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Association loi de 1901 Histoire[modifier | modifier le code] Sous l'Ancien Régime, le terme société est consacré aux associations volontaires de personnes dont le but est commercial, et celui de communauté aux autres. L'attitude de l'autorité royale varie entre la mise sous tutelle des associations dont elle reconnaît l'utilité et la répression de celles susceptibles de représenter une menace. Les associations qui n'ont pas été approuvées sont prohibées et agissent clandestinement. Au cours de la Révolution, l'Assemblée nationale dissout toutes les communautés religieuses, d'habitants, de métiers, les collèges, les hôpitaux, les confréries charitables, les congrégations, qui étaient très nombreuses. L'article 291 du code pénal de 1810 réglemente la liberté d'association : « Nulle association de plus de vingt personnes […] ne pourra se former sans l'agrément du Gouvernement ». Le débat sur la liberté d'association se développe dans les milieux intellectuels et au parlement[5]. 2012[modifier | modifier le code]

Qu'est-ce qu'une collectivité territoriale ou collectivité locale ?  - Quelles sont les différentes catégories de collectivités territoriales ? Découverte des institutions <p class="video_texte"> L'utilisation de javascript est obligatoire sur cette page pour voir l'animation.</p> Les collectivités territoriales sont des personnes morales de droit public distinctes de l’État et bénéficient à ce titre d’une autonomie juridique et patrimoniale. Les collectivités territoriales apparaissent dans la Constitution de 1946 et l’expression sera reprise dans le texte de 1958. Selon l’alinéa 3 de l’article 72 de la Constitution, les collectivités s’administrent librement dans les conditions prévues par la loi. Cependant, les articles 37-1 et 72 alinéa 4 de la Constitution, issus de la loi constitutionnelleLoi constitutionnelleLoi qui modifie la Constitution. du 28 mars 2003, ouvrent deux voies distinctes pour mettre en œuvre une forme d’expérimentation locale. C’est la loi qui détermine leurs compétences, et non les collectivités elles-mêmes.

Le végétal dans la ville : l’élément vital Le rêve d’une ville réconciliée avec la nature se propage : au XXIe siècle la ville sera végétale, prônent de plus en plus d’urbanistes. Il s’agit notamment d’apporter à la ville les fonctions écologiques de la biodiversité : le végétal tempère le micro-climat, humidifie l’air ambiant et réduit les îlots de chaleur. Lorsque les précipitations sont abondantes, il absorbe l’eau et ralentit la saturation des réseaux d’écoulement. Source: les cités végétales de Luc Schuiten Le végétal dans la ville, des bienfaits psychologiques et sociaux Depuis 2007, la moitié de la population mondiale est urbaine. Végétaliser les villes est donc une solution: par exemple, lorsque l’on dispose d’un parc ou d’un jardin près de chez soi, on sort, tout simplement [i]. Dans une ville riche d’arbre et de végétal, il semble que le citadin se sente plus en sécurité [vi]. Le végétal, une grande valeur économique, directe et induite Source: High Line par Joel Stemfeld Toit Vert à Manhattan (source Wikimedia) plants.

"Le conseil de quartier entre démocratie participative et représentative" Professeur et chercheur en sociologie, Cesare Mattina s'intéresse au fonctionnement du gouvernement local. A ce titre, il a étudié les relations entre les comités d'intérêt de quartier et les politiques. Il les compare aux conseils de quartier mis en place par la loi Vaillant. Un conseil de quartier se tiendra pour la première fois à Noailles, cette semaine. Spécialiste du gouvernement local, Cesare Mattina est sociologue au sein du laboratoire de sociologie méditerranéenne (Lames) à Aix et enseignant à la faculté. Une grande partie de ses recherches est consacrée au cas marseillais notamment à travers les relations clientélaires entre des élus et des électeurs, ou à la formation de clientèle politique au sein des partis. Dans le gouvernement local de Marseille, ce type de fonctionnement connaît un véritable développement au tournant des deux siècles, à l'époque où se constituent des quartiers ouvriers en marge des industries, notamment dans les quartiers nord.

Agriculture L'agriculture est le travail de la terre (ager signifie champ en latin). Son histoire est principalement façonnée par les progrès techniques, l'économie et l'environnement. Origine de l’agriculture Les premières traces de culture de plantes et de domestication d’animaux à des fins alimentaires remontent au Néolithique, il y a 10.000 ans au moins (soit 8.000 ans avant J. Ces premières traces sont originaires du Moyen-Orient. L’arrivée de l’agric représente également un important changement social puisque d’un mode de vie nomade reposant sur la chasse et la cueillette, les Hommes ont adopté une vie davantage sédentarisée. La révolution agricole L’agriculture moderne, fondée sur un principe de rendement, a émergé en même temps que le machinisme agricole. La révolution verte et la Pac Prise de conscience environnementale et progrès scientifiques

«La France est fâchée avec le pays réel» En principe, la troisième réforme de la décentralisation, en cours au Parlement, devrait renforcer les métropoles et les régions. Là se situent en effet les échelons majeurs du développement dans une économie mondialisée. Mais dans un vieux pays jacobin comme la France, où règne une image fantasmée de la ruralité, rien n’est simple. Géographe, professeur à l’Ecole polytechnique fédérale de Lausanne, Jacques Lévy explique dans son dernier livre, Réinventer la France, comment les archaïsmes de la vision française du territoire sont contre-productifs et aboutissent à des politiques «d’injustice spatiale». Il plaide en outre pour que ces questions entrent enfin dans le débat public. Pour «réinventer la France», vous la représentez avec des cartes peu habituelles… Longtemps, on a montré l’espace français et l’espace en général sous forme de surfaces continues. Avec une autre carte, on voit donc une autre France ? Qu’est-ce qui caractérise ce périurbain ? Le département a-t-il encore du sens ?

Un atlas des Pays de la Loire pour imposer un territoire artificiel Bretagne—La région Pays de la Loire, connue pour son manque d'appropriation par les citoyens, vient de lancer un appel d'offre pour la réalisation d'un atlas. Créés sur les bases du décret de Vichy du 1er juillet 1941, qui sépara la Loire-Atlantique (Loire-Inférieure de l'époque) du reste de la Bretagne, les « Pays de la Loire » sont pour ainsi dire un ersatz de région. Sans légitimité historique ni réelle identité, cette région peine à être identifiée par ses propres administrés. Cliquer pour agrandir une des 3 photos puis flèches clavier pour naviguer Certainement pour pallier ce manque, elle souhaite créer un atlas. Une réponse à l'Atlas de Bretagne ? Ne doutons pas non plus que ce soudain projet d'« Atlas des Pays de la Loire » ait été orchestré suite à la sortie récente de l'Atlas de Bretagne / Atlas Breizh, que j'ai réalisé avec Divi Kervella et qui est paru aux éditions Coop Breizh en mars 2011. Le noeud du problème Notons que le noeud du problème est toujours le même.

La politique verte doit être impulsée de la base BLOOMINGTON – Un échec de Rio serait désastreux, mais un accord international unique serait une grave erreur. On ne peut s'appuyer sur une politique universelle pour résoudre le problème de la gestion des ressources communes : les océans, l'atmosphère, les forêts, les voies d'eau et toute la diversité de la biosphère qui entretiennent les conditions nécessaires à la vie, dont celle des sept milliards d'êtres humains. Nos sociétés interconnectées sont confrontées aujourd'hui à des problèmes d'une échelle inégalée. Personne ne sait avec certitude quelle est la solution, il faut donc construire un système capable d'évoluer et de s'adapter rapidement. Des dizaines d'années de recherche montrent qu'un éventail de mesures évolutives, complémentaires au niveau urbain, régional, national et international a plus de chance de réussir qu'un accord universel et contraignant, car il permettrait de disposer d'un recours en cas d'échec de certaines de ces mesures.

Une bonne nouvelle pour la théorie des Biens Communs Le prix Nobel d’économie a été décerné le 12 octobre 2009 à Elinor Ostrom, qui travaille sur les Communs, cette forme spécifique de propriété et de gouvernance qui place les décisions collectives des « communautés » au centre du jeu socio-économique. Cette question des Biens communs a longtemps été ignorée par la science économique, par la politique et par les mouvements sociaux, mais elle est en passe de redevenir un « outil pour penser » majeur. Le prix Nobel d’économie a été décerné le 12 octobre 2009 à Elinor Ostrom et Oliver Williamson. Leurs travaux, quoique très différents, s’écratent des travaux de modélisation économique appuyée sur le modèle néo-classique, mais portent sur un « retour au réel ». En soi, ce simple fait serait une bonne nouvelle. Ajoutons que Elinor Ostrom est aussi la première femme récompensée par un Prix Nobel d’économie... pour des travaux sur l’organisation collective de la vie. La question des « Communs » est au coeur de l’histoire du capitalisme.

Le crowfunding peut-il remplacer les services publics ? - Blogs InternetActu.net Le financement participatif (crowfunding ou “financement par la foule”) est un marché en pleine expansion, expliquait le rapport de Crowdsourcing.org. Les 452 plateformes de financement participatif dénombrées dans le monde en avril 2012 ont récolté 1,1 milliard de dollars de fonds en 2011 pour les projets qu’elles accueillaient – dont plus de la moitié pour des projets hébergés par des plateformes européennes. Comme quoi, le modèle du financement participatif n’est pas un phénomène uniquement lié aux modes de financement anglo-saxons, que l’on dit traditionnellement plus sensibles au mécénat et à la prise de risque que l’Europe. Peut-être parce qu’en fait ce financement participatif fonctionne plutôt de plus en plus comme un système de prévente que comme un système de prise de risque ? Image : Répartition des 450 plateformes de crowfunding dans le monde selon le rapport de Crowdsourcing. Kickstarter en ses limites Le financement participatif : plateforme de services urbains ?

Massif de l'Étoile Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Marseille depuis le massif de l'Étoile. Le massif de l’Étoile est un petit massif montagneux situé au nord de Marseille. D'une superficie de 10 000 hectares, il culmine à 779 mètres au Grand-Puech. Le massif traverse 18 communes des Bouches-du-Rhône. En limite nord de l'agglomération marseillaise, ce massif offre une belle image des collines non littorales de la Basse-Provence calcaire avec une flore typique, comprenant des espèces endémiques et rares dont l'une de l'Annexe II du système de protection végétale (Arenaria provincialis), une végétation bien typée de taillis, garrigues, pelouses et habitats rupestres appartenant à l'étage méso-méditerranéen avec même, grâce à un ubac franc, une ébauche d'étage supra-méditerranéen (taillis - futaies de la chênaie à houx) et une faune méditerranéenne dont les études en cours montrent pour l'instant typicité et originalité[1]. Toponymie[modifier | modifier le code] Composition du site :

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