Olympics struggle with ‘policing femininity’ PRETORIA, SOUTH AFRICA— There are female athletes who will be competing at the Olympic Games this summer after undergoing treatment to make them less masculine. Still others are being secretly investigated for displaying overly manly characteristics, as sport’s highest medical officials attempt to quantify — and regulate — the hormonal difference between male and female athletes. Caster Semenya, the South African runner who was so fast and muscular that many suspected she was a man, exploded onto the front pages three years ago. She was considered an outlier, a one-time anomaly. But similar cases are emerging all over the world, and Semenya, who was banned from competition for 11 months while authorities investigated her sex, is back, vying for gold. Semenya and other women like her face a complex question: Does a female athlete whose body naturally produces unusually high levels of male hormones, allowing them to put on more muscle mass and recover faster, have an “unfair” advantage? Dr.
La cour de cassation refuse un changement d'état civil à une transexuelle PARIS - La cour de cassation a refusé le 7 juin son changement d'état civil à une transexuelle, au motif que celle-ci n'avait pas prouvé le caractère irréversible de sa transformation en refusant une triple expertise médicale. Des associations lesbiennes, gaies, bi et trans, notamment l'Inter-LGBT, ont dénonçé mardi dans des communiqués un "recul" des droits des transexuels. S. 28 ans, né garçon, avait demandé son changement d'état civil après une opération en 2008, pour voir reconnaître qu'il était devenu femme. Le tribunal de grande instance (TGI) de Paris avait ordonné avant de se prononcer une triple expertise psychiatrique, endocrinologique et gynécologique. S. s'étant opposé à cette expertise, souvent considérée comme "traumatisante, humiliante et intrusive" par les associations de défense des transexuels, le tribunal avait rejeté sa demande.
Catherine Vidal – Le cerveau a-t-il un sexe Souleymane Coulibaly, alias Soro Solo, est un journaliste culturel originaire de Côte-d’Ivoire. Découvreur de talents, il a accompagné l’ouverture de l’Europe aux musiques africaines. Il a collaboré aux magazines de RFI pour lesquels il fait des reportages, ainsi qu’à plusieurs émissions sur France Inter, dont L’Afrique Enchantée qui, après trois saisons estivales, est désormais programmée à l’année. Soro Solo était, jusqu’aux événements tragiques de 2002, le plus fameux des journalistes culturels de Côte-d’Ivoire. Avec plus de 20 heures d’antenne hebdomadaire et une voix reconnaissable entre mille, il reçoit deux fois le prix du meilleur journaliste du pays (Prix Ebony – 1993, 1994). Son émission Le Grognon, lancée en 1989, lui vaut une grande popularité car il y évoque les dérapages des services publics ivoiriens à partir de témoignages sur les petits arrangements avec l’administration. Des membres de sa famille sont assassinés. Depuis, Soro Solo a collaboré à de nombreux magazines sur RFI.
La volonté de parler à tout prix de race Quand les adversaires d'un ensemble de travaux scientifiques portent leur polémique en dehors du monde scientifique, il y a toujours de quoi s'inquiéter. Pas d'exception pour les travaux sur le genre, avec un nouvel exemple avec . Sans surprise, il apparaît clairement que les auteurs ont d'autres choses en tête que le simple questionnement scientifique qu'ils prétendent affirmer. Pourquoi ? Parce que sur le plan strictement logique, leur argumentation ne tient pas : si "sexes" et "races" désignent des classes logiques, ce n'est pas ce qu'ils montrent ici. Je passerais, par charité, sur les arguments les plus faibles (pour ne pas écrire plus directement le fond de ma pensée) que mobilisent les deux auteurs, comme "si vous voulez pas parler de sexe et de race, c'est parce que vous êtes politiquement correct !" Si vous affirmez l'existence chez les humains de deux sexes, plutôt que d'un seul ou de toute une kyrielle, vous êtes aussitôt taxé d'"essentialisme".
Feminizing Women’s Sports Teams In the book Strong Women, Deep Closets: Lesbians and Homophobia in Sports, Pat Griffin discusses the pressure on female athletes to constantly prove they, and their sport, are acceptably feminine, for fear of being labeled lesbians. Women who engaged in, and openly enjoyed, sports have often been viewed with suspicion or concern, ranging from beliefs that physical exertion might make them infertile to a fear that women’s sports teams serve as recruiting sites for lesbians. Some college coaches even try to get young women to play on their teams by hinting to their parents that other schools their daughter is considering are known for having a lot of lesbians and it might not be the “type of environment” where they want their sweet little girl to go. Female athletes, and women’s sports teams, thus often feel a lot of pressure to prove their heterosexuality to quell homophobic fears and to make women’s sports appealing to a broad audience.
Retour en arrière pour les droits des Trans Retour en arrière pour les droits des Trans : La cour de Cassation publie un arrêt plus restrictif que celui de 1992 sur les changements d’état civil. Communiqué de presse du 12 juin 2012 Ce 7 juin dernier, la cour de cassation vient de publier un arrêt sur la question du changement d’état civil dans l’affaire qui a débuté en 2008, opposant S. (prénom modifié) à la France. S. se dit femme d’origine transsexuelle, opérée en 2008 par le Dr Suporn en Thaïlande, elle commence alors une procédure de changement d’état civil auprès du tribunal de grande instance de Paris. Afin de se conformer aux exigences posées par la jurisprudence depuis 1992, elle apporte toutes les preuves de ses opérations chirurgicales ainsi que des certificats de médecins français qui confirment ces opérations. S. sera déboutée par la cour d’appel de Paris le 23 septembre 2010, elle saisira alors la cour de cassation qui publie son arrêt le 7 juin 2012. Source : Acthe Vous avez aimé cet Article ? Bonjour tout le monde.
Hommes-femmes : pour Vidal, aucune différence dans le cerveau n’est innée Une personne s’apprête à manger un cerveau rose, puis bleu Photo : Tristen West/Flickr/CC. Montage : Leonardo da Cerdan. Les hommes et les femmes ont-ils le même cerveau ? L’interview que nous avons publiée de Susan Pinker, le 10 juin, a fait débat aussi bien parmi vous, riverains, que dans la rédaction de Rue89. Psychologue et chroniqueuse – au quotidien canadien The Globe and Mail –, Pinker évoque notamment des différences entre les cerveaux des hommes et ceux des femmes. « Des différences subtiles dans l’architecture neuronale et la connectivité cérébrale. » Catherine Vidal, neurobiologiste et auteure de « Hommes, femmes : avons-nous le même cerveau ? Rue89 : Qu’avez-vous pensé des propos de Susan Pinker dans l’interview publiée sur Rue89 sur les différences hommes-femmes ? Catherine Vidal (DR) Catherine Vidal : Susan Pinker fait référence à des travaux en IRM qui s’intéressent au fonctionnement du cerveau, chez les hommes et chez les femmes. Il y a un très bel exemple.
Les femmes sont-elles moins fortes que les hommes? Il existe des groupes d'auto-défense qui, au cours de stages réservés aux femmes, parviennent à convaincre celles-ci qu'il leur est tout à fait possible de couper en deux une épaisse planche de bois à l'aide du tranchant de la main. Le stage s'achève sur cette épreuve. Cela pourrait faire rire, et pourtant: quand les participantes qui viennent ici réparer leurs plaies ou simplement prendre confiance en elles se trouvent face au rectangle de pin brut, elles respirent un bon coup, elles frappent et la planche tombe, coupée en deux, sous leur propre regard médusé. «Je n'aurais jamais cru que je pouvais faire ça». Et pour cause. «Le problème, soulève Claire Greslé-Favier, docteure en études américaines et spécialiste des questions de genre et de sexualité, c'est que la force physique supérieure des hommes est souvent utilisée comme argument massue quand on parle de différence homme/femme». Bien sûr, il y a des femmes qui sont moins fortes que les hommes. On pourrait parler de ségrégation.
Maquillage : filles & garçons La dernière fois, sur sa page FB, Inhuman disait que merde alors, sur nos blogs beauté on avait toujours tendance à tout accorder au féminin...Et vas y qu'on parle de lectrICES, et qu'on se lance dans des "Salut les FILLES" et des "coucous mes choupinETTES" (sache que dans tout le cas, choupinet ou choupinette, je ne cautionne pas) Et ça fait écho, par ce que même si j'essaie de faire un peu attention, la plupart du temps je zappe, j'accorde tout au féminin par défaut, et quand je le réalise après j'ai un peu (beaucoup) la flemme de tout corriger. Et c'est très laid. Petrilude-Youtubeur Par ce qu'il y à des garçons qui me lisent. Le langage, c'est une sacrée arme n'empêche, et moi dans mes articles j'exclue d'emblée toute une partie de la population, par simple habitude, par convention sociale...A cause d'une norme avec laquelle je ne suis absolument pas d'accord mais que pourtant, malgré moi, j'ai totalement intégré. Le maquillage c'est pour les filles, parait-il. Mais pourquoi?
La théorie du genre : réponse au ministre Vincent Peillon La position récemment exprimée par Vincent Peillon sur l’enseignement de la «théorie du genre» à l’école (1) a eu de quoi laisser perplexes les universitaires spécialistes du champ des recherches sur le genre. Le ministre déclare qu’il n’y a «pas de débat» sur cette question au ministère, précisant «nous sommes pour l’égalité filles-garçons, pas pour la théorie du genre» ; dans un autre entretien, il justifie sa position en affirmant : «Si l’idée c’est qu’il n’y a pas de différences physiologiques, biologiques entre les uns et les autres, je trouve ça absurde.» Vincent Peillon démontre doublement sa méconnaissance des enjeux en question. D’abord, en désignant une multiplicité de travaux de recherche par un label - «théorie du genre» - inventé pour les stigmatiser par la frange la plus conservatrice de la droite française. (1) «Libération» du 29 mai. Anne Revillard, Laure Bereni et Sébastien Chauvin sont coauteurs avec Alexandre Jaunait de : «Introduction aux études sur le genre», éd.
Le connectome et la circulation circulaire des stéréotypes de genre A en croire maints commentateurs de l’actualité de décembre 2013, des chercheurs auraient démontré l’existence d’une différence frappante entre les « connectomes » cérébraux des femmes et ceux des hommes, et celle-ci serait à l’origine d’une forme de complémentarité de leurs aptitudes et comportements. L’étude en question était pourtant très (très) loin d’autoriser les conclusions annoncées. Ce nouveau cas de validation imaginaire du bienfondé de certains stéréotypes de genre est exemplaire. Les journalistes accrédités ont été informés le 27 novembre 2013, résumé à leur intention et texte intégral à l’appui, de l’article à paraître dans la revue scientifique éditée par l’Académie des sciences des Etats-Unis [1]. Circulation circulaire d’une pseudo-information Très vite, des producteurs habituels [4] de discours pseudo-scientifique de naturalisation du genre se félicitent de la clarté et de la solidité des résultats de l’étude, indiquant les leçons à en tirer. Pas si vite… Âge 1. 2. 3. 6.
Tip: Women Are Not Weaker Than Men