un os véritable. Mieux, il s'agit de la réplique exacte de l'anatomie d'un patient, réalisée à partir du simple scanner de sa mâchoire. Plusieurs copies sont réalisées pour permettre au chirurgien-dentiste qui doit réaliser des implants multiples de préparer son intervention et la répéter à volonté en testant différentes stratégies et angles de forage. Mais le plus spectaculaire est peut-être à venir. Des oreilles artificielles obtenues grâce à la 3D

Une pizza imprimée en 3D La NASA croit en la nourriture de synthèse et a octroyé une subvention de 125.000$ à Anjan Contractor, directeur de Systems & Materials Research Corporation. Son projet, créer une imprimante 3D qui servirait à… imprimer à manger. Son premier objectif, non des moindres, est de réussir à imprimer une pizza. Pour réussir sa mission, Contractor compte s’appuyer sur la technologie RepRap, l’imprimante open source qui est censée pouvoir imprimer ses propres pièces. L’homme a six mois pour mener à bien sa quête de création nutritive. La pizza en question sera constituée de trois couches de poudres alimentaires mélangées à de l’eau et à de l’huile. L’utilité première d’une telle initiative pourrait être de nourrir les astronautes en mission spatiale. Reste à savoir quel goût aura cette chère pizza synthétique. (source)

Imprimé en 3D, un implant remplace 75 % du crâne d’un Américain L'implant crânien imprimé en 3D pourrait devenir de moins en moins rare. Surtout si 500 patients en bénéficient chaque mois aux États-Unis. © Oxford Medical Performances Imprimé en 3D, un implant remplace 75 % du crâne d’un Américain - 2 Photos L’impression 3D rentre dans une nouvelle ère. Alors qu'elle est à l'origine conçue pour simplifier la fabrication d’objets, le monde médical y a vu l’occasion d’utiliser ses performances au profit des patients. Ainsi, si des expériences scientifiques ont révélé chez l’animal l’intérêt éventuel de la technique dans la fabrication de cartilage, d’oreilles artificielles voire d’organes complets, l’étape supérieure a été franchie. Le 18 février dernier, la Food and Drug Administration (FDA), l’agence américaine du médicament, a autorisé la mise sur le marché de l’implant crânien de la firme Oxford Performance Materials, conçu par impression 3D. L’impression 3D va envahir les hôpitaux Le principe est le suivant. A voir aussi sur Internet Sur le même sujet

Quand l'impression 3D vient défier la gravité Prendre un fichier 3D et le faire imprimer dans une machine : cette utilisation se démocratise à peine que nous voyons déjà de nouvelles méthodes plus aériennes voir le jour. En effet, la société Mataerial a mis au point un bras robotisé qui va venir donner forme à des objets qui défient la gravité. Pour ce faire, l’engin va extruder une résine (contenant des polymères thermodurcissables) qui va se solidifier dès qu’elle sera mis à l’air libre. D’où l’apparente défiance de la gravité puisque la machine pourra créer n’importe quelle forme sans se soucier de la gravité. On pensera forcément au premier stylo d’impression 3D que nous vous avions présenté en Février dernier. Sauf que ce dernier faisait appel à vos talents d’artiste puisqu’il vous fallait réaliser le tracé à main levée. Mataerial entre davantage dans cette définition de l’impression 3D puisqu’il suffit de réaliser ces formes longilignes sur un fichier 3D pour que la machine vienne suivre le tracé. (source)

Prothesthétique | euronews, hi-tech Les personnes amputées des jambes se voient souvent proposer des prothèses à taille unique, modèle standard. Fonctionnel mais pas vraiment esthétique. Grâce à une toute nouvelle imprimante 3D et avec un peu d’imagination, il est désormais possible de réaliser des prothèses au look customisé. “J’ai toujours été frappé par le fait qu’une prothèse ressemble à une sculpture”, explique le designer Scott Summit. “Mais c’est un objet conçu par des ingénieurs qui remplit une fonction mécanique. Tout d’abord, on scanne la jambe afin de réaliser une prothèse qui épousera parfaitement sa forme. Une révolution pour les personnes amputées. Dès le départ j’ai été bluffé”, explique Chad Crittenden, qui a bénéficié d’une nouvelle prothèse. L’objectif désormais pour l‘équipe de Scott Summit est de baisser les coûts de production de ces prothèses customisables.

Le premier stylo d'impression 3D, financé sur Kickstarter en quelques heures Mercredi 20 février Matos - 20 février 2013 :: 11:57 :: Par Valentin-Pringuay Les machines d’impression 3D peuvent se révéler très coûteuses. Une société du Massachusetts a décidé de proposer un stylo d’impression 3D pour seulement 60$ et a rencontré un succès immédiat sur Kickstarter. Certaines personnes n’ont aucun mal à supporter un travail rébarbatif et peu motivant. Vous ne trouverez donc pas de photocopieuse à côté de la machine à café mais aurez plus de chance de croiser Butch (un robot tricératops) ou Troody (un autre robot dinosaure). En effet, le stylo d’impression 3D tient davantage du pistolet à glu qui vous permet de dessiner dans l’air avec un fin fil de plastique fondu qui va sécher immédiatement. Présenté hier sur Kickstarter avec un objectif de 30.000$, le 3Doodler a déjà rassemblé près de 500.000$ en quelques heures (plus de 1500% de l’objectif initial). Plus d'infos sur : 3Doodler, impression 3D, kickstarter, stylo, Wobble Works

Prothèses Pourquoi l'impression 3d peut créer de nouveaux business models A l'aise dans son jean, ses baskets et ses lunettes à grosses montures, Bre Pettis , fondateur de Makerbot, l'une des principales sociétés d'imprimantes 3d (20% du marché mondial) s'enthousiasmait, dans une conférence de presse le 20 février à New York, sur son business en pleine croissance. Si l'entreprise reste secrète sur ses chiffres, elle affirme avoir vendu 15 000 imprimantes depuis sa création en 2009, et emploie désormais 165 personnes dans ses locaux à Brooklyn. Des clients professionnels " Quand nous avons lancé Makerbot, nous pensions surtout à un public de particuliers. The Square Helper commercialise des accessoires pour lecteurs de cartes sur iPhone et iPad. " Cet entrepreneur crée lui-même ses pièces en quelques minutes. Droit à l'erreur Avec son modèle Replicator 2 vendu 2200 dollars (1650 euros), Makerbot séduit aussi des particuliers adeptes de la philosophie du DIY (do it yourself).

Une prothèse crânienne conçue par impression 3D - High tech Une société américaine a réussi, après avoir modélise en 3D le crâne d'un patient, à concevoir une prothèse parfaitement adapté à la fracture. Une avancée révolutionnaire qui pourrait bénéficier à des milliers de personnes. Les récentes découvertes ne cessent de le confirmer un peu plus chaque jour : l'impression 3D est l'avenir des nouvelles technologies. Principal écueil de cette révolution en marche : le prix (2 200 euros minimum pour une imprimante Markerbot) et surtout la maîtrise de la création d'objets digitale en 3D, indispensable. L'impression 3D à la rencontre de la chirurgie C'est précisément cette méthode (la duplication digitale 3D) qui a permis à l'entreprise américaine Oxford Performance Materials (OPM) de reproduire à la perfection en digital le crâne d'un patient et de réaliser une prothèse crânienne parfaitement adaptée. À compter de la réception du scanner du patient, la réalisation d'un implant ne prendra que deux semaines.

Filabot, le robot ménager qui recycle vos plastiques pour l’impression 3D L’impression 3D, c’est LE truc en vogue depuis plusieurs mois. Révolution des Makers oblige, les garages modernes appelé « Fab Lab » se multiplient un peu partout dans le monde, et les plus geeks travaillent sur les améliorations à apporter à cet outil encore un peu venu du futur que sont les imprimantes 3D. Oui mais voilà, ces imprimantes, pour imprimer, consomment du plastique. Le concept est le même que si nous pouvions recycler le papier à la maison pour nos imprimantes traditionnelles. Pour cause, ces imprimantes d’un nouveau genre permettent de réaliser des objets à la demande, de réaliser des prototypes à moindre coût et les industriels commencent à imaginer le potentiel des débouchés ouvert par cette « fabrication additive ». En attendant, la majorité des imprimantes 3D utilisent, en guise de matière première, des filaments de résine ou de plastique. Mais pour l’instant, continuons à bien trier nos déchets, nous avons des industries dédiées pour le recyclage plastique !

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