YouScribe utilise CARE, la DRM “user-friendly” de TEA (Nick Carter, CC BY 2.0) TEA a une petite longueur d’avance : impliquée au sein de Readium, la filiale de l’IDPF chargée du développement d’une solution de lecture open source, la société française apporte ses compétences et ses observations, notamment sur le plan des DRM ou mesures techniques de protection. Ces dispositifs permettent aux vendeurs de garantir la sécurité — relative, malgré tout — des fichiers vendus aux lecteurs. Remontée contre les DRM Adobe, peu ergonomique, voire contre-productive, en matière de vente de livres numériques, TEA a été une des premières à concrétiser les spécificités du programme LCP de Readium, qui vise justement à développer une DRM plus ergonomique pour les lecteurs et les vendeurs. De là est née la DRM CARE, pour « Content & Author Rights Environment », appliquée par TEA à l’ensemble des fichiers EPUB sous DRM, soit environ 20 % du catalogue français. YouScribe adopte CARE, la DRM de TEA
Les catalogues des bibliothèques au défi du Web: Plateforme VOD... Visionner les vidéos Trier par : Les plus récentes Les mieux notées Les plus commentées Les plus récentes... La récupération des données : objectifs et prérequis Cette vidéo présente les avantages que présente la récupération de notices bibliographiques de réservoirs extérieurs, et toutes les questions à se poser en amont. par Caroline Demessenc Les données d'autorité : un levier pour faire évoluer les catalogues Cette vidéo présente le rôle central des données d'autorité pour faire évoluer les catalogues des bibliothèques vers le web de données. La récupération des données : l'offre de la BnF Cette vidéo présente l'offre de métadonnées descriptives que la BnF met à disposition pour une réutilisation libre et gratuite : présentation des différents formats de récupération et des ca Présentation du modèle FRBR Les identifiants : définition et enjeux pour les bibliothèques
Meilleures copies des concours des bibliothèques de la session 2016 Sont proposées ci-dessous les trois meilleures copies (le cas échéant) de chaque épreuve de concours. Les copies proposées ci-dessous concernent la session 2016. Meilleures copies des concours externe et interne et de l'examen professionnalisé réservé de conservateur des bibliothèques Pour télécharger ces documents dans les meilleures conditions possibles, faire un clic droit et choisir "enregistrer sous". Meilleures copies du concours externe de conservateur des bibliothèques Épreuve de composition de culture générale Copie n°1 - poids : 2.0 Mo Copie n°2 - poids : 2,75 Mo Copie n°3 - poids : 2,69 Mo Épreuve de note de synthèse Copie n°1 - poids : 1,76 Mo Copie n°2 - poids : 1,36 Mo Copie n°3 - poids : 1,21 Mo Meilleures copies du concours interne de conservateur des bibliothèques Copie n°1 - poids : 1,78 Mo Copie n°2 - poids : 1,62 Mo Copie n°3 - poids : 1,20 Mo Copie n°1 - poids : 1,69 Mo Copie n°2 - poids : 1,95 Mo Copie n°3 - poids : 1,20 Mo Meilleures copies du concours externe de bibliothécaire
Les bibliothèques troisième lieu Concept encore peu répandu en France, la bibliothèque troisième lieu 1 incarne un modèle phare aux États-Unis, où l’appellation « third place library » fleurit sur la biblioblogosphère et dans la littérature bibliothéconomique. Elle y fait figure de voie d’avenir et semble se matérialiser également dans plusieurs établissements européens, notamment au Royaume-Uni, aux Pays-Bas et en Europe du Nord, où la filiation directe à ce modèle est parfois ouvertement revendiquée, à l’exemple du « Fil rouge », bibliothèque centrale de la ville de Hjoerring, au Danemark, présentée au dernier congrès de l’Ifla 2 (International Federation of Library Associations and Institutions). Si le concept est abondamment utilisé, il reste toutefois peu documenté, peu explicité, et son usage peut connaître des acceptions divergentes. Il paraît donc opportun de se pencher sur ses caractéristiques afin d’en restituer l’essence et de mieux saisir le succès qu’il remporte 3. Qu’est-ce que le troisième lieu ?
Livre numérique : Prêt Numérique en Bibliothèque (PNB), c’est parti! PNB (Prêt Numérique en Bibliothèque) fait partie de ces projets très attendus dans le monde du livre. Faciliter le prêt des ebooks en bibliothèque en impliquant les libraires est un axe essentiel pour développer la lecture numérique auprès du grand public. Après plusieurs mois de travail, les différents acteurs ayant œuvré sur ce dossier ont réussi à concevoir un process qui semble fluide et atteignable pour les bibliothèques.Le libraire Feedbooks s’en fait l’écho et a ouvert mercredi un portail regroupant l’intégralité de l’offre à date, à destination des établissements (Gallimard, Flammarion, La Martinière). PNB, comment ça marche ? A propos de PNB, Vincent Marty, DG de Dilicom a déclaré : «Il nous a paru nécessaire que les libraires, partenaires naturels des bibliothèques et des éditeurs, restent impliqués dans le développement de la lecture publique. Petit focus sur les prix Le livre numérique susmentionné est vendu au particulier au format Kindle sur Amazon 7.99€.
Facile à lire L’étiquette « facile à lire et à comprendre » (FALC) est attribuée à des documents répondant à un certain nombre de recommandations, destinées à rendre accessible à tous l’information que nul n’est censé ignorer. Le projet s’est développé au niveau européen à partir du travail d’un groupe intitulé « Vers une formation continue pour les personnes handicapées intellectuelles ». Il était d’abord destiné à ce public, mais les préconisations retenues sont utiles à tous, dans tous les outils de communication. Celles-ci concernent aussi bien la syntaxe, le vocabulaire, que la mise en page. Des outils d’apprentissage adaptés Les bibliothèques ont dans ce domaine une expérience ancienne et une approche variée, notamment parce qu’elles proposent depuis longtemps, dans les espaces d’autoformation, des ouvrages – des romans surtout, mais aussi des documentaires – écrits dans un langage simple. Une démarche inclusive
Facile à lire Vers des espaces « Facile à lire » dans les bibliothèques bretonnes : la démarche de Livre et lecture en Bretagne Livre et lecture en Bretagne, dans le cadre de la mission sur les publics éloignés du livre et de la lecture, a impulsé une démarche autour du « facile à lire » dans les bibliothèques bretonnes. Née de la volonté de s’adresser à tous les publics en difficulté avec l’écrit, cette démarche se situe d’abord dans le champ de la prévention de l’illettrisme. La suite de la démarche consiste à mobiliser les bibliothèques bretonnes intéressées par cette question et les aider à mettre en place des espaces « facile à lire » au sein de leur structure. Vous trouverez dans les pages qui suivent le contenu du kit « facile à lire » ainsi qu’un certain nombre de ressources utiles sur la question du « facile à lire ». Qu’est-ce que le « facile à lire » ? Le guide est à télécharger sur le site de l’Association Européenne des personnes handicapées intellectuelles « Inclusion Europe ».
Le kit « Facile à lire » Un kit constitué par Bibliopass pour Livre et lecture en Bretagne, qui comprend : Des critères de repérageUne sélection de 100 titres critérisésDes suggestions pour la mise en espaceDes documents-ressources sur le sujet Le livret n°2 « Facile à lire » a été réalisé par Bibliopass en mars 2016 : Deux ans après la parution du premier livret qui a servi de base à plusieurs Espaces « facile à lire » en Bretagne, il a semblé utile d’offrir aux bibliothécaires et à leurs partenaires engagés dans cette démarche un outil mis à jour, avec des nouveautés parues en 2015 et 2016. Les rubriques se sont enrichies, par exemple Lire par l’image pour les personnes ayant plutôt une culture visuelle (par exemple les Sourds) ou Appétit de culture pour les personnes souhaitant rattraper un manque de culture générale. Consulter le livret n°2 sur le blog de Bibliopass
17e Assises du livre numérique : le livre rencontre le World Wide Web Consortium Chris RubberDragon, CC BY SA 2.0 La nouvelle a fait du bruit dans le monde du livre numérique : en mai 2016, le World Wide Web Consortium (W3C), chargé de superviser le développement des standards du Web, et l’IDPF (International Digital Publishing Forum), à l’origine du format de livre numérique EPUB, ont annoncé par voie de communiqué resserrer un peu plus leurs liens dans le but de faire de l’IDPF une branche du W3C. L’objectif étant de rapprocher les deux organisations en janvier 2017. À la lumière de témoignages d’acteurs de premier plan de la chaîne du livre et des institutions du web, français et étrangers, les Assises du Livre numérique du SNE font le point sur les enjeux de cette alliance du web et des livres. Les Assises du livre numérique sont un lieu de débat, de pédagogie et de prospective sur le développement numérique dans le domaine de l’édition. Les places étant limitées, il est préférable de s’inscrire, à cette adresse.
Qu’est-ce que RDA ? | www.transition-bibliographique.fr Nouveau code de catalogage à vocation internationale se référant explicitement au modèle FRBR, RDA (Resource Description and Access/Ressources : Description et Accès) constitue une opportunité sans précédent pour exposer les catalogues de bibliothèques sur le web de données. RDA est le nouveau code de catalogage élaboré par la communauté des bibliothèques anglo-américaines, sous l’égide du JSC (Joint Steering Committee for Development of RDA) pour remplacer les AACR2 (Anglo-American Cataloguing Rules, 2nd edition). Il a été publié en juin 2010, sous la forme d’un site web payant « RDA Toolkit ». Depuis novembre 2015, la maintenance de RDA est assurée par le RSC (RDA Steering Committee / Comité de pilotage de RDA) qui remplace le JSC. S’il s’inscrit dans la continuité de la tradition catalographique des AACR, ce nouveau code définit une nouvelle approche du catalogage adaptée à l’environnement actuel des bibliothèques, dominé par le web.
Droit d'auteur : la directive européenne, “c’est open-bar pour les industries culturelles” Ce 14 septembre sera-t-il à marquer d’une pierre noire, blanche, grise, ou à jeter à la poubelle ? La question n’a pas fini de se poser : le projet de directive modifiant le droit d’auteur, qu’a présenté la Commission européenne a fait l’unanimité... contre lui. Reste à savoir ce que le Parlement en fera... Peter Gordon, CC BY 2.0 Par Neil Jomunsi Les nuages s’assombrissent au-dessus de nos têtes connectées. Pourquoi cocasse ? Fous que nous étions de penser que la Commission ferait preuve d’ouverture d’esprit et/ou d’esprit d’aventure : on peine à croire que la proposition de directive de la Commission est née de la discussion autour du rapport Reda tant elle s’en éloigne, tant elle en est la presque antithèse. Bien sûr, on donne quelques miettes aux artistes pour faire bonne mesure. Alors, en vrac : aucune avancée sur la liberté de panorama, pourtant un gros sujet dans les discussions, et grand motif de crainte de la part des artistes plasticiens.
La directive Droit d'auteur généralise l'opt-out pour les oeuvres indisponibles Eoghan OLionnain, CC BY SA 2.0 Présenté ce 14 septembre, le projet de réforme laisse encore des zones d’ombres, bien que le ministère de la Culture se félicite de ce que la négociation a pu apporter. La ministre Audrey Azoulay et Harlem Desir, secrétaire d’État aux affaires européennes, soulignent que « l’enjeu essentiel du partage de la valeur entre les créateurs et les intermédiaires » a été respecté. Toutefois, « le diagnostic pertinent » de la Commission implique « une réponse plus concrète et plus ambitieuse ». Et ce en clarifiant le statut de ces activités – plus spécifiquement « le droit de la communication au public et une responsabilisation appropriée de ces intermédiaires, en coopération avec les titulaires de droit ». Il se trouverait toutefois là l’opportunité d’en finir avec « une situation profondément inéquitable et destructrice de valeur ». ReLIRE, toujours en manque de légitimité Pourquoi cet exemple précisément ? Opt-out dans tous les cas, les auteurs sont perdants
Piratage, rémunération, exception : le droit d'auteur examiné à l'Assemblée L'Assemblée nationale (ActuaLitté, CC BY SA 2.0) Le document communiqué aux députés porte sur les propositions de la CE relatives au droit d’auteur. Il sera par la suite discuté ce jour à 17 h. Dans les grandes lignes, rien de très étonnant : on y rappelle notamment l’important d’une stratégie pour un marché unique, « en accord avec la stratégie de l’Europe en faveur de la croissance ». De même, ce marché unique numérique « ne peut se faire sans que ne soient affirmés et réalisés le droit des créateurs à une juste rémunération et la préservation de la diversité culturelle européenne ». Dans la continuité, les exceptions ne peuvent être rendues obligatoires qu’à condition d’être « justifiées par des usages transfrontières ou une valeur ajoutée significative à l’échelle continentale ». Exceptions au droit d'auteur “adéquates et proportionnées” Europe : ce que pensent les auteurs de la directive droit d'auteur Enfin, quatre demandes font écho aux attentes des ayants droit :
Le point de vue des bibliothécaires expérimentateurs de PNB PNB (le système de prêt numérique en bibliothèque) existe depuis plusieurs mois au sein de certains réseaux de bibliothèque, dont le Réseau de lecture publique belge (on vous en parlait notamment ici). Ces bibliothécaires ayant expérimenté le système PNB souhaitaient réagir au débat autour de sa mise en place à Paris. Lettres numériques vous propose de lire cette prise de position, en attendant un billet synthétique de la rédaction sur le sujet dans le prochain numéro. Ces derniers jours PNB a été mis en cause à l’occasion du lancement du projet numérique de la Ville de Paris, basé précisément sur PNB. Nos bibliothèques (Montpellier, Grenoble, Aulnay-sous-Bois, Levallois et le Réseau de lecture publique belge) sont impliquées depuis trois ans dans cette expérimentation et ont suivi toutes les péripéties de ce projet depuis le début. Question économique Risque de fracture territoriale Niveau de maîtrise « informatique » requis Pas encore d’évaluation après un an d’expérimentation