La Marmite à roulettes : une cuisine coopérative Dans l’Hérault, la Marmite à roulettes sert dans la rue des plats simples, à base de produits bio et locaux, à petit prix. Elle s’inspire des Marmites, des cuisines coopératives lancées par des ouvriers en 1868. Travailleurs ! Pézenas : Soupe populaire avec la Marmite à… par iDherault Nous sommes en 1868, et la cuisine coopérative La Marmite vient d’ouvrir dans le 6e arrondissement de Paris. Après avoir lancé une coopérative d’achat de produits alimentaires, La Ménagère, Eugène Varlin voulait répondre aux besoins d’une « population d’ouvriers, d’ouvrières, absorbée par un travail journalier incessant, [qui] ne peut s’alimenter qu’au dehors, et [voit] disparaître si vite le modique salaire de [ses] laborieuses journées ». Les jours de soupe, chacun est invité à jouer de la musique. Les jours de marché, le petit groupe « crée l’évènement » en organisant une soupe populaire, souvent accompagnée d’une animation musicale. Lisa Giachino
CMA - Lifelong Learning - Comité mondial pour les apprentissages tout au long de la vie Pourquoi un comité mondial pourles apprentissages tout au long de la vie ? Pour clarifier cette notion, il est indispensable de développer des réseaux et travailler en partenariat. C'est cette richesse humaine et sociale, au-delà des frontières et des cultures, dans toute sa diversité qui nous permettra de faire vivre ce concept et de tenter de l'opérationnaliser afin de le rendre précis. • CHARTE du CMA pour les apprentissages tout au long de la vie • Le CMA en bref La Lettre du CMA
un salon de coiffure social propose des coupes à cinq euros Jeudi dernier, le salon L’Coiff’ a ouvert ses portes au 54 de la rue Féronstrée, à quelques mètres du Decathlon. Et, en quelques jours, les clientes sont déjà nombreuses. Il faut dire que ce salon pas comme les autres propose des coupes à cinq euros, des colorations et des mèches à 7,50 euros. Il s’agit, en fait, d’un salon de coiffure social. Le concept n’est pas neuf. Il existe déjà à Bruxelles, à Seraing ou à Spa, entre autres. Un salon de coiffure social, c’est quoi ? Réginald Orts a battu le rappel de ses amis, tous bénévoles. Une jeune coiffeuse a été engagée à mi-temps. Retrouvez l’intégralité de nos informations dans La Meuse de ce mercredi.
meltycampus.fr | Actualité des campus Ce véhicule carbure aux excréments humains Ce véhicule carbure aux excréments humains ! Et oui, accrochez-vous : le Bio-Bus est le premier bus roulant alimenté par des excréments humains ! Beurk mais comment ça fonctionne ? Ce premier « bus caca » est mis en service en Angleterre depuis le 19 novembre 2014, et comble de l’amusement, le jour de la «journée mondiale des toilettes ». Le bus est alimenté avec du bio-méthane, un gaz issu de la fermentation des ordures ménagères et des eaux usées. Ainsi, avec un plein équivalent aux déjections annuelles de cinq personnes, le bus peut parcourir jusqu’à 300 km. Le système développé par GENeco semble être une réelle alternative aux carburants traditionnels, et pour rassurer les plus téméraires, aucune odeur particulière ne se dégage du pot d’échappement. Vous savez ce qu’il vous reste à faire… Lire l’article de Gizmodo
Les Québécois déconsomment de plus en plus | Étude | Consommation | Actualité Les Québécois renoncent de plus en plus à acheter des produits ou des services dont ils estiment ne pas avoir besoin. Ce faisant, ils agissent en déconsommateurs. «Une vision de la consommation responsable plus axée sur la «réduction» de la consommation s’est progressivement imposée dans l’esprit des Québécois», a affirmé Fabien Durif, professeur au Département de marketing de l’École des sciences de la gestion de l’UQAM (ESG UQAM). L’Observatoire ESG UQAM de la consommation responsable (OCR) a publié mercredi son baromètre 2014 de la consommation responsable. L’Indice de la déconsommation a augmenté de 3,6 points, passant de 67,2 en 2010 à 70,8 cette année. «Aujourd’hui, pour 82,7 % des Québécois, consommer de manière responsable, c’est avant tout renoncer à acheter des produits ou des services dont ils n’ont pas besoin. Les Québécois sont aussi sensibles à l’option de redonner une deuxième vie aux objets, alors que plus de 38,9 % estiment avoir fait des efforts en ce sens.
Je n'ai produit aucun déchet en 2 ans. Voici à quoi ressemble ma vie. Je m’appelle Lauren, j’ai 23 ans et je vis à New York. Je ne produis aucun déchet. Pour de vrai. Aucune poubelle, aucune décharge. Je sais ce que vous pensez. Je n’ai pas toujours vécu ce que certains appellent le mode de vie « zéro déchet ». Mais j’ai commencé à changer ma façon de vivre il y a environ trois ans, quand je faisais des études environnementales à l’Université de New York, que je protestais contre les grandes sociétés pétrolières, et que j’étais présidente d’un club qui proposait des discussions hebdomadaires sur des sujets environnementaux. Faux. Quand j’étais en cours, il y a avait une autre étudiante qui apportait toujours un sac en plastique contenant une barquette en plastique pleine de nourriture, une bouteille d’eau en plastique, des couverts en plastique, et un paquet de chips. C’est la première fois de ma vie que j’ai senti que je pouvais me regarder et me dire « HYPOCRITE ». Éliminer le plastique signifiait apprendre à emballer tous mes produits moi-même. 1. 2. 3.
Province de Luxembourg: de plus en plus de monde aux réveillons solidaires Beaucoup d’entre nous passeront les fêtes de fin d’année en famille ou avec des amis. Des moments de partage et de fête mais qui pour certains, sont synonymes d’isolement et de tristesse en raison de soucis financiers ou de santé. Depuis plusieurs années déjà, des associations, et même des citoyens, ont décidé de mettre la solidarité au menu des fêtes, en organisant des réveillons solidaires. Des initiatives qui rencontrent de plus en plus de succès et qui permettent d’oublier le temps d’une soirée, les soucis de la vie quotidienne. Cette année, de telles initiatives ont été mises sur pied à Bertrix, Athus et Vielsalm. Prolongez l’information dans La Meuse Luxembourg de ce mardi et dans nos éditions numériques .
"Ancien bandit biker, j'ai fondé un village pour aider les SDF" - 26 octobre 2014 - L'Obs A l'orée des bois, la communauté n'est visible de personne. A l'écart, isolée. Il faut connaître le chemin de terre coupant la D225 à la sortie de Villebéon, en Seine-et-Marne, pour franchir les portes de ce qui, de prime abord, ressemble à un camping désolé. Ce jour là, Brann a réuni les sept résidents sous une ancienne serre aménagée en réfectoire. Face à lui, ceux qui étaient hier sans abris n'osent se justifier. S'ajoutent l'entretien de la caravane mise à disposition, l’aménagement de la communauté et l'interdiction de toute addiction. Il faut que chacun se détache de ce qui a pu l'amener ici. Il sait de quoi il parle, lui, l'ancien SDF. Le refus de voir mourir les SDF La communauté a été fondée en février 2012, en pleine vague de froid. On compte désormais une quinzaine de ces logements récupérés à droite à gauche grâce à la page Facebook du "115 du Particulier". On a créé un outil citoyen qui passe outre les lenteurs de l’administration", se réjouit Brann. Seul compte l'avenir
Roadcook | Resto sur pattes... un foodtruck pas comme les autres ! Bonnes nouvelles A Chicago, le restaurant qui a produit 30 litres de déchets en 2 ans ! ACTUALITES A Chicago, Justin Vrany a fait de son restaurant « Sandwich me in » un véritable exemple à suivre pour ses collègues du monde entier. Pourquoi ? Tout simplement parce qu’en 2 ans d’existence, son établissement n’a produit comme déchets, en tout et pour tout, que de quoi remplir un sac poubelle de 30 litres. Vous avez bien lu : un simple sac poubelle en deux ans. Celui qui pourrait écrire « le petit guide du restaurateur écolo » donne sa recette. Quant aux petits os du poulet, ils servent à faire le bouillon des soupes à la carte. Pour finir, le restaurant en lui-même est une ode à l’écologie pratique : selon le propriétaire, plus de 90% des matériaux utilisés pour son agencement proviennent de l’établissement qui occupait précédemment l’adresse.
Quand des mal-logés rénovent immeubles et maisons abandonnés pour y recréer des espaces de solidarité A côté des squats, ou des hangars désaffectés occupés par des artistes, se développent de nouvelles manières d’investir des bâtiments vides ou des maisons laissées à l’abandon. Dans des villes situées aux extrémités de l’Europe, Bucarest et Malaga, deux initiatives récentes viennent questionner la notion de propriété et de communauté urbaine. En Roumanie, des jeunes sans emploi rénovent les vieilles bâtisses menacées de démolition, avec l’accord des propriétaires. En Espagne, face à la crise, des familles s’installent dans des bâtiments appartenant à des banques et assurances. Reportage à l’intérieur de ces alternatives au mal-logement, alors qu’en France des dizaines de milliers de personnes sont expulsées chaque année de leur habitation. À première vue, la ville de Malaga semble profiter de ses atouts touristiques. La « Corrala de Las Luchadoras », la corrala des combattantes, est l’une d’entre elles. L’espace vide comme outil d’intégration Aider les jeunes et les propriétaires