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Related: I/C et numérique/digital/informatique/domotiqueGoogle : la tendance "Zéro clic" se confirme, 49% des recherches s'arrêtent à la lecture des résultats Une étude le confirme : on clique de moins en moins sur les résultats de recherche. Une problématique majeure pour les éditeurs de sites internet. 49% des requêtes "s'arrêtent" à la lecture des résultats de recherche. Crédits : Rand Fishkin. Digital natives (4) : désormais tous nomades à l’école Cet article vient compléter la série sur les digital natives publiée précédemment. Dans le mythe du « natif du numérique » (digital native) déjà évoqué pour The Conversation France et qui émerge en 2001 à travers les écrits du chercheur américain Marc Prensky, le rôle central joué par le phénomène de panique générée par les médias mérite d’être approfondi. Cette panique des « natifs vs immigrants » prend les médias prénumériques, avec des « contenus du patrimoine » (heritage content, dit Prensky) à leur propre piège. Ils se retrouvent à la fois juge et partie, devant ajuster leurs routines au déboulement d’un nouveau venu dans leur champ, Internet. Un média chasse (un peu) l’autre
Quand la technologie impose de repenser l'éthique Chroniques d’experts Davos, Digital Le 05/02/2020 © Getty Images Temps de lecture : 5 minutes ETUDE SUR LES FRANÇAIS ET LE PROGRÈS TECHNOLOGIQUE : 71 % DES FRANÇAIS INQUIETS FACE AU PROGRÈS TECHNOLOGIQUE Afin de comprendre et analyser la perception des Français à l’égard des nouvelles technologies, l’Académie des technologies et OpinionWay ont réalisé un sondage[i]. Cette étude confirme leur attrait, mais également leurs inquiétudes face aux nouvelles technologies, notamment sur les questions environnementales. Pour la moitié d’entre eux, le progrès technologique est l’une des causes du changement climatique et cela atteint les 55 % chez les 18-24 ans. Après la santé (60%), l’agriculture (25%), la mobilité (21%) et les green tech (20%) cristallisent le plus d’attentes chez les Français. Les trois-quarts des Français se disent intéressés par la technologie et 70% d’entre eux pensent qu’elle apporte de meilleures conditions de travail. Les jeunes sont les plus optimistes en la matière : 79% pour les 18-24 ans contre 67% pour les 50-64 ans.
Pour une transition numérique écologique Rapport d'information n° 555 (2019-2020) de MM. Guillaume CHEVROLLIER et Jean-Michel HOULLEGATTE, fait au nom de la commission de l'aménagement du territoire et du développement durable, déposé le 24 juin 2020 Disponible au format PDF (3,6 Moctets) Numérique : cliquer, c'est polluer “Le numérique n’a rien d’immatériel”, écrit l’Ademe dans un rapport, “La face cachée du numérique”, publié en novembre 2019. Ce document est l’une des quelques études qui mesurent l’empreinte laissée par l’informatique sur notre environnement. L’impact n’est pas neutre et va même croissant mais n’est pas si simple à quantifier. Revue des principales connaissances sur le sujet et des solutions envisagées : le 16 décembre 2020, la Commission du développement durable au Sénat a notamment adopté une proposition de loi visant à créer un délit d'obsolescence programmée.
L'écologie numérique : infographie, chiffres-clés et conseils pour une dématérialisation plus verte La dématérialisation est-elle écologique ? Avec le numérique, est-on respectueux de l’environnement ? À l’heure où se multiplient les alertes sur la santé vacillante de la planète, notre infographie dédiée aux chiffres clés de la pollution numérique le prouve : il y a urgence à agir, du côté individus comme des organisations.
Empreinte carbone du numérique Le Sénat se penche sur l’empreinte carbone du numérique En instaurant une mission d’information relative à « l’empreinte carbone du numérique », le sénat s'empare d'un thème qui fait de plus en plus l'objet de débats. Les travaux s'articulent autour de trois axes : état des lieux, évolution et pistes d'actions. Les discussions peuvent être suivies en direct via la plateforme vidéo du Sénat. Lien :
Les Français méfiants vis-à-vis de l'impact écologique du numérique Selon cette étude, réalisée conjointement par l'Autorité de régulation des télécoms (Arcep), le Conseil général de l'économie (CGE) et l'Agence du numérique, 44% des Français envisagent désormais le numérique comme une menace, alors que 38% d'entre eux y voient une chance. La tendance s'est inversée en dix ans, puisqu'en 2008 53% des personnes interrogées envisageaient le numérique comme une chance, et seulement 35% d'entre elles comme une menace. Pour y remédier à leurs niveaux, 8 Français sur 10 se disent prêts à acheter des appareils d'occasion, ou à prolonger la durée de vie des leurs, et plus de 2 Français sur 3 envisagent de modifier leur comportement, notamment en modérant le visionnage en ligne de vidéos. Réseaux sociaux et achats en ligne voient également les usages se stabiliser, dans la foulée de 2017 et 2018, autour de 60% d'utilisateurs.
Le numérique est-il écologique ? Les technologies numériques sont un des secteurs industriels les plus polluants de la planète (source Groupe CNRS EoInfo 2012). Florence Rohdain, docteur en systèmes d’information et Maître de conférences HDR à l’École polytechnique universitaire de Montpellier dévoile assez vite, la réponse à la question posée dans le sous-titre de son pamphlet intitulé La Nouvelle Religion du Numérique, le numérique est-il écologique ?, publié aux Éditions EMS, 2019. Le monde merveilleux de la ville connectée Intelligente, c’est ainsi qu’est qualifiée la ville de demain. La « Smart City » sera connectée ou ne sera pas. Dès lors, l’interaction citadin/ville ne doit son salut qu’à un outil : le smartphone. Même si 95% de la population est aujourd’hui équipée de ce petit objet très intelligent qui a connecté nos vies, les utilisateurs ne sont pas tous égaux quant à son utilisation et quant à sa connectivité, engendrant de fait, une nouvelle forme d’inégalité dans l’espace urbain. Le phénomène de Smart City est au cœur de bien de projets associés à la mutation urbaine.
Et si, les algorithmes redessinaient les régions ? Une équipe de chercheurs a mis en lumière grâce à l’usage d’un algorithme, les frontières d’influence géographique des métropoles américaines. L’apprentissage majeur offert par leur étude est que les aires d’influence régionales ne sont pas ou peu liées aux frontières politiques arbitraires et historiques des états. En France, bien loin des débats sur l’identité régionale et des petits arrangements politiques pour conserver une majorité, les algorithmes auraient-ils pu dessiner la réforme régionale ?
Fiscalité : les enjeux soulevés par l'économie numérique Au nom de l'équité fiscale et de la soutenabilité des finances publiques, la fiscalité du numérique a été inscrite à l’agenda des États, de l’Union européenne (UE) et de l’OCDE depuis plusieurs années. Outre la publication de plusieurs rapports, des organes de réflexion ont été mis en place. Créé en 2011 et composé de trente membres élus pour trois ans, le Conseil national du numérique (CNNum) a notamment pour mission de réfléchir aux questions de fiscalité générale de la transformation numérique. Il plaide en faveur d’une action à l’échelle internationale pour éviter de porter atteinte à la compétitivité des entreprises nationales, de pénaliser un secteur qui est au cœur de l’innovation et donc porteur de croissance et d’inciter les entreprises à délocaliser leur siège social. Les travaux de l'OCDE L'OCDE conduit le projet BEPS (base erosion and profit shifting, soit en français : érosion de la base d'imposition et le transfert de bénéfices) en partenariat avec le G20.
Dématérialisation : quelle politique pour les exclus du numérique ? L’illectronisme, c’est-à-dire l’illettrisme numérique, inquiète de plus en plus. Il a fait l’objet d’études récentes qui montrent que les Français sont inégaux face au numérique. Le baromètre du numérique 2017 du Centre de recherche pour l’étude et l’observation des conditions de vie (Crédoc) révèle que si "la digitalisation de la société française se poursuit à un rythme rapide et soutenu", Internet demeure un univers éloigné pour une partie de la population. Certains Français, même bien équipés, ont un usage moins développé des démarches administratives et fiscales en ligne.