Holisme Holisme (du grec ancien ὅλος / hólos signifiant « entier ») est un néologisme forgé en 1926 par l'homme d'État sud-africain Jan Christiaan Smuts pour son ouvrage Holism and Evolution[1]. Selon son auteur, le holisme est « la tendance dans la nature à constituer des ensembles qui sont supérieurs à la somme de leurs parties, au travers de l'évolution créatrice[1] ». Le holisme se définit donc globalement par la pensée qui tend à expliquer un phénomène comme étant un ensemble indivisible, la simple somme de ses parties ne suffisant pas à le définir. Holisme est un terme nouveau introduit dans les années 1920. Au début du XXe siècle, les progrès des sciences physiques et biochimiques ainsi que la théorie darwinienne dessinaient un monde où la frontière entre vivant et inanimé semblait devoir disparaître (contrairement à ce qu'affirmait Kant). Le holisme de J. « Smuts a espéré que le holisme pourrait reconstituer l'unité entre Weltanschauung[6] et science »[7]. En 1977, (en) w:George L. « M.
Libre arbitre Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Arbitre. Le libre arbitre est la faculté qu’aurait l'être humain de se déterminer librement et par lui seul, à agir et à penser, par opposition au déterminisme ou au fatalisme, qui affirment que la volonté serait déterminée dans chacun de ses actes par des « forces » qui l’y nécessitent. « Se déterminer à » ou « être déterminé par » illustrent l’enjeu de l’antinomie du destin ou de la « nécessité » d'un côté et du libre arbitre de l'autre. Le principe d'incertitude, la théorie du chaos, voire les théorèmes d'incomplétude de Gödel, ont, selon certains, apporté des éléments nouveaux à ce débat, sans pour autant le trancher. Histoire[modifier | modifier le code] Origine augustinienne du concept[modifier | modifier le code] Saint Augustin fut l'un des premiers à méditer le concept de libre arbitre (portrait imaginaire par Botticelli, v. 1480). d’où vient que nous agissons mal ? Critiques[modifier | modifier le code]
Déterminisme et causalité Mon intention n’est pas de vous parler de la question de la causalité et du déterminisme dans l’épistémologie et la philosophie de Schlick en général, mais seulement de la façon dont elle est traitée dans l’article « Naturphilosophie », qui a été écrit en 1925 pour un recueil destiné à faire le point sur l’état des questions et des connaissances dans les différents secteurs de la philosophie [1] Die Philosophie in ihren Einzelgebieten, Lehrbuch... [1] . La première chose à remarquer est que Schlick défend à cette époque-là tout à fait clairement une position qui correspond à ce qu’on appelle le réalisme scientifique : « Il n’y a, écrit-il, absolument aucun doute sur le fait que tous les éléments ultimes que la science doit assumer pour rendre intelligible la structure de la nature doivent être considérés comme réels exactement au même sens et au même degré que les objets perçus de la nature eux-mêmes. Le principe d’entropie est une macro-loi.
Holisme en sociologie Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le holisme vient du grec ancien holos signifiant « la totalité, l'entier ». On trouve la première forme de définition dans l'étude de la cosmogonie mythologique. C’est l’étude de la formation de l'univers dont deux théories s'opposent. Pour les monistes, la perception de l’univers est formée d’une seule réalité fondamentale. À l’opposé, les dualistes séparent le monde matériel et le monde spirituel, l‘univers est ainsi fragmenté. Par l'évolution de sa définition le holisme est conceptualisé selon les différentes disciplines académiques : la philosophie, le positivisme, la sociologie, l'économie, la biologie, la neuroscience, et en médecine. Historique[modifier | modifier le code] Le positivisme[1] est la première discipline à mettre en lumière l’expression du terme « sociologie » dont Auguste Comte (1798-1857) est le fondateur. — Karl Marx, Critique de l'économie politique Notes[modifier | modifier le code] Portail de la sociologie
Liberté Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour le sens commun, la liberté s'oppose à la notion d'enfermement ou de séquestration. Une personne qui vient de sortir de prison est dite libre. Cette notion renvoie à une double réflexion : d'une part sur la liberté en tant que questionnement sur la capacité de choisir et de faire ,d'autre part comme questionnement sur l'exercice concret de ce pouvoir de choisir et de faire. Dans la mesure où ces deux perspectives se recoupent de diverses manières, leur chevauchement peut provoquer des erreurs d'interprétation dans les analyses et la confusion dans les débats. Définition[modifier | modifier le code] D'un point de vue sémantique, on peut considérer la liberté comme étant l'ensemble de possibilités (ou de contraintes) qui sont physiquement ou socialement applicables à un individu. Liberté et possibilité de choix[modifier | modifier le code] L'existence d'un degré de liberté suppose que le sujet soit confronté au moins à une alternative.
Théorie du déterminisme causal Au moment de dire au revoir à ce livre il n’est pas inutile de rappeler que, comme la plupart de mes essais précédents, il est centré sur le problème de l’intelligibilité naturelle. Toute la philosophie de la réflexion qui suit est, en effet, concentrée dans l’affirmation suivante : le déterminisme causal est le premier principe de l’intelligibilité naturelle. Le concept ancien et noble de nécessité se déploie et se prolonge en ceux de cause (un fait ou un phénomène), de causalité (un principe), et de déterminisme moderne (la prévision rendue possible par la générativité du langage naturel et par le calcul). La méditation sur ces problèmes m’a conduit à une métaphysique du déterminisme causal, universel et absolu : pour tout système, rien de ce qui arrive à un endroit et à un moment donné n’aurait pu arriver autrement, étant donné son état à l’instant précédent infiniment proche de lui. Paris, 2006.
Management de l'innovation - holisme organisationnel - Jérémy Gain Abstract Experts, entrepreneurs, théoriciens du management et même politiciens, aujourd'hui tout le monde s'accorde pour dire que l'innovation est indispensable. Elle est plus que jamais le moteur de la croissance dans les pays développés et le cÏur de la compétitivité des entreprises. Mais c'est un phénomène complexe qui para»t difficile à ma»triser. L'innovation ne se commande pas pourtant elle se manage. Mots clés innovation, management, Google, holisme, théorie des organisations, innovation participative. Avis au lecteur Ce mémoire a été préparé dans le cadre d'un Master en Négociation et Affaires Internationales à l'école de commerce NEGOCIA (Chambre de Commerce et d'Industrie de Paris). Les citations d'auteurs seront mises entre guillemets. Les sigles et acronymes seront explicités dans le texte ou en note de bas de page lors de leur première apparition pour l'ensemble du document. Remerciements Ce mémoire a été encadré par le professeur Catherine Chastenet de Géry. I. I. I. I. I.
La Marseillaise Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La Marseillaise est décrétée chant national le (26 messidor an III) par la Convention, à l'initiative du Comité de Salut public. Abandonnée en 1804 sous l’Empire et remplacée par le Chant du départ, elle est reprise en 1830 pendant la révolution des Trois Glorieuses qui porte Louis-Philippe Ier au pouvoir. Berlioz en élabore une orchestration qu’il dédie à Rouget de Lisle. La IIIe République en fait l'hymne national le 14 février 1879 et, en 1887, une « version officielle » est adoptée en prévision de la célébration du Centenaire de la Révolution. Le 14 juillet 1915, les cendres de Rouget de Lisle sont transférées aux Invalides. Pendant la période du régime de Vichy, bien qu'elle soit toujours l'hymne national, elle est souvent accompagnée par le chant « Maréchal, nous voilà ! Valéry Giscard d'Estaing, sous son mandat de président de la République française, fait diminuer le tempo de La Marseillaise afin de retrouver le rythme original.
La communication, un enjeu scientifique et politique majeur du 21e siècle - Dominique WOLTON Plus de vingt années de recherches personnelles, et de responsabilités scientifiques me permettent de confirmer cette hypothèse si rarement partagée : La communication est un enjeu scientifique et politique majeur du 21e siècle. Le triomphe des techniques, en rapprochant les hommes et les sociétés, oblige en effet à un redoutable effort de connaissance car ce rapprochement, en rendant plus visible les différences culturelles, sociales et religieuses, augmente les difficultés de l’intercompréhension. La fin des distances géographiques accentue le poids des différences culturelles, donc la nécessité d’une réelle volonté pour se tolérer mutuellement. 1 – Théorie de la communication et théorie de la société Par communication, il faut entendre cinq phénomènes. Au travers de la communication se joue en définitive le rapport au monde de chacun d’entre nous. Avec quelle outil opérer ce travail de tri ? 2 – Communication normative ou fonctionnelle : partager ou transmettre ?
« Prospective du Virtuel », une tribune de Roger Nifle Le temps des communautés virtuelles L’âge du Sens, âge de l’homme-VIR, advient par un dépassement de l’âge des représentations où l’identité, et singulièrement l’identité individuelle, prévalaient. Le collectif était associé à la société, elle-même identifiée à tout un système de représentations : règles, droit, image, identité collective dans un rapport dialectique, identité individuelle - identité collective. Cet âge des représentations s’est targué à juste titre d’avoir dépassé le stade des groupes de cohabitation purement économique et des "tribus" ou communautés archaïques. Or sous le régine de l’homme "homo" (d’humus) les communautés sont toutes plutôt des communautés d’appartenances : Communautés archaïques - d’affects ou de sang Communautés économiques - de faits, territoires et cohabitations Communautés identitaires - de droit, de loi et de titre. Dès lors les communautés virtuelles sont d’abord des communautés d’humanité, c’est-à-dire de Sens, que l’intention quelque peu maîtrisée, libre et responsable, traduit.
L'innovation en 3 questions A mes yeux, ce qui fait la force de la recherche de Renault est l’ouverture. Tout d’abord ouverture au cœur de Renault par la confrontation constructive et organisée d’idées multi-métier. Un exemple : le Laboratoire Coopératif d’Innovation qui réunit dans un même lieu des compétences du design, du produit, et de la recherche, qui étudient des concepts en rupture : Twizy en est le premier résultat. Ouverture ensuite par les partenariats. Et enfin, ouverture sur le monde : nous développons des équipes de recherche à l’international pour capter les meilleures compétences technologiques là où elles se trouvent. Et nous considérons aussi, bien sur, le monde hors-automobile avec une communauté d’innovation animée par Renault qui réunit des membres du monde académique et des entreprises telles que EDF, RATP, Air Liquide, etc…
Chapitre 1 et 2 : Management Organisationnel et Les principaux styles de Management - Le blog de BTS NRC by Faustine 08/10/08 Cours de Management Chapitre 1 : Management organisationnel 1) Définitions - Une Organisation Elle s’occupe de la division des taches en fonction des spécialisations, Elle dispose d’une hiérarchie, Elle a un but précis, Elle a des règles pour fonctionner. - Le Management Ce mot vient du vieux français manège qui signifie faire tourner (l’art de conduire une organisation vers ses buts). Elle se compose de : ~La finalisation (fixer des buts et des objectifs) : stratégie à court terme au niveau de l’entreprise et des individus (qualitatif/quantitatif). ~L’organisation (coordonner le travail, structurer les activités) ~Animation et motivation des équipes ~Contrôle de l’efficacité des actions menées. Prendre en perspective les parties prenantes pour les satisfaire aux mieux, tenir compte de la logique environnementale (concurrence), gestion relation client. 2 grands types : Elle est d&finit au niveau du DG, le dirigeant est le centre des responsabilités. Shareholders : actionnaire ~ Formalisation :